Bonjour Marie, Je pense que les volcans sont les soupapes de sécurité de la terre, qu'ils participent à son équilibre, évidemment comme tout événement d'origine naturelle, ils sont extrémement dangereux, aujourd'hui il est possible de suivre leur évolution et de "gérer" de manière assez efficace. A ta manière tu les rends beaucoup plus sympathiques par le simple fait de tes mots amitiés Phil
Tu sais, Marie, que j'ai dû aller chercher où était Mongibello car j'ignorais qu'en fait il s'agit de l'Etna. Pour ceux qui ne le savaient pas non plus :
L'Etna, également appelé Ætna, Etnea, Monte di Catania, Mongibello ou encore Mons Gibel Utlamat, en sicilien ’a muntagna ou Mungibeddu, est un volcan d'Italie situé en Sicile, à proximité de la ville de Catane, la seconde ville la plus peuplée de Sicile. Culminant à 3 330 mètres d'altitude, il est le volcan le plus haut d'Europe et avec presque cent éruptions au cours du XXe siècle, l'un des plus actifs du monde. Sa forte activité éruptive, les coulées de lave très fluides et la proximité de zones densément peuplées ont décidé les volcanologues à l'inclure parmi la liste des volcans de la Décennie.
J'avais quand même compris qu'il s'agissait d'un volcan. Tu l'as très bien écrit d'ailleurs. Un volcan a quelque chose d'effrayant et en même temps lorsqu'il entre en éruption c'est quelque chose de magnifique. Les populations limitrophes ne veulent pas quitter leurs terres car elles sont enrichies par les cendres volcaniques.
Merci Marie pour ce poème qui m'a appris quelque chose.
tu évoques très bien le Seigneur Etna dans ces vers... j'ai toujours été un admirateur passionné des volcans. La grande découverte pour moi a été à douze ans, quand on a pu suivre en direct l'éruption de Capelhinos (Açores) à la télévision et aux actualités du cinéma..
coucou Marie belle description de ce volcan, j'en ai vu un à l'ile de la Reunion, il dévalait tranquillement la vallée jusqu'au village,, le plus surprenant était les habitants fatalistes qui suivaient la coulée, jusqu'au village. Vous savez quoi ? elle s'est arrêtée aux portes de l'église.
Un magnifique tableau de l'Etna après le passage des "flammes de l'enfer." Merci Marie de l'avoir peint de tes mots poétiques, sans oublier l'euphorbe et le genêt.
C'est quand même surprenant de voir comment la couleur reprend de ses droits après une catastrophe comme une éruption de volcan ou même un feu de forêt.... Et ton poème appelle à la vie qui se poursuit.
l faut bien avouer qu'un volcan en éruption est fascinant ! A condition de n'être tout de même pas trop près, ni qu'il crache trop de colère comme à Pompéi... Tu as rendu avec force la vie qui jaillit, après, et comme il est dit "à toute chose malheur est bon" !!!
Un très puissant poème ! Bravo Marie et merci du partage si beau de tous tes mots.
Très belle description du paysage après éruption et coulée! J'aime cette forme très originale: chacun des vers du 1er quatrain répétés en 1ère position dans les quatrains suivants. Cela colore ton poème d'une belle mélodie!
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
Bonjour Marie,
RépondreSupprimerJe pense que les volcans sont les soupapes de sécurité de la terre, qu'ils participent à son équilibre, évidemment comme tout événement d'origine naturelle, ils sont extrémement dangereux, aujourd'hui il est possible de suivre leur évolution et de "gérer" de manière assez efficace.
A ta manière tu les rends beaucoup plus sympathiques par le simple fait de tes mots
amitiés
Phil
Tu sais, Marie, que j'ai dû aller chercher où était Mongibello car j'ignorais qu'en fait il s'agit de l'Etna.
RépondreSupprimerPour ceux qui ne le savaient pas non plus :
L'Etna, également appelé Ætna, Etnea, Monte di Catania, Mongibello ou encore Mons Gibel Utlamat, en sicilien ’a muntagna ou Mungibeddu, est un volcan d'Italie situé en Sicile, à proximité de la ville de Catane, la seconde ville la plus peuplée de Sicile. Culminant à 3 330 mètres d'altitude, il est le volcan le plus haut d'Europe et avec presque cent éruptions au cours du XXe siècle, l'un des plus actifs du monde. Sa forte activité éruptive, les coulées de lave très fluides et la proximité de zones densément peuplées ont décidé les volcanologues à l'inclure parmi la liste des volcans de la Décennie.
J'avais quand même compris qu'il s'agissait d'un volcan. Tu l'as très bien écrit d'ailleurs.
Un volcan a quelque chose d'effrayant et en même temps lorsqu'il entre en éruption c'est quelque chose de magnifique. Les populations limitrophes ne veulent pas quitter leurs terres car elles sont enrichies par les cendres volcaniques.
Merci Marie pour ce poème qui m'a appris quelque chose.
J'aime beaucoup la forme de ton poème
RépondreSupprimertu évoques très bien le Seigneur Etna dans ces vers... j'ai toujours été un admirateur passionné des volcans. La grande découverte pour moi a été à douze ans, quand on a pu suivre en direct l'éruption de Capelhinos (Açores) à la télévision et aux actualités du cinéma..
une poésie qui me fait rêver.
coucou Marie belle description de ce volcan,
RépondreSupprimerj'en ai vu un à l'ile de la Reunion, il dévalait tranquillement la vallée jusqu'au village,,
le plus surprenant était les habitants fatalistes qui suivaient la coulée, jusqu'au village.
Vous savez quoi ? elle s'est arrêtée aux portes de l'église.
Un magnifique tableau de l'Etna après le passage des
RépondreSupprimer"flammes de l'enfer." Merci Marie de l'avoir peint de tes
mots poétiques, sans oublier l'euphorbe et le genêt.
Un spectacle grandiose, sans aucun doute, et que tu décris avec grand talent.
RépondreSupprimerBonjour Marie un très joli poème pour raviver la flamme de mes souvenirs.
RépondreSupprimerMerci pour cet instant de bonheur poétique.
Mes bisous.
Capricorne
Superbement écrit et décrit ce que le volcan laisse à la terre, bravo Marie, j'ai beaucoup aimé, c'est excellent
RépondreSupprimerC'est quand même surprenant de voir comment la couleur reprend de ses droits après une catastrophe comme une éruption de volcan ou même un feu de forêt.... Et ton poème appelle à la vie qui se poursuit.
RépondreSupprimerBisous Marie
l faut bien avouer qu'un volcan en éruption est fascinant ! A condition de n'être tout de même pas trop près, ni qu'il crache trop de colère comme à Pompéi... Tu as rendu avec force la vie qui jaillit, après, et comme il est dit "à toute chose malheur est bon" !!!
RépondreSupprimerUn très puissant poème ! Bravo Marie et merci du partage si beau de tous tes mots.
Des gros bisous
Très belle description du paysage après éruption et coulée!
RépondreSupprimerJ'aime cette forme très originale: chacun des vers du 1er
quatrain répétés en 1ère position dans les quatrains suivants.
Cela colore ton poème d'une belle mélodie!
Merci, Marie, pour cette belle lecture!
Et voilà! Lisant un peu plus loin, j'ai vu qu'il s'agit d'un quadrille!
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup! Re-bisous. Bettina