Je pense qu'il faut s'apprendre à vivre le présent d'abord et ne pas se laisser noyer dans les ruisseaux enjôleurs des souvenirs ... mais une petite promenade de temps en temps en ces pays dorés est prétexte à quelques poésies!
Tout comme la glycine a fané, le temps s'est envolé, emportant avec lui nos belles années, nos rêves ... La glycine refleurira mais le temps, lui, ne reviendra pas.
Nostalgie de cette barque des amours à la lumière de cette glycine enchantée... Un beau rêve brisé qui a donné naissance à ce splendide poème. Merci Marie.
Emerveillée par une si belle inspiration...un ressenti sur une toile .. c'est un très bel exercice. J'admire, moi qui n'ai plus beaucoup d'envies d'écrire. Je crois qu'il va falloir passer pour moi, à autre chose !!! Mais j'ai grand plaisir à lire, merci Marie.
Le temps passe inexorablement et ne reste plus que le souvenir du parfum des glycines fanées ! Nostalgie magnifiée par la grâce de la poésie, c'est beau !
C'est plus que vivant ! à lire tes mots on voit l'image, tu as dépeint avec justesse tout ce qu'il exprime, dommage que ce ne soit que souvenir d'amour passé
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
quel joli poème romantique où les lilas gardent le parfum du passé
RépondreSupprimerbisous Marie
Le parfum des choses nous délivre souvent les plus beaux souvenirs.
Supprimertrès beau texte
RépondreSupprimerNouria
Merci Nouria
SupprimerTrès beau poème ! J'ai beaucoup aimé le jeu de la rime surtout avec la denier vers de chaque quatrain !!!
RépondreSupprimerJ'ai essayé de faire un "zegel"...une forme approchée...
Supprimer16 vers ...8,10 ou 12 syllabes...
AAAB
CCCB
DDDB
EEEB
ARAGON dans ses propres zegels ,imite cette forme dans son magnifique poème :"heureux celui qui meurt d'aimer"
LE VRAI ZADJAL D'EN MOURIR
Ô mon jardin d'eau fraîche et d'ombre
Ma danse d'être mon coeur sombre
Mon ciel des étoiles sans nombre
Ma barque au loin douce à ramer
Heureux celui qui meurt d'aimer
Qu'à d'autres soit finir amer
Comme l'oiseau se fait chimère
Et s'en va le fleuve à la mer
Ou le temps se part en fumée
Heureux celui qui meurt d'aimer.
tout a une fin Marie... hélas
RépondreSupprimertres joli poème et tres jolie image
j'aime l'odeur des lilas....
amicalement bonne soirée
joelle (ozy)
Oui, tout à une fin reste les souvenirs...
SupprimerA qui la faute cet effritement.I don't know.
RépondreSupprimerPas vraiment de faute, juste cet oubli de ne pas vivre intensément chaque instant "bonheur" de la vie pour ne jamais le perdre en cours de route...
SupprimerJe suis sous le charme de ce magnifique poème,maintenant seul témoin du bonheur envolé.
RépondreSupprimerMes amitiés
Alain
Il est des images qui deviennent des prétextes pour libérer les mots!
RépondreSupprimerBeaucup de nostalgie dans ce texte.Doit on tout le temps vivre avec des souvenirs?
RépondreSupprimerJe pense qu'il faut s'apprendre à vivre le présent d'abord et ne pas se laisser noyer dans les ruisseaux enjôleurs des souvenirs ...
RépondreSupprimermais une petite promenade de temps en temps en ces pays dorés est prétexte à quelques poésies!
Une balade nostalgique toute en tendresse
RépondreSupprimerTout comme la glycine a fané, le temps s'est envolé, emportant avec lui nos belles années, nos rêves ...
RépondreSupprimerLa glycine refleurira mais le temps, lui, ne reviendra pas.
Superbe poème inspiré par cette belle toile.
Nostalgie de cette barque des amours à la lumière
RépondreSupprimerde cette glycine enchantée... Un beau rêve brisé qui
a donné naissance à ce splendide poème. Merci Marie.
Emerveillée par une si belle inspiration...un ressenti sur une toile .. c'est un très bel exercice. J'admire, moi qui n'ai plus beaucoup d'envies d'écrire. Je crois qu'il va falloir passer pour moi, à autre chose !!! Mais j'ai grand plaisir à lire, merci Marie.
RépondreSupprimerLe temps passe inexorablement et ne reste plus que le souvenir du parfum des glycines fanées ! Nostalgie magnifiée par la grâce de la poésie, c'est beau !
RépondreSupprimerC'est plus que vivant ! à lire tes mots on voit l'image, tu as dépeint avec justesse tout ce qu'il exprime, dommage que ce ne soit que souvenir d'amour passé
RépondreSupprimerLes images nous interpellent toujours sur la vie
RépondreSupprimerCette vie qui passe et s'enfuit!
vers des horizons incertains!