Chaque cartable renferme une histoire... Celui de l'enfance, l'école primaire, les crayons, les plumes, les buvard.... et les carnets de notes... Celui du lycée, les cartes postales et les cahiers de souvenirs des amis... Celui de la faculté, les romans, les petits dictionnaires, les exposés et les photos avec les amis... Celui de l'enseignant... Oh ! Que de souvenirs ! Le premier cartable en cuir marron... il renferme les fiches du professeur stagiaire, son stylo rouge, son carnet de note des élèves... Et puis, nous achetons d'autres cartables... Et puis de nouvelles histoires cachées dedans...
Mon premier cartable date de 1962 : souvenirs, souvenirs ! Mais, moi, je n'ai pas quitté l'école :) Merci petite Marie pour cette très belle poésie et doux lundi...
qu'il est réel ce cartable Marie je retrouve les odeurs de l'encre violette et des crayons taillés, de la craies et le goût d'amande des pots de colle ! je t'embrasse
Je suis émerveillée, chaque fois que je peux me rendre chez toi. Ta façon de publier tes poèmes, les images choisies, les mots si justes et beaux. Merci, Marie.
Marie, ton poème est délicieux.Il ne nous rajeunit pas! Les souvenirs remontent et l'on se revoie à la rentrée des classes. Les images, les lieux, les visages défilent. J'ai conservé des buvards et des bons points. Merci de m'avoir fait retourner en enfance le temps de cette lecture. Bises d'écolier Renaud
On a tous quelques vieux buvards, quelques bons points dans nos boîtes à souvenirs... Un jour ils se mettent à nous chuchoter de vieux souvenirs, de vieilles images! Et les écoliers que nous avons été se remettent à jouer sur la cour de récré!
Tout mignon, Marie !... Merci de ta visite à mon blog. J'ai bien du mal avec l'informatique en ce moment (ce commentaire vient de sauter et est passé je ne sais où?). Tant de souvenirs dans ces vieux cartables qui sont notre madeleine de Proust...
On lit ton poème comme une ritournelle, ça me fait penser à du Prévert, juste les mots qu'il faut, et toute une histoire qui virevolte et se pose, sur un cartable.
Bravo Marie, j'aime particulièrement celui là, mais ne me demande pas pourquoi !
Nostalgie sur un passé qui en garde tant de beaux souvenirs ! On se retrouve dans ce cartable....avec les mêmes mots, les mêmes objets ! Bravo Marie, toujours pleins de sentiments tes écrits, ...de très beaux poèmes ! Une image en fond splendide, cette page où les moments de notre enfance sont toujours présents !
Un poème qui réveille tant de souvenirs d'école et d'enfance ! Non seulement les tiens, chère Marie, mais aussi les nôtres... car ce sont les à peu près les mêmes. Rien ne manque dans ce cartable oublié, de "l'encre violette à l'ardoise fêlée". Emouvant et superbe !
Je ne peux que mettre en exergue cet attachant et pathétique poème, monument du souvenir. Que c'est bien ressenti, bien écrit et suavement exposé dans une plume agréable, enthousiasme et fleurie aux images engrangées dans ta mémoire. En te lisant on "respire" au fond de ce "cartable oublié" toute la sérénité d'un temps révolu que tu fais revivre avec l'intensité des symboles, des représentations et de l'émotion que tu sais communiquer et faire ressentir grâce à la force et à l'efficacité de ta plume. Tout grandit en se changeant en souvenirs, puisqu'ils sont les sensations et les rentes de notre cœur.
C'est superbement bien écrit ! Tout en délicatesse, caressé par ce parfum du passé dont tu réveilles toute la nostalgie et la grandeur de l'enfance.
UN VRAI PETIT BIJOU ! À LIRE ET À RELIRE SANS MODÉRATION.
André a dit "Un vrai petit bijou" et je confirme. Ce bijou a pour écrin un cartable dans lequel tu as gardé précieusement tous tes souvenirs d'enfance. Ton poème nous permet de ressortir les nôtres qui sont en tous points pareils. J'ai même ressorti un vieux bulletin de notes l'autre jour dont je n'étais d'ailleurs pas très fière, sauf peut-être une fois. Comme tout bélier, je donnais des coups de collier quand il le fallait.
J'ai adoré la façon dont tu as raconté ton histoire, celle qui fait désormais partie des souvenirs d'enfance.
C'est toujours un régal que de croiser tes mots feutrés qui murmurent les souvenirs d'hier. Ils se racontent comme dans un murmure, se chuchotent à l'oreille du passé pour enjoliver le jour à éclore. C'est superbe comme d'habitude. Joli jour.
merci Marie, un vrai régal ton poème, je me suis revue à l'école avec les vieux pupitres cirés, l'encre violette et tout ce que tu décris si magnifiquement .....
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
c'était tout de même de bons moments cette époque
RépondreSupprimerTon poème est très beau, mais pour ma part je ne souhaite pas faire remonter ces souvenirs du fond de mon cartable. Belle soirée Marie
RépondreSupprimerChaque cartable renferme une histoire...
RépondreSupprimerCelui de l'enfance, l'école primaire, les crayons, les plumes, les buvard.... et les carnets de notes...
Celui du lycée, les cartes postales et les cahiers de souvenirs des amis...
Celui de la faculté, les romans, les petits dictionnaires, les exposés et les photos avec les amis...
Celui de l'enseignant... Oh ! Que de souvenirs ! Le premier cartable en cuir marron... il renferme les fiches du professeur stagiaire, son stylo rouge, son carnet de note des élèves...
Et puis, nous achetons d'autres cartables... Et puis de nouvelles histoires cachées dedans...
Les mêmes souvenirs que toi de 1955 à 2004...
SupprimerC'est adorable, comme une envie de retomber en enfance ..Bonne soirée
RépondreSupprimerdes souvenirs en appellent d'autres et forment l'histoire de notre enfance
RépondreSupprimerParfois un objet oublié se place devant nous et il a le pouvoir de réveiller tout un pan du passé, j' aime beaucoup ta poésie Marie
RépondreSupprimerDe bien jolis souvenirs....
RépondreSupprimerUn temps qui semble si loin et si vivant dans mes souvenirs
Joliment écrit
Bon et doux Lundi, MARIE
Bisous
timilo
Mon premier cartable date de 1962 : souvenirs, souvenirs !
RépondreSupprimerMais, moi, je n'ai pas quitté l'école :)
Merci petite Marie pour cette très belle poésie et doux lundi...
Mon premier cartable en 1955...
Supprimermon dernier cartable en 2004...
Merci d'avoir plongé au fond de mon premier cartable d'écolière...
RépondreSupprimerMerci
Flipperine
Jackie
Majdouline Majdou
Mamylilou
Gérard
Lyne-Anke
Thierry Montgaillard
Manée de Font-Sarade
qu'il est réel ce cartable Marie
RépondreSupprimerje retrouve les odeurs de l'encre violette et des crayons taillés, de la craies et le goût d'amande des pots de colle !
je t'embrasse
Merci aussi pour tous ces messages reçus...
RépondreSupprimerCliquez ci-dessous pour les lire
Messages
Des mots pleins d'une nostalgie tendre et rêveuse. Je retourné 60 ans en arrière ! Amitiés; Joëlle
RépondreSupprimerJe suis émerveillée, chaque fois que je peux me rendre chez toi.
RépondreSupprimerTa façon de publier tes poèmes, les images choisies, les mots si justes et beaux.
Merci, Marie.
Passe une douce journée.
Nostalgie quand tu nous tiens.. d'un coup, tes lecteurs viennent de s'asseoir sur les bancs de leur école. .et moi aussi
RépondreSupprimerMarie, ton poème est délicieux.Il ne nous rajeunit pas!
RépondreSupprimerLes souvenirs remontent et l'on se revoie à la rentrée des classes.
Les images, les lieux, les visages défilent.
J'ai conservé des buvards et des bons points.
Merci de m'avoir fait retourner en enfance le temps de cette lecture.
Bises d'écolier
Renaud
On a tous quelques vieux buvards, quelques bons points dans nos boîtes à souvenirs...
SupprimerUn jour ils se mettent à nous chuchoter de vieux souvenirs,
de vieilles images!
Et les écoliers que nous avons été se remettent à jouer sur la cour de récré!
Merci
Renaud
Sedna
Quichottine
Joëlle
Josette
Je relis ton beau poème
RépondreSupprimerBon et doux mardi MARIE
Bisous
timilo
che magnifico angolo per pensare e per sognare
RépondreSupprimergrazie della vostra ospitalità e lieto giorno
ventisqueras.wordprws.com
Quel délicieux et émouvant poème, magnifiquement écrit ! Chacun y retrouve, je pense, un peu de soi...
RépondreSupprimerMes amitiés
Alain
Une petite image pour vous remercier tous,
RépondreSupprimercliquez ci-dessous
MILLE MERCIS
Un grand merci pour cette poésie si bien écrite .... elle chouette ...
RépondreSupprimerBisous e bon après-midi .
Thérèse
Il y aura toujours des souvenirs d'enfance enfouis au fond de nos cartables!
RépondreSupprimerMerci à tous et à toutes pour vos messages!...
Je relis ta page... et je la trouve toujours aussi belles.
RépondreSupprimerQue deviennent ces souvenirs ensuite... je ne sais pas.
Tout mignon, Marie !... Merci de ta visite à mon blog. J'ai bien du mal avec l'informatique en ce moment (ce commentaire vient de sauter et est passé je ne sais où?). Tant de souvenirs dans ces vieux cartables qui sont notre madeleine de Proust...
RépondreSupprimerOn lit ton poème comme une ritournelle, ça me fait penser à du Prévert, juste les mots qu'il faut, et toute une histoire qui virevolte et se pose, sur un cartable.
RépondreSupprimerBravo Marie, j'aime particulièrement celui là, mais ne me demande pas pourquoi !
Nostalgie sur un passé qui en garde tant de beaux souvenirs !
RépondreSupprimerOn se retrouve dans ce cartable....avec les mêmes mots, les mêmes objets !
Bravo Marie, toujours pleins de sentiments tes écrits, ...de très beaux poèmes !
Une image en fond splendide, cette page où les moments de notre enfance sont toujours présents !
Un poème qui réveille tant de souvenirs d'école et d'enfance !
RépondreSupprimerNon seulement les tiens, chère Marie, mais aussi les nôtres...
car ce sont les à peu près les mêmes. Rien ne manque dans ce
cartable oublié, de "l'encre violette à l'ardoise fêlée".
Emouvant et superbe !
Bonsoir MARIE,
RépondreSupprimerJe ne peux que mettre en exergue cet attachant et pathétique poème, monument du souvenir. Que c'est bien ressenti, bien écrit et suavement exposé dans une plume agréable, enthousiasme et fleurie aux images engrangées dans ta mémoire. En te lisant on "respire" au fond de ce "cartable oublié" toute la sérénité d'un temps révolu que tu fais revivre avec l'intensité des symboles, des représentations et de l'émotion que tu sais communiquer et faire ressentir grâce à la force et à l'efficacité de ta plume. Tout grandit en se changeant en souvenirs, puisqu'ils sont les sensations et les rentes de notre cœur.
C'est superbement bien écrit ! Tout en délicatesse, caressé par ce parfum du passé dont tu réveilles toute la nostalgie et la grandeur de l'enfance.
UN VRAI PETIT BIJOU ! À LIRE ET À RELIRE SANS MODÉRATION.
André a dit "Un vrai petit bijou" et je confirme. Ce bijou a pour écrin un cartable dans lequel tu as gardé précieusement tous tes souvenirs d'enfance. Ton poème nous permet de ressortir les nôtres qui sont en tous points pareils. J'ai même ressorti un vieux bulletin de notes l'autre jour dont je n'étais d'ailleurs pas très fière, sauf peut-être une fois. Comme tout bélier, je donnais des coups de collier quand il le fallait.
RépondreSupprimerJ'ai adoré la façon dont tu as raconté ton histoire, celle qui fait désormais partie des souvenirs d'enfance.
Bise soleil à toi Marie
C'est toujours un régal que de croiser tes mots feutrés qui murmurent les souvenirs d'hier. Ils se racontent comme dans un murmure, se chuchotent à l'oreille du passé pour enjoliver le jour à éclore. C'est superbe comme d'habitude. Joli jour.
RépondreSupprimermerci Marie,
RépondreSupprimerun vrai régal ton poème, je me suis revue à l'école avec les vieux pupitres cirés, l'encre violette et tout ce que tu décris si magnifiquement .....
merci pour ce bijou ...
mariejeanne