superbe quelle passion, magnifique photo à Séville, à Madrid nous avons assisté à du flamenco c'est vraiment une danse passionnée comme ceux qui la pratiquent les femmes et les hommes simulent la danse de l'amour j'ai lu un livre qui m'avait fait le même effet MANO a MANO de F. BOurdin (tres peu épais) alors que ce n'est pas mon genre de lecture j'aime soit les romans historiques, ésotériques ou les thrillers tres gore... hé bien là ce livre m'avait ravie. amicalement Marie et bonne fin de journée joelle (ozy
L’écrivain Tomas Borras parle ainsi du flamenco : « Etre flamenco c’est avoir une autre chair, une autre âme, d’autres passions, une autre peau ; c’est avoir une autre vision du monde, c’est posséder le destin dans la conscience, la musique dans les nerfs, la fierté dans l’indépendance, la joie dans les larmes ; c’est la peine, la vie et l’amour porteurs d’ombres. Etre flamenco c’est haïr la routine castratrice ; c’est enfin s’imbiber dans le cante, dans le vin et dans les baisers » «Amis, méfiez-vous de la fureur du flamenco. Il déroute ou il séduit, il passionne ou il irrite, mais il ne peut laisser indifférent. Sous les apparences d’un vin trop capiteux, il peut agir comme un poison mortel et si vous vous laissez aller à lui ouvrir un jour le chemin de vos sens les plus profonds jusqu’à cet endroit mystérieux où se tapit l’énigme du duende, alors tel le regard de Carmen, il ne vous lâchera plus jamais». Pour Goethe, le duende désignait un pouvoir mystérieux que tout le monde ressent et qu’aucun philosophe n’a pu expliquer. On peut le définir comme un état de transe, un état quasi hypnotique dans lequel on tombe quand on se laisse prendre, envoûté par le chant, par la danse, par la musique, et les éventuels verres de vin bus auparavant.
Oui il ne manque plus que la musique et l'on voit la danseuse donner toute la fougue, toute la beauté, tout l'amour grâce à tes mots. Un magnifique poème Merci Marie
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
Magnifique , je me sens pris par ce rythme endiablé
RépondreSupprimerJoli
Douce journée Marie
Bisous
timilo
Comme tu l'as bien compris ce flamenco qui est partage, dialogue et force de vie !
RépondreSupprimerMagnifique, le tourbillon passionné où nous entraînent tes mots !
RépondreSupprimerAmitiés
Alain
superbe quelle passion, magnifique photo
RépondreSupprimerà Séville, à Madrid nous avons assisté à du flamenco c'est vraiment une danse passionnée comme ceux qui la pratiquent
les femmes et les hommes simulent la danse de l'amour
j'ai lu un livre qui m'avait fait le même effet MANO a MANO de F. BOurdin (tres peu épais)
alors que ce n'est pas mon genre de lecture j'aime soit les romans historiques, ésotériques ou les thrillers tres gore... hé bien là ce livre m'avait ravie.
amicalement Marie et bonne fin de journée
joelle (ozy
Cours, vole flamenco !
RépondreSupprimerTes guitares s’emballent,
Tes jupons virevoltent...
Vole, cours flamenco!
Tes espoirs fous jaillissent,
Tes souffrances explosent...
j'aime
Un très bel écrit bien agrémenté. De belles images. IRIS
RépondreSupprimerHymne superbe au flamenco, cette danse si intense, si pleine de passion et de volupté, flamme faite femme !
RépondreSupprimerToute la souffrance des femmes dans la danse, tout l'amour, tu as su si bien le raconter et par l'image et par les mots
RépondreSupprimerDe plus c'est si beau ce partage entre la femme et le cheval !
magnifique Marie !
Magnifique, Marie ! Autant le texte que tes photos...
RépondreSupprimerL’écrivain Tomas Borras parle ainsi du flamenco : « Etre flamenco c’est avoir une autre chair, une autre âme, d’autres passions, une autre peau ; c’est avoir une autre vision du monde, c’est posséder le destin dans la conscience, la musique dans les nerfs, la fierté dans l’indépendance, la joie dans les larmes ; c’est la peine, la vie et l’amour porteurs d’ombres. Etre flamenco c’est haïr la routine castratrice ; c’est enfin s’imbiber dans le cante, dans le vin et dans les baisers »
RépondreSupprimer«Amis, méfiez-vous de la fureur du flamenco. Il déroute ou il séduit, il passionne ou il irrite, mais il ne peut laisser indifférent. Sous les apparences d’un vin trop capiteux, il peut agir comme un poison mortel et si vous vous laissez aller à lui ouvrir un jour le chemin de vos sens les plus profonds jusqu’à cet endroit mystérieux où se tapit l’énigme du duende, alors tel le regard de Carmen, il ne vous lâchera plus jamais».
Pour Goethe, le duende désignait un pouvoir mystérieux que tout le monde ressent et qu’aucun philosophe n’a pu expliquer.
On peut le définir comme un état de transe, un état quasi hypnotique dans lequel on tombe quand on se laisse prendre, envoûté par le chant, par la danse, par la musique, et les éventuels verres de vin bus auparavant.
références:http://histoiresdemusique.free.fr/EXPOSE%20FLAMENCO.html
Quelle force ! Quelle fougue dans ces mots ! Ils frappent, ils claquent, ils dansent sur un rythme endiablé.
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RépondreSupprimerOui il ne manque plus que la musique et l'on voit la danseuse donner toute la fougue, toute la beauté, tout l'amour grâce à tes mots. Un magnifique poème
Merci Marie