Poignant ton poème Marie. Je comprends que les fêtes approchant, cela ravive ce souvenir terrible. Voilà des blessures qui ne se referment jamais, mais tu lui rends là un vibrant hommage auquel nul ne peut rester insensible. Amicalement. Joelle
Je n'avais jamais osé écrire sur cet accident là, c'est le petit cheval qui m'a aidé...(retrouvé et pris en photo la semaine dernière) Avec une ficelle attachée au cheval,mon petit frère est parti en reculant tout près de la lessiveuse où maman et ma grand-mère faisaient la lessive...à la mode d'autrefois... Une bassine était posée par terre avec de l'eau bouillante... Il est tombé dedans... Trois jours après il décédait non de ces brûlures mais d'"un choc au cœur" d'après ce que l'on m'a dit.. On jouait ensemble au loto deux minutes avant...
Chère Marie, ton poème me fait pleurer... Quel bouleversant cri d'amour pour ton petit frère (Ma Maman a perdu son petit frère mort à 4 ans de la fièvre typhoïde, elle en avait cinq aussi et toujours il reste dans son coeur)
Je sens vibrer ton émotion en écrivant ce poème d'un adieu qui fut aussi un déchirement. J'ai la gorge serrée tant chaque mot ici a son sens, et la petite fille de cinq ans que tu étais n'a rien oublié aujourd'hui. Les anciennes souffrances ne sont jamais effacées; elle laissent une larme, un objet,un jouet, qui tous parlent d'un passé meurtri et ressuscitent l'image d'"avant".
Chère Marie, tes mots bouleversent. Leur musique si belle fait mal. Je t'embrasse,
Quelle émotion à te lire aujourd'hui Marie, à partir de chez Célestine "comme les étoiles"... quelle souffrance, quelle injustice..... pauvre petit choux ! comment de telles choses sont-elles possibles ! pourquoi ? Je pense à toi aussi. AMITIES. Den
J'ai suivi le lien chez Jamadrou... et comme elle je pleure. De notre famille, j'ai perdu deux frères... l'un, mort pendant que maman m'attendait, il ne reste de lui qu'une photographie et il me manque énormément, l'autre plus âgé, il aurait pu mourir comme le tien, d'une énorme brûlure qui avait transformé son dos en une carte de géographie. Il a vécu plus longtemps, nous avons partagé beaucoup dans mon enfance. Je t'embrasse très fort.
La mort d'un enfant c'est quelque chose d'épouvantable dont on se remet jamais. Ma grand-mère avait perdu un petit garçon de 6 ans (la rougeole) Avec ses petits enfants elle avait toujours peur. Elle nous embrassait mais nous touchait souvent le front. Avions nous de la fièvre ? C'était difficile pour nous car son anxiété était maladive. Ton poème est émouvant et des moments comme ça restent ancrés à jamais en nous.
Ma chère Marie, Que d'émotion ! Un tel drame laisse toujours des traces, même chez une petite fille de 5 ans. Ce petit frère avec qui certainement tu avais partagé les jeux, les rires, les pleurs, les câlins, te manque terriblement et ça je le comprends car j'ai aussi vécu le décès de mon petit frère, âgé de 16 mois. En te lisant, tous ces souvenirs ... Pleurs Pleurs Ton petit frère et le mien sont sûrement avec les anges et veillent sur nous.
Le poème est MAGNIFIQUE. Il est certainement fier de toi.
Je ne peux que te faire des gros bisous pour apaiser ton chagrin.
Un bouleversant hommage à ce petit frère disparu tragiquement bien trop tôt... Pleurs Et même si longtemps après, il est toujours dans ton coeur veillant sans cesse sur sa "grande soeur".
Je sens vibrer ton émotion en écrivant ce poème d'un adieu qui fut aussi un déchirement. J'ai la gorge serrée tant chaque mot ici a son sens, et la petite fille de cinq ans que tu étais n'a rien oublié aujourd'hui. Les anciennes souffrances ne sont jamais effacées; elle laissent une larme, un objet,un jouet, qui tous parlent d'un passé meurtri et ressuscitent l'image d'"avant".
Chère Marie, tes mots bouleversent. Leur musique si belle fait mal. Je t'embrasse,
c'est si bouleversant et si beau à la fois ......les êtres chers sont toujours dans nos coeurs ..et le coeur d'une petite fille de 5 ans est bien fragile ..une disparition tragique ...un poème rempli d'amour et de tristesse....
Je n'avais jamais osé écrire sur cet accident là, c'est le petit cheval qui m'a aidé...(retrouvé et pris en photo la semaine dernière) Avec une ficelle attachée au cheval, il est parti en reculant tout près de la lessiveuse où maman et ma grand-mère faisaient la lessive...à la mode d'autrefois... Une bassine était posée par terre avec de l'eau bouillante... Il est tombé dedans... Trois jours après il décédait non de ces brûlures mais d'"un choc au coeur" d'après ce que l'on m'a dit.. On jouait ensemble au loto deux minutes avant...
Ma chère Marie, c'est terrible ce qui est arrivé à ton petit Frère. C'est un accident. Ni ta Maman ni ta Grand' Mère n'auraient pu prévoir que ton petit Frère allait tomber dans cette bassine. Pour surmonter un tel drame, il en a sûrement fallu du courage à toute la famille !!! Toi, tu n'as pas dû trop comprendre pourquoi le destin cruel t'avait enlevé celui que tu aimais. Marie, tu as bien fait d'écrire pour exprimer ce gros chagrin refoulé au fond de ton coeur. Je partage ta peine.
Que d'émotion, chère Marie, à lire ce très beau poème en hommage à ton petit frère! Le temps qui passe, même s'il l'atténue un peu, n'enlève pas la peine... Pourtant, je crois très fort que, malgré la séparation brutale, ton petit frère continue à penser à toi et à t'aimer comme tu l'aimes. Je t'embrasse, chère Marie, avec toute mon amitié.
J'ai la gorge serrée ! C'est terrible, chère MARIE cet accident ... que de douleurs de chagrins... Un petit ange parti trop tôt... que peut être cruel le destin !
Tendrement à toi... et merci de partager tant de souffrance.
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
Poignant ton poème Marie. Je comprends que les fêtes approchant, cela ravive ce souvenir terrible. Voilà des blessures qui ne se referment jamais, mais tu lui rends là un vibrant hommage auquel nul ne peut rester insensible. Amicalement. Joelle
RépondreSupprimerOh, Marie ! ... MAGNIFIQUE...
RépondreSupprimerBises
Touchant poème avec en plus Noël si proche
RépondreSupprimerJe n'avais jamais osé écrire sur cet accident là, c'est le petit cheval qui m'a aidé...(retrouvé et pris en photo la semaine dernière)
RépondreSupprimerAvec une ficelle attachée au cheval,mon petit frère est parti en reculant tout près de la lessiveuse où maman et ma grand-mère faisaient la lessive...à la mode d'autrefois...
Une bassine était posée par terre avec de l'eau bouillante...
Il est tombé dedans...
Trois jours après il décédait non de ces brûlures mais d'"un choc au cœur" d'après ce que l'on m'a dit..
On jouait ensemble au loto deux minutes avant...
Marie c'est poignant et j'ai les larmes aux yeux
RépondreSupprimerpauvre petit ange, on n'oublie jamais, jamais....
bisous
Chère Marie, ton poème me fait pleurer...
RépondreSupprimerQuel bouleversant cri d'amour pour ton petit frère
(Ma Maman a perdu son petit frère mort à 4 ans de la fièvre typhoïde, elle en avait cinq aussi et toujours il reste dans son coeur)
Un merci à vous tous après beaucoup de retard!
RépondreSupprimerJe sens vibrer ton émotion en écrivant ce poème d'un adieu qui fut aussi un déchirement. J'ai la gorge serrée tant chaque mot ici a son sens, et la petite fille de cinq ans que tu étais n'a rien oublié aujourd'hui. Les anciennes souffrances ne sont jamais effacées; elle laissent une larme, un objet,un jouet, qui tous parlent d'un passé meurtri et ressuscitent l'image d'"avant".
RépondreSupprimerChère Marie, tes mots bouleversent. Leur musique si belle fait mal.
Je t'embrasse,
Lorraine
Oh Marie comme c'est beau et triste.
RépondreSupprimerJ'en suis éberluée d'émotion.
Merci pour ce doux témoignage
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Merci, je pense à vous tous et surtout aux enfants...
SupprimerAmitiés
Quelle émotion à te lire aujourd'hui Marie, à partir de chez Célestine "comme les étoiles"... quelle souffrance, quelle injustice..... pauvre petit choux ! comment de telles choses sont-elles possibles ! pourquoi ?
RépondreSupprimerJe pense à toi aussi.
AMITIES.
Den
Oui..il y a des instants maudits qu'on n'oublie pas...
SupprimerIl m'a tellement manqué ce petit frère!
😢💚
RépondreSupprimerJ'ai suivi le lien chez Jamadrou...
RépondreSupprimeret comme elle je pleure.
De notre famille, j'ai perdu deux frères... l'un, mort pendant que maman m'attendait, il ne reste de lui qu'une photographie et il me manque énormément, l'autre plus âgé, il aurait pu mourir comme le tien, d'une énorme brûlure qui avait transformé son dos en une carte de géographie. Il a vécu plus longtemps, nous avons partagé beaucoup dans mon enfance.
Je t'embrasse très fort.
Merci Quichottine, un peu, beaucoup absente...La vie réelle nous prend notre temps de loisir sur les blogs...
SupprimerLa mort d'un enfant c'est quelque chose d'épouvantable dont on se remet jamais.
RépondreSupprimerMa grand-mère avait perdu un petit garçon de 6 ans (la rougeole)
Avec ses petits enfants elle avait toujours peur. Elle nous embrassait mais nous touchait souvent le front. Avions nous de la fièvre ? C'était difficile pour nous car son anxiété était maladive.
Ton poème est émouvant et des moments comme ça restent ancrés à jamais en nous.
Ma chère Marie,
RépondreSupprimerQue d'émotion ! Un tel drame laisse toujours des traces, même chez une petite fille de 5 ans. Ce petit frère avec qui certainement tu avais partagé les jeux, les rires, les pleurs, les câlins, te manque terriblement et ça je le comprends car j'ai aussi vécu le décès de mon petit frère, âgé de 16 mois. En te lisant, tous ces souvenirs ... Pleurs Pleurs
Ton petit frère et le mien sont sûrement avec les anges et veillent sur nous.
Le poème est MAGNIFIQUE. Il est certainement fier de toi.
Je ne peux que te faire des gros bisous pour apaiser ton chagrin.
Un bouleversant hommage à ce petit frère disparu tragiquement bien trop tôt... Pleurs
RépondreSupprimerEt même si longtemps après, il est toujours dans ton coeur veillant sans cesse sur sa
"grande soeur".
Je sens vibrer ton émotion en écrivant ce poème d'un adieu qui fut aussi un déchirement. J'ai la gorge serrée tant chaque mot ici a son sens, et la petite fille de cinq ans que tu étais n'a rien oublié aujourd'hui. Les anciennes souffrances ne sont jamais effacées; elle laissent une larme, un objet,un jouet, qui tous parlent d'un passé meurtri et ressuscitent l'image d'"avant".
RépondreSupprimerChère Marie, tes mots bouleversent. Leur musique si belle fait mal.
Je t'embrasse,
Lorraine
chère Marie le temps n'efface pas la peine, il nous aide à la supporter et elle fait partie de nous ... et toute ta peine émane de tes mots ...
RépondreSupprimerc'est si bouleversant et si beau à la fois ......les êtres chers sont toujours dans nos coeurs ..et le coeur d'une petite fille de 5 ans est bien fragile ..une disparition tragique ...un poème rempli d'amour et de tristesse....
RépondreSupprimerJe n'avais jamais osé écrire sur cet accident là, c'est le petit cheval qui m'a aidé...(retrouvé et pris en photo la semaine dernière)
RépondreSupprimerAvec une ficelle attachée au cheval, il est parti en reculant tout près de la lessiveuse où maman et ma grand-mère faisaient la lessive...à la mode d'autrefois...
Une bassine était posée par terre avec de l'eau bouillante...
Il est tombé dedans...
Trois jours après il décédait non de ces brûlures mais d'"un choc au coeur" d'après ce que l'on m'a dit..
On jouait ensemble au loto deux minutes avant...
Ma chère Marie, c'est terrible ce qui est arrivé à ton petit Frère. C'est un accident. Ni ta Maman ni ta Grand' Mère n'auraient pu prévoir que ton petit Frère allait tomber dans cette bassine. Pour surmonter un tel drame, il en a sûrement fallu du courage à toute la famille !!! Toi, tu n'as pas dû trop comprendre pourquoi le destin cruel t'avait enlevé celui que tu aimais.
RépondreSupprimerMarie, tu as bien fait d'écrire pour exprimer ce gros chagrin refoulé au fond de ton coeur. Je partage ta peine.
Que d'émotion, chère Marie, à lire ce très beau poème
RépondreSupprimeren hommage à ton petit frère!
Le temps qui passe, même s'il l'atténue un peu, n'enlève
pas la peine... Pourtant, je crois très fort que, malgré
la séparation brutale, ton petit frère continue à penser
à toi et à t'aimer comme tu l'aimes.
Je t'embrasse, chère Marie, avec toute mon amitié.
J'ai la gorge serrée ! C'est terrible, chère MARIE cet accident ... que de douleurs de chagrins... Un petit ange parti trop tôt... que peut être cruel le destin !
RépondreSupprimerTendrement à toi... et merci de partager tant de souffrance.
Ce poème en forme de sanglot m'a retourné, Marie.
RépondreSupprimerJe ne peux t'en dire plus tant ce chagrin est inexprimable.