Le murmure des tes mots a aussi de très doux parfums je suis sous le charme de ton poème Marie. Il chante dans ma tête Bonne fin de weekend Amitiés Tony Yves
Poème inspiré par une promenade Autour des étangs de La Brenne quand le vent souffle doucement sur les roseaux...Un peu comme une chanson...un refrain nostalgique....
"Les murmures sont les soupirs de l'âme sur les ruisseaux du temps qui passe..."
Bonjour Marie Très joli site où il fait bon se promener,tranquillement,doucement...j'y vois des bancs pour s'asseoir à chaque tournant. Je pense que nous avons un point commun qui est celui de s'émerveiller des choses toutes simples. Merci Très heureuse d'avoir partagé avec vous.
Oui, le vent sait nous rappeler beaucoup de choses par ses murmures et notamment cette fuite du temps, qui parfois emporte avec lui la "mémoire" de ceux qu'on aime... Un magnifique poème rempli d'émotions.
Souvenirs murmurés par le vent. L'enfance est le temps béni où l'on découvre le vent. Avez vous vu l'air bienheureux d'un bébé qui reçoit un petit courant d'air. Ce vent qui nous faisait fermer les yeux quand on courait dans la prairie. Le vent de la vitesse d'une descente en vélo ou du visage à la portière d'une voiture et même, pour moi qui suis d'une autre génération, celle de la portière du train. On se saoulait de vent, mais le temps a passé, maintenant je le déguste, je le savoure, mais à moi il parle encore bien-être, même s'il me ramène une mèche de cheveux blancs sur le visage. Il sent la montagne. Il sent la mer. C'est un souffle de vie qui perdure. Alors non, pas de nostalgie. Vive le vent et....nous avec. Beau poème. Encore un de plus, à me faire réfléchir sur la vie. Tu es la meilleure
Comme le dit Françoise, ton commentaire, Lisette, est vraiment très beau... Il m'a fait penser à cette chanson de Jean Claude Gianadda que j'avais oubliée:
Citation : Le vent qui passe
Refrain
Le vent qui passe
Te dit tout bas ;
Le vent qui passe
Chante pour toi.
1.- Quand passera le vent, ami ouvre ta porte,
Laisse-le se blottir au creux de ta chanson,
Apprends-lui des refrains, afin qu’il les emporte
Aux quatre coins du monde, par delà l’horizon.
2.- Quand partira le vent vers les contrées nouvelles,
Si partir c’est mourir, heureux qui meurt d’aimer ;
Tu as peur quand tout change, quand tout se renouvelle
Est-ce la vie qui change, ou vivre c’est changer ?
3.- Quand pleurera le vent d’avoir vu sur la terre
Tant de larmes et de sang, c’est à toi qu’il dira :
Qu’as-tu fait de tes mains, qu’as-tu fait de ton frère ?
Tant qu’un homme aura faim, le blé se fanera.
4.- Le monde serait beau comme une main ouverte,
Le monde serait grand comme un regard d’enfant ;
On sèmerait le vent pour récolter la fête,
On vivrait la tendresse tout au long de l’instant.
Et murmure le vent quand la harpe du temps ramène un à un les souvenirs d'antan! Quelle douce et belle complainte, chère Marie! Comme nous savons entendre ce murmure à toutes les heures de notre vie, les heures de l'enfance et celles de l'âge qui vient, qui vient sur la pointe des pieds! J'aime ton inspiration toujours légère et presque fluide, qu'alimentent le temps qui passe,le vent qui souffle, le ruisseau qui coule, tous ces petits témoins de l'existence auxquels tu donnes ton regard et ton émotion.
Merci Lorraine... Parfois pour retrouver un peu d'espoir IL faut savoir écouter les murmures du vent Ces murmures de souvenirs et d'espoir Qui ont des mélodies d'espoir mêlées à des notes de nostalgie!
Quelle poésie ! un souffle de douce nostalgie ..certes, le passé ne peut revivre mais parfois un léger souffle nous rappelle les joies, les peines d'hier et amène un sourire ou une larme . Le vent traîne dans son sillage des bruits, des odeurs qui enivrent notre âme et nous fait faire un bond en arrière ......et là, à cet instant, chez moi, le vent promène, une fillette brune à la rentrée des classes, l'odeur de la craie, des cahiers neufs, des feuilles humides sous les grands tilleuls de la cour... Ton merveilleux texte me porte sur les ailes de ce vent satin.
Quel bonheur de lecture, chère Marie! Lorsque sous ta plume, le vent murmure toute sa (ta, notre) nostalgie c'est une poésie-mélodie de toute beauté! Merci pour tes mots!
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
Le murmure des tes mots a aussi de très doux parfums
RépondreSupprimerje suis sous le charme de ton poème Marie. Il chante dans ma tête
Bonne fin de weekend
Amitiés
Tony Yves
Poème inspiré par une promenade Autour des étangs de La Brenne quand le vent souffle doucement sur les roseaux...Un peu comme une chanson...un refrain nostalgique....
RépondreSupprimer"Les murmures sont les soupirs de l'âme
sur les ruisseaux du temps qui passe..."
Merci
Amitiés
tres joli quatrain aussi doux que le murmure du vent dans les roseaux....
RépondreSupprimermerci de ton passage Marie
joelle
je me laise envahir par les murmures de la douce mélodie de tes rimes et cela me fait du bien
RépondreSupprimerbisous douceur Marie
Ozymandias, Line!
RépondreSupprimerMerci d'être venues écouter les murmures du vent autour des étangs de La Brenne!
Bonjour Marie
RépondreSupprimerTrès joli site où il fait bon se promener,tranquillement,doucement...j'y vois des bancs pour s'asseoir à chaque tournant.
Je pense que nous avons un point commun qui est celui de s'émerveiller des choses toutes simples.
Merci
Très heureuse d'avoir partagé avec vous.
Mno
Chère Marie, quelle belle lecture que ce poème ! J'ai beaucoup apprécié la répétition du 1er quatrain avec ses variantes.
RépondreSupprimerLe vent t'a murmuré de bien jolis vers aux parfums d'antan avec un brin de tristesse et de mélancolie. Belle présentation.
quelle douceur à te lire après une journée agitée, comme un murmure le vent nous glisse tes mots poésie
RépondreSupprimermerci, un moment privilégié avant d'aller se reposer ..
Un superbe poème magnifiquement illustré.
RépondreSupprimerOui, avec le temps et l'âge, les souvenirs s'effilochent, certains restant très vivaces et d'autres s'éteignant comme bougies consumées.
Une très grande tendresse dans tes mots empreints de nostalgie.....
C'est très beau et cela invite au rêve d'antan....
J'aime..
Oui, le vent sait nous rappeler beaucoup de choses par ses murmures et
RépondreSupprimernotamment cette fuite du temps, qui parfois emporte avec lui la "mémoire"
de ceux qu'on aime... Un magnifique poème rempli d'émotions.
Le vent t’a soufflé un bien joli poème sur de belles photos.
RépondreSupprimerSouvenirs murmurés par le vent. L'enfance est le temps béni où l'on découvre le vent. Avez vous vu l'air bienheureux d'un bébé qui reçoit un petit courant d'air. Ce vent qui nous faisait fermer les yeux quand on courait dans la prairie. Le vent de la vitesse d'une descente en vélo ou du visage à la portière d'une voiture et même, pour moi qui suis d'une autre génération, celle de la portière du train. On se saoulait de vent, mais le temps a passé, maintenant je le déguste, je le savoure, mais à moi il parle encore bien-être, même s'il me ramène une mèche de cheveux blancs sur le visage. Il sent la montagne. Il sent la mer. C'est un souffle de vie qui perdure. Alors non, pas de nostalgie. Vive le vent et....nous avec.
RépondreSupprimerBeau poème. Encore un de plus, à me faire réfléchir sur la vie.
Tu es la meilleure
Ma chère Lisette, que c'est beau ce que tu écris dans ton com à Marie !
RépondreSupprimerTant que le vent nous rapportera des souvenirs et des mots c'est que nous sommes en vie.
Comme le dit Françoise, ton commentaire, Lisette, est vraiment très beau...
RépondreSupprimerIl m'a fait penser à cette chanson de Jean Claude Gianadda que j'avais oubliée:
Citation :
Le vent qui passe
Refrain
Le vent qui passe
Te dit tout bas ;
Le vent qui passe
Chante pour toi.
1.- Quand passera le vent, ami ouvre ta porte,
Laisse-le se blottir au creux de ta chanson,
Apprends-lui des refrains, afin qu’il les emporte
Aux quatre coins du monde, par delà l’horizon.
2.- Quand partira le vent vers les contrées nouvelles,
Si partir c’est mourir, heureux qui meurt d’aimer ;
Tu as peur quand tout change, quand tout se renouvelle
Est-ce la vie qui change, ou vivre c’est changer ?
3.- Quand pleurera le vent d’avoir vu sur la terre
Tant de larmes et de sang, c’est à toi qu’il dira :
Qu’as-tu fait de tes mains, qu’as-tu fait de ton frère ?
Tant qu’un homme aura faim, le blé se fanera.
4.- Le monde serait beau comme une main ouverte,
Le monde serait grand comme un regard d’enfant ;
On sèmerait le vent pour récolter la fête,
On vivrait la tendresse tout au long de l’instant.
Quelles belles paroles, que l'on lit avec intérêt. Comme une chanson aux souvenirs d'antan que l'on apprécie. Superbe!
RépondreSupprimerEt murmure le vent quand la harpe du temps ramène un à un les souvenirs d'antan! Quelle douce et belle complainte, chère Marie! Comme nous savons entendre ce murmure à toutes les heures de notre vie, les heures de l'enfance et celles de l'âge qui vient, qui vient sur la pointe des pieds! J'aime ton inspiration toujours légère et presque fluide, qu'alimentent le temps qui passe,le vent qui souffle, le ruisseau qui coule, tous ces petits témoins de l'existence auxquels tu donnes ton regard et ton émotion.
RépondreSupprimerBises à toi,
Lorraine
Merci Lorraine...
RépondreSupprimerParfois pour retrouver un peu d'espoir
IL faut savoir écouter les murmures du vent
Ces murmures de souvenirs et d'espoir
Qui ont des mélodies d'espoir mêlées à des notes de nostalgie!
Quelle poésie ! un souffle de douce nostalgie ..certes, le passé ne peut revivre mais parfois un léger souffle nous rappelle les joies, les peines d'hier et amène un sourire ou une larme .
RépondreSupprimerLe vent traîne dans son sillage des bruits, des odeurs qui enivrent notre âme et nous fait faire un bond en arrière ......et là, à cet instant, chez moi, le vent promène, une fillette brune à la rentrée des classes, l'odeur de la craie, des cahiers neufs, des feuilles humides sous les grands tilleuls de la cour...
Ton merveilleux texte me porte sur les ailes de ce vent satin.
Quel bonheur de lecture, chère Marie!
RépondreSupprimerLorsque sous ta plume, le vent murmure toute sa (ta, notre) nostalgie
c'est une poésie-mélodie de toute beauté!
Merci pour tes mots!