Comme sur ton images les mots sont comme les fleurs qui poussent sur le vieux mur écroulé ou dans les fissures du béton de l'usine désaffectée les mots, les fleurs, la vie renaissent toujours
"les mots, les fleurs, la vie renaissent toujours..."
Tu as raison...
"Les mots que l'on écrit quelque soit leur grandeur, quelque soit leur simplicité renaissent de leurs cendres dans le cœur de celui qui les reçoit..." Marie
De la pire détresse renait la vie, l'espoir. Nous sommes tous de murs fissurés, parfois bien amochés mais la vie est plus forte que la mort. La nature le dit tous les jours ! Joëlle
On se demande parfois comment des fleurs arrivent à pousser entre les pierres ; il suffit d'un peu de terre ou d'un peu d'humidité pour qu'un graine déposée par un insecte, un oiseau ou le vent lui donne vie.
Il en va de même alors que tout va mal, que l'on est sur le point de tout abandonner, et qu'une toute petite lumière d'espoir nous donne envie de continuer à vivre. Le Bonheur finit toujours par arriver, même quand il prend son temps.
Une touche de couleur viendra toujours s'ajouter au profond désespoir parce que la vie est ainsi faite, rien ne se crée, rien ne se perd. Après la pluie le beau temps, le poète a ses mots pour se libérer et aussi pour retrouver l'espoir. La vie continue avec ses hauts et ses bas.... ses joies, ses peines. Bravo pour ce magnifique poème.
La vie est têtue et renait là ou l'incendie a tout détruit ..petit à petit elle reprend ses droits .....même s'il faut parfois longtemps .....bel espoir entre les vagues de tristesse et de mélancolie
Un remarquable poème plein de cette douceur mélancolique que colore pourtant la fleur qui pousse même dans les ruines. Une émotion réelle à lire ces vers admirablement ciselés..
Faut-il construire des ruines Pour que les fleurs s'épanouissent? Daniel, la vie n'est-elle faite que de pierres écroulées Où s'accrochent en vain nos pétales asséchés? Que de questions sans réponses Quand s'ombrent de désespoir Et nos nuits et nos jours Quand les portes se verrouillent Que les lumières s'éteignent Sur trop de peurs, Sur trop de pleurs... Où est le bel été et les moissons De rires Qui éclataient Aux rimes de nos vingt ans? Ne reste que la bruine lancinante D'un passé qui n'est plus D'un futur déjà enseveli Sous des pierres pourries!...
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
Comme sur ton images les mots sont comme les fleurs qui poussent sur le vieux mur écroulé ou dans les fissures du béton de l'usine désaffectée les mots, les fleurs, la vie renaissent toujours
RépondreSupprimer"les mots, les fleurs, la vie renaissent toujours..."
RépondreSupprimerTu as raison...
"Les mots que l'on écrit quelque soit leur grandeur, quelque soit leur simplicité renaissent de leurs cendres dans le cœur de celui qui les reçoit..."
Marie
Les maux se transforment en mots qui se posent sur le coeur de celui qui les lit si son coeur est apte à les recevoir.
RépondreSupprimerbisous
De la pire détresse renait la vie, l'espoir. Nous sommes tous de murs fissurés, parfois bien amochés mais la vie est plus forte que la mort. La nature le dit tous les jours ! Joëlle
RépondreSupprimerLine et Joëlle merci
RépondreSupprimerLaisser pousser les fleurs, elles sont germes d'avenir même dans les profondes fissures de nos murs.
Quel splendide poème, malgré sa profonde mélancolie, mais la touche d'espoir de la fin indique que rien n'est perdu... Merci, Marie !
RépondreSupprimerOn se demande parfois comment des fleurs arrivent à pousser entre les pierres ; il suffit d'un peu de terre ou d'un peu d'humidité pour qu'un graine déposée par un insecte, un oiseau ou le vent lui donne vie.
RépondreSupprimerIl en va de même alors que tout va mal, que l'on est sur le point de tout abandonner, et qu'une toute petite lumière d'espoir nous donne envie de continuer à vivre. Le Bonheur finit toujours par arriver, même quand il prend son temps.
Magnifique poème, comme d'habitude.
Poème mélancolique Marie mais où l'espoir subsiste et nous dit de toujour croire au bonheur.
RépondreSupprimerJ'ai beaucoup aimé cet instant de lecture et de poésie
Marie, je suis émerveillée tant tes poèmes sont beaux, mélancoliques et doux
RépondreSupprimerLa nature rebelle qui repousse parfois où rien ne pouvait le supposer, vieilles pierres enluminées de verdure et tes mots font vivre cette nature
Bravo et merci j'ai la plénitude et le calme qui enrobent tes vers
RépondreSupprimerUne touche de couleur viendra toujours s'ajouter au profond désespoir parce que la vie est ainsi faite, rien ne se crée, rien ne se perd. Après la pluie le beau temps, le poète a ses mots pour se libérer et aussi pour retrouver l'espoir. La vie continue avec ses hauts et ses bas.... ses joies, ses peines. Bravo pour ce magnifique poème.
La vie est têtue et renait là ou l'incendie a tout détruit ..petit à petit elle reprend ses droits .....même s'il faut parfois longtemps .....bel espoir entre les vagues de tristesse et de mélancolie
RépondreSupprimerQuel superbe poème, chère Marie ! Cette douleur qui pourtant domine, voit l'horizon se colorer et l'espoir rendre sa sérénité.
RépondreSupprimerC'est très, très beau, et tes mots me touchent profondément !
Laisser pousser les fleurs, elles sont germes d'avenir même dans les profondes fissures de nos murs.
RépondreSupprimerUn remarquable poème plein de cette douceur mélancolique que colore pourtant la fleur qui pousse même dans les ruines. Une émotion réelle à lire ces vers admirablement ciselés..
RépondreSupprimerTon poème me touche au plus profond de l'âme.... Tout dedans me parle de si près.... et si vrai.....
RépondreSupprimerMerci d'avoir posté un tel texte.....
Faut-il construire des ruines
RépondreSupprimerPour que les fleurs s'épanouissent?
Daniel, la vie n'est-elle faite que de pierres écroulées
Où s'accrochent en vain nos pétales asséchés?
Que de questions sans réponses
Quand s'ombrent de désespoir
Et nos nuits et nos jours
Quand les portes se verrouillent
Que les lumières s'éteignent
Sur trop de peurs,
Sur trop de pleurs...
Où est le bel été
et les moissons
De rires
Qui éclataient
Aux rimes de nos vingt ans?
Ne reste que la bruine lancinante
D'un passé qui n'est plus
D'un futur déjà enseveli
Sous des pierres pourries!...