un superbe poème Marie pour louer cette maison qui fait le guet... tes photos aussi sont tres belle bonne journée Marie et toute mon amitié joelle (ozy)
Le paysage, comme un vieux frère, lui appartient !
A tes mots, il me semble être entrain de passer devant elle, y posant mon bâton contre un de ses murs ruinés....Entre les pierres, je sens son regard, ses murmures ....et je repars, plus forte, pour affronter les lendemains ! Sabine.
Il y a dans ce poème tant de souvenirs, comme si de son vieux cœur de pierre elle racontait ce qui était sa vie, comme si la maison, du haut de son promontoire surveillait encore tous ceux qu'elle a protégés, tous ceux qu'elle a vus vivre et partir.
Un poème qui touche au plus profond de l'âme, chère Marie, encore une fois l'image et les mots se fondent et se marient à merveille
Combien de marins ont dû et doivent encore subir les assauts des vagues d'une mer déchaînée. Certains reviennent et malheureusement d'autres non. Ces petites maisons de pierre dans la lande, en bordure de côte, ont été les témoins de la rude vie des gens de la mer.
Superbe poème avec toujours ces magnifiques montages !
C'est un délice Marie de voir et lire tes poèmes...voir de si belles images, photos qui se marient fort bien avec tes vers qui sont magnifiques ! On ne peut que lire et relire pour nous donner le plaisir de profiter de tes vers encore plus longtemps !!!
Tout est magnifique : le poème avec cette maison sur la lande bretonne aux nombreux souvenirs et la mise en page en harmonie avec tes mots. Merci, Marie de cette beauté que tu sais si bien capter que ce soit dans tes vers ou dans tes photos !
Cette impression de colère aux souvenirs que garde en mémoire cette mer déchainée, que regarde sur son rocher, cette maison qui pleure. Tu sais ton poème est une véritable tempête de maux. Bien triste mais si beau texte aux mots portant haut, les cris déchainés d'une mer en rage, où la mort hélas, a laissé son cri.
Merci, chère Marie, pour ce très beau montage photo-poème! J'aime le contraste saisissant que tu nous offres entre cette maison solidement, paisiblement sise sur la lande et toutes les tempêtes dévastatrices dont elle fut témoin
Il me plait de mettre en exergue ton poème ci-dessus mon commentaire. C'est un vrai tableau que tu nous brosses et que tu peins dans cette palette de couleurs et de sentiments. Tout, dans cette représentation maritime, invite au rêve, à l'imagination, à l'oubli, à l'ivresse des embruns, au drame des départs et même des naufrages. Tes vers se coulent harmonieusement les uns aux autres, imposant la grandeur des éléments. Le réalisme et la dimension que tu donnes restituent parfaitement l'image de cette "Maison sur la lande", face à la mer, et dont on ressent presque l'ampleur de sa respiration dans la sérénité de la houle. Ce n'est pas un décor quelconque, mais la présence d'un horizon infini émotionnellement restitué.
Un très BON MOMENT DE LECTURE, MARIE, dépaysant et envoûtant, en même temps.
Une profonde émotion qui se dégage de ce duo où photo et mots se mélangent pour parler le même langage. C'est un pur enchantement de lecture. Comme d'hab dirais-je... Merci d'être là. Belle fin de journée.
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
très belles tes photos
RépondreSupprimerMagnifique poésie sur l'aridité des Landes et le silence de la maison !
RépondreSupprimerLa vie y est paisible ...
Bonne fin de semaine petite Marie.
J'aime beaucoup, elle ressemble un peu aux burons de l'Aubrac.
RépondreSupprimerMerci Marie cette page est si belle !!!
toutes ces maisons qui jalonnent la cote murmurent ton poème
RépondreSupprimerbelle journée Marie
un superbe poème Marie pour louer cette maison qui fait le guet... tes photos aussi sont tres belle
RépondreSupprimerbonne journée Marie et toute mon amitié
joelle (ozy)
Le paysage, comme un vieux frère, lui appartient !
RépondreSupprimerA tes mots, il me semble être entrain de passer devant elle, y posant mon bâton contre un de ses murs ruinés....Entre les pierres, je sens son regard, ses murmures ....et je repars, plus forte, pour affronter les lendemains ! Sabine.
T'embrasse TRES FORT marie !
Bel hommage aux pierres qui résistent aux morsures du vent et du temps.
RépondreSupprimerIl y a dans ce poème tant de souvenirs, comme si de son vieux cœur de pierre elle racontait ce qui était sa vie, comme si la maison, du haut de son promontoire surveillait encore tous ceux qu'elle a protégés, tous ceux qu'elle a vus vivre et partir.
RépondreSupprimerUn poème qui touche au plus profond de l'âme, chère Marie, encore une fois l'image et les mots se fondent et se marient à merveille
Combien de marins ont dû et doivent encore subir les assauts des vagues d'une mer déchaînée. Certains reviennent et malheureusement d'autres non.
RépondreSupprimerCes petites maisons de pierre dans la lande, en bordure de côte, ont été les témoins de la rude vie des gens de la mer.
Superbe poème avec toujours ces magnifiques montages !
C'est un délice Marie de voir et lire tes poèmes...voir de si belles images, photos qui se marient fort bien avec tes vers qui sont magnifiques !
RépondreSupprimerOn ne peut que lire et relire pour nous donner le plaisir de profiter de tes vers encore plus longtemps !!!
Tout est magnifique : le poème avec cette maison sur la lande bretonne
RépondreSupprimeraux nombreux souvenirs et la mise en page en harmonie avec tes mots.
Merci, Marie de cette beauté que tu sais si bien capter que ce soit dans
tes vers ou dans tes photos !
Cette impression de colère aux souvenirs que garde en mémoire cette mer déchainée, que regarde
RépondreSupprimersur son rocher, cette maison qui pleure. Tu sais ton poème est une véritable tempête de maux.
Bien triste mais si beau texte aux mots portant haut, les cris déchainés d'une mer en rage, où la mort hélas, a laissé son cri.
Bouleversant chère MARIE
Merci, chère Marie, pour ce très beau montage photo-poème!
RépondreSupprimerJ'aime le contraste saisissant que tu nous offres entre cette maison
solidement, paisiblement sise sur la lande et toutes les tempêtes
dévastatrices dont elle fut témoin
Que dire de plus que tout ce qui fut dit par les oiseaux qui se sont posés près de ta maison ? JUSTE UN
RépondreSupprimerLes images se défilent sous nos yeux... un très bel écrit!
RépondreSupprimerUne maison qui veille , telle une sentinelle.....
RépondreSupprimerTout est magnifique MARIE !
Bonjour MARIE,
RépondreSupprimerIl me plait de mettre en exergue ton poème ci-dessus mon commentaire. C'est un vrai tableau que tu nous brosses et que tu peins dans cette palette de couleurs et de sentiments. Tout, dans cette représentation maritime, invite au rêve, à l'imagination, à l'oubli, à l'ivresse des embruns, au drame des départs et même des naufrages. Tes vers se coulent harmonieusement les uns aux autres, imposant la grandeur des éléments. Le réalisme et la dimension que tu donnes restituent parfaitement l'image de cette "Maison sur la lande", face à la mer, et dont on ressent presque l'ampleur de sa respiration dans la sérénité de la houle. Ce n'est pas un décor quelconque, mais la présence d'un horizon infini émotionnellement restitué.
Un très BON MOMENT DE LECTURE, MARIE, dépaysant et envoûtant, en même temps.
Une profonde émotion qui se dégage de ce duo où photo et mots se mélangent pour parler le même langage. C'est un pur enchantement de lecture. Comme d'hab dirais-je... Merci d'être là. Belle fin de journée.
RépondreSupprimerTrès joli autant le poème que la présentation...les vieilles pierres veillent;
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