Par cette "dernière gabare" c'est toute la vie des bateliers sur nos fleuves du sud ouest que tu retraces avec brio dans ce superbe poème. Cela me fait penser à la "Rivière Espérance", ce beau livre de Christian Signol qui avait été aussi un feuilleton télévisé. Merci Marie.
Bonjour Marie, un bel hommage à ces vieux bateau à fond plat qui jadis sillonnaient la Loire en donnant vie à bien des régions. On aperçois encore de nos jours, dans la région angevine à quelques reconstitutions de ces vieux bateau, mais les chemins de halages restent désespérément vides. Merci Marie pour cette belle poésie. Mes bisous.
J'ai beaucoup aimé naviguer sur ta gabare, Marie, bercée de la nostalgie d'une époque révolue! Tout comme Aube, j'ai pensé à "La rivière Espérance". Je ne connais que le téléfilm qui m'a beaucoup plu.
Bonjour Chère Marie ! C'est avec un grand bonheur que je retrouve ton écriture et cette dernière gabare n'est pas non plus sans me rappeler ce magnifique ouvrage de Christian Signol. Cette Dordogne souvent très capricieuse sur laquelle avançaient les gabares et qui parfois se faisaient aider par de puissants chevaux sur les chemins de halage. Aujourd'hui, si ces chemins existent toujours, ils sont certainement voués à la promenade le long des rivières.
Bravo Marie de nous remémorer cette époque où la rivière était le moyen de transport le plus utilisé mais la vie beaucoup plus rude.
Lors de la construction du pont d'Arcins, près de l'île du même nom sur la Garonne, renommé Pont François Mitterrand, les fouilles ont mis à jour une ancienne Gabare ... merci pour cette délicate attention à la vie d'antan de nos deux fleuves qui savaient alors être utilisées pour le transport des marchandises ... bien écrit
Beacoup de nostalgie dans ce texte qui est très beau et évoque bien la magie des grands fleuves pas totalement domestiqués, où les bateliers devaient lutter pour réaliser leur voyage, et devaient connaître tous les secrets déchiffrés dans les reflets des eaux.
ton texte donne l'impression que tu en as été très proche...
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
Espoir et rêve se cachent toujours dans les brouillards...Partons à leur recherche...
RépondreSupprimersuperbe vision d'une gabare qui glissent sur l'onde apaisée
RépondreSupprimerLa dernière gabare Mes_ar10
mes photos personnelles..pour MARIE..
j'ai aimé l'instant poésie - douceur dans vos mots - Marie
superbe vision d'une gabare qui glissent sur l'onde apaisée
RépondreSupprimerLa dernière gabare Mes_ar10
mes photos personnelles..pour MARIE..
j'ai aimé l'instant poésie - douceur dans vos mots - Marie
Par cette "dernière gabare" c'est toute la vie des bateliers
RépondreSupprimersur nos fleuves du sud ouest que tu retraces avec brio dans
ce superbe poème. Cela me fait penser à la "Rivière Espérance",
ce beau livre de Christian Signol qui avait été aussi un feuilleton
télévisé. Merci Marie.
Sur La LOire à NEVERS des gabares ont été remises en service ..un bel hommage à ces hommes courageux
RépondreSupprimerSouvenirs de temps révolus
RépondreSupprimerdouceur des choses et paix de la Dordogne embrumée
merci du voyage de temps et fleuve si chers à mon cœur
Bonjour Marie, un bel hommage à ces vieux bateau à fond plat qui jadis sillonnaient la Loire en donnant vie à bien des régions.
RépondreSupprimerOn aperçois encore de nos jours, dans la région angevine à quelques reconstitutions de ces vieux bateau, mais les chemins de halages restent désespérément vides. Merci Marie pour cette belle poésie.
Mes bisous.
Capricorne
J'ai beaucoup aimé naviguer sur ta gabare, Marie, bercée de la nostalgie
RépondreSupprimerd'une époque révolue! Tout comme Aube, j'ai pensé à "La rivière Espérance".
Je ne connais que le téléfilm qui m'a beaucoup plu.
Tu as bien mis en scène abec delicatesse un vieux metier d'autrefois,
RépondreSupprimerBonjour Chère Marie !
RépondreSupprimerC'est avec un grand bonheur que je retrouve ton écriture et cette dernière gabare n'est pas non plus sans me rappeler ce magnifique ouvrage de Christian Signol. Cette Dordogne souvent très capricieuse sur laquelle avançaient les gabares et qui parfois se faisaient aider par de puissants chevaux sur les chemins de halage. Aujourd'hui, si ces chemins existent toujours, ils sont certainement voués à la promenade le long des rivières.
Bravo Marie de nous remémorer cette époque où la rivière était le moyen de transport le plus utilisé mais la vie beaucoup plus rude.
Lors de la construction du pont d'Arcins, près de l'île du même nom sur la Garonne, renommé Pont François Mitterrand, les fouilles ont mis à jour une ancienne Gabare ... merci pour cette délicate attention à la vie d'antan de nos deux fleuves qui savaient alors être utilisées pour le transport des marchandises ... bien écrit
RépondreSupprimerCette dernière gabare fait partie des innombrables dernières choses, vestiges d'un siècle écoulé... Mais c'est aussi beaucoup de nostalgie !
RépondreSupprimerBeacoup de nostalgie dans ce texte qui est très beau et évoque bien la magie des grands fleuves pas totalement domestiqués, où les bateliers devaient lutter pour réaliser leur voyage, et devaient connaître tous les secrets déchiffrés dans les reflets des eaux.
RépondreSupprimerton texte donne l'impression que tu en as été très proche...
J'aime beaucoup.