Beaucoup d'émotion à te lire, Marie! A te relire plutôt car je me souviens très bien de ce poème beau, triste et de sa superbe mise en page! Oui, c'est triste les fêtes des mères et des pères quand on n'a plus ses parents…
Merci Marie pour ce partage,ce très beau poème où tu exprimes avec émotion tristesse présente et souvenirs heureux! C'est tellement douloureux d'assister impuissant(e) aux atteintes de la vieillesse et de la maladie chez ceux qu'on aime!
Oui, très nostalgique ton poème, mais on voudrait parfois tellement qu'ils reviennent, même s'ils sont partis depuis longtemps, dans les moments plus difficiles. Hélas, on n'en a qu'une paire de parents, et pas de "pièces de rechange" ou d'échange standard". Quand on les perd, c'est pour toujours. Ton poème m'a profondément touché au fond du coeur.
C'est un poignant poème que je relis avec autant d'émotion . Tu es détentrice de sa boite à secret ....elle est pleine d'amour , de cet amour qui inonde ce poème malgré la tristesse
je ne sais pas , chère Marie commenter ces mots là . Je peux simplement me les rentrer au fond du cœur les laisser aller leur chemin de souvenirs de tendresse et de tristesse mêlées
Fort belle contribution à la consigne, chère Marie, fort triste aussi! Tu nous montres un papa vieilli, un joueur de musique qui charmait autrefois, mais a oublié la clef des chansons d'amour ou de joie! Une tentative de fille aimante qui voudrait entraîner son papa sur les chemins de la mémoire. Mais la mémoire s'est embrouillée à jamais!
Un poème Alzheimer, en quelque sorte, qui campe de façon à la fois claire et aimante la souffrance des personnages et l'impossibilté de ranimer une étincelle dans le cerveau usé. Avec énormément de douceur, tu nous entraînes dans ce lac profond où les pensées se sont définitivement perdues. Tu utilises d'ailleurs de très belles images: "J'ai égaré la clef de ma boîte à secrets" souligne la nostalgie de l'homme sans souvenirs; "chaque matin je meurs" intensifie cet état, alors que chaque matin devrait être un éveil.
Ce sujet du "Dimanche" est traité ici avec la lucidité de l'analyse et la sensibilité du poète. Merci pour ce très beau poème, chère Marie. Je t'attends pour le mois d'avril!..
Ce poème oui je le dédie à mon papa bien que je n'oserai jamais lui faire lire... Dans la chambre inoccupée...j'ai retrouvé la boîte où petite fille je m'asseyais pour l'écouter jouer et chanter...dans cette boîte, il rangeait cet instrument qui pour moi était magique... C'était dimanche chaque fois qu'il en jouait... L'accordéon a arrêté sa chanson la première fois j'avais cinq ans...mon petit frère avait trois ans, il venait de mourir... Puis peu à peu il a retrouvé ses rengaines jusqu'à ce que l'oubli le laisse sans voix....
Mais dans mon cœur, j'entendrai toujours sa chanson!
Superbe, chère Marie ! Une lecture émouvante à tirer les larmes. L'analyse de ton poème par Lorraine est très juste. Il faut dire que la souffrance en évoquant ces douloureux souvenirs est très palpable.
Ton Papa a peut-être encore ces chansons qui lui trottent dans la tête. Qui peut savoir ? En tout cas, c'est un merveilleux poème que tu lui dédies.
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
Bonjour Marie
RépondreSupprimer"EMOTION..."
Aujourd´hui c´est dimanche... Et en postant ton poème en ce jour de la fête des pères, tu offres le plus beau des cadeaux à ton papa.
Tes mots si délicats couchés sur cette merveilleuse mise en page sont douceur, pudeur, tendresse, caresse au coeur!....
MERCI pour lui et BRAVO à toi
Baiser papillon à vous deux
laurence
Merci beaucoup Laurence...
RépondreSupprimerÉmotions aussi à te lire...
Marie
Bonne fête à mon papa ...Là où il est ...quelque part dans mes souvenirs!
RépondreSupprimerBonsoir chère Marie,
RépondreSupprimerTrès touchante poésie en hommage à ton papa !
J'ai perdu le mien en 2009.
Belle fête à tous les pères !
les papas sont tous là-haut ...(le mien aussi du moins!)
RépondreSupprimerIls nous surveillent et nous protégent!!
SUPERBE POESIE!!!!
bravo
amitié
MM
Un bel hommage tout en tendresse
RépondreSupprimerMon papa aussi est parti , et le papa de mes enfants aussi ....un hommage qui rejailli sur tous les papas de la terre
Un bel hommage à ton papa avec ce magnifique poème.
RépondreSupprimerMerci Marie de ce partage très émouvant. minietoile minietoile minietoile
marie
RépondreSupprimerc' est un texte émouvant et touchant
belle fin de journée
mes amitiés
Je ne peux pas ne pas verser une larme... nos papas, nos mamans nous manquent tant.
RépondreSupprimerTon poème est bon à relire...
Bonjour Marie
RépondreSupprimerTes vers sont vraiment remplit d'une belle émotion !
bravosuper
Quelle tendresse et beau poème pour ce père absent mais bien présent dans ton coeur !
RépondreSupprimerOn peut gommer les images, mais pas l'amour reçu !
Bien à toi chère MARIE
Beaucoup d'émotion à te lire, Marie!
RépondreSupprimerA te relire plutôt car je me souviens très bien
de ce poème beau, triste et de sa superbe
mise en page!
Oui, c'est triste les fêtes des mères et des pères
quand on n'a plus ses parents…
Bonne soirée, bisous.
il y a un voile de tristesse et de nostalgie incroyable dans ton poème, réellement palpable, un flot d'émotions
RépondreSupprimerQu'il doit être douloureux de voir ses propres parents sans mémoire, sans qu'ils sachent, en nous regardant, qui nous avons été pour eux.
RépondreSupprimerchère Mary, la relecture de ton merveilleux poème m'a procuré autant d'émotion que la première fois.
RépondreSupprimerBravo encore !
Un poème si poignant! J'admire la profondeur de ta pensée.
RépondreSupprimerLa poésie s'entend à travers la musique du coeur.
Elle ignore l'artifice des rimes.
Chante encore et toujours!
Amicalement
Merci Marie pour ce partage,ce très beau poème où tu exprimes avec émotion tristesse
RépondreSupprimerprésente et souvenirs heureux!
C'est tellement douloureux d'assister impuissant(e) aux atteintes de la vieillesse et de la
maladie chez ceux qu'on aime!
Oui, très nostalgique ton poème, mais on voudrait parfois tellement qu'ils reviennent, même s'ils sont partis depuis longtemps, dans les moments plus difficiles.
RépondreSupprimerHélas, on n'en a qu'une paire de parents, et pas de "pièces de rechange" ou d'échange standard". Quand on les perd, c'est pour toujours.
Ton poème m'a profondément touché au fond du coeur.
C'est un poignant poème que je relis avec autant d'émotion . Tu es détentrice de sa boite à secret ....elle est pleine d'amour , de cet amour qui inonde ce poème malgré la tristesse
RépondreSupprimerQuand l'émotion me submerge, je ne sais plus commenter ! Très touchée par ce poème Marie...
RépondreSupprimeril y a tellement de douleur...
Je ne peux que t'embrasser bien fort !
je ne sais pas , chère Marie commenter ces mots là .
RépondreSupprimerJe peux simplement
me les rentrer au fond du cœur
les laisser aller leur chemin
de souvenirs de tendresse et de tristesse mêlées
Fort belle contribution à la consigne, chère Marie, fort triste aussi! Tu nous montres un papa vieilli, un joueur de musique qui charmait autrefois, mais a oublié la clef des chansons d'amour ou de joie! Une tentative de fille aimante qui voudrait entraîner son papa sur les chemins de la mémoire. Mais la mémoire s'est embrouillée à jamais!
RépondreSupprimerUn poème Alzheimer, en quelque sorte, qui campe de façon à la fois claire et aimante la souffrance des personnages et l'impossibilté de ranimer une étincelle dans le cerveau usé. Avec énormément de douceur, tu nous entraînes dans ce lac profond où les pensées se sont définitivement perdues. Tu utilises d'ailleurs de très belles images: "J'ai égaré la clef de ma boîte à secrets" souligne la nostalgie de l'homme sans souvenirs; "chaque matin je meurs" intensifie cet état, alors que chaque matin devrait être un éveil.
Ce sujet du "Dimanche" est traité ici avec la lucidité de l'analyse et la sensibilité du poète. Merci pour ce très beau poème, chère Marie. Je t'attends pour le mois d'avril!..
Lorraine
Ce poème oui je le dédie à mon papa bien que je n'oserai jamais lui faire lire...
SupprimerDans la chambre inoccupée...j'ai retrouvé la boîte où petite fille je m'asseyais pour l'écouter jouer et chanter...dans cette boîte, il rangeait cet instrument qui pour moi était magique...
C'était dimanche chaque fois qu'il en jouait...
L'accordéon a arrêté sa chanson la première fois j'avais cinq ans...mon petit frère avait trois ans, il venait de mourir...
Puis peu à peu il a retrouvé ses rengaines jusqu'à ce que l'oubli le laisse sans voix....
Mais dans mon cœur, j'entendrai toujours sa chanson!
Merci Lorraine
Superbe, chère Marie ! Une lecture émouvante à tirer les larmes. L'analyse de ton poème par Lorraine est très juste. Il faut dire que la souffrance en évoquant ces douloureux souvenirs est très palpable.
RépondreSupprimerTon Papa a peut-être encore ces chansons qui lui trottent dans la tête. Qui peut savoir ? En tout cas, c'est un merveilleux poème que tu lui dédies.
très beau poème sur cette foutue maladie ! Merci de m'avoir envoyé les liens !! bisous
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