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mercredi 23 juin 2010

Poème: Pensées de l'aube


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Et mon âme d'hiver
A cueilli la douceur
De matins moins amers
En rosée de bonheur

12 commentaires:

  1. je n'ose imaginer les pensées du crépuscule, j'avoue ressortir troublé de ton poème, beau mais troublant.amitiés Marie

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  2. Merveilleuse est la poésie qui nous permet de revoir par nos pensées
    le cours de la vie.

    A travers certains de tes vers je me regarde dans un miroir clair.

    Merci de ce souffle poétique.

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  3. Notre vie est un peu à l'image d'un long fleuve, mais il est rarement tranquille et son cours souvent capricieux.

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  4. Quand je plonge en tes mots qui flottent dans les brumes, je m'y retrouve toujours ! ces pensées qui ont navigué dans un mirage, tu sais les rendre douceur pour que l'âme devienne légère ! Très beau ton poème, j'aime beaucoup !

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  5. e ressens beaucoup de mélancolie dans ces pensées de l'aube qui ont( mais, peut-être, je me trompe ?) un je ne sais quoi.... du crépuscule. Mais les vers pour le dire sont très beaux !

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  6. Les mots s'enchainent pour des phrases simples et pleines de sens, j'aime bien cette simplicité et ton poème Marie ..

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  7. Des pensées de l'aube qui glissent vers l'éternité .....un beau poème mais je te souhaite plein d'aubes aussi inspirées que celle ci

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  8. coucou, les deux derniers vers sont si vrais,
    on glisse vers cette éternité, fini notre chemin sans but,

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  9. Oublier, ne serait-ce qu'un instant, les pensées qui obscurcissent l'aube et n'en garder qu'une seule, celle qui apporte la lumière de l'espoir.

    J'aime beaucoup tes mots qui sont si vrais.

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  10. Pas pressée de cesser l'errance Marie. Ton poème est doux, mélancolique. Une vie derrière mais encore bien du temps devant. Amitiés et bisous

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  11. le soleil se lève , se lèvera

    " ouvre grand tes volets , laisse ta porte ouverte ...."

    et fais nous danse sur le fil de tes mots

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  12. de la mélancolie dans tes vers que j'aime beaucoup, mais quelle délicatesse. il y a comme une transparence semblable à celle des festons de givre qu'on voit, aux matins d'hiver, pendre aux branches des arbres...
    J'aime beaucoup.

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