Etre otage, c'est perdre toute liberté... On peut être l'otage de beaucoup de chose... Difficile poème mais joliment écrit Douce journée Marie BISOUS TIMILO
MERCI Il y a beaucoup d'otages dans cette vie que nous ne voyons pas... Des enfants oui mais aussi des adultes tous prisonniers de la violence des coups ou des mots... Marie
Certaines vies se retrouvent parfois otages de quotidiens glauques, pervers, cruels, privés d'affection. Traverser les murs de l'indifférence alentour demande bien du temps et du courage que tous n'ont pas hélas...
Déjà l'image parle d'elle même ! et je n'ai pu m'empêcher de penser à ma fille instit confronté à tous ces enfants silencieux souvent, ou insupportables et qui n'ont pas eu la chance de naître dans des familles équilibrés et souvent soumis à la maltraitance !
Triste poème mais à dénoncer toujours ! Un serrement au coeur de toutes ces vies malmenées terrible !
La violence est partout, dans les mots, dans les gestes, à la maison, à l'école, dans la rue. Parfois les cris de ces enfants sont muets, parfois ils ne sont pas entendus ou sont tout simplement ignorés.
De tous ces enfants, otages de la vie, combien en sortiront indemnes ?
Très beau poème dont les mots ne peuvent nous laisser indifférents.
Il y a beaucoup d'otages dans cette vie que nous ne voyons pas... Des enfants oui mais aussi des adultes tous prisonniers de la violence des coups ou des mots...
Oui tu as raison, beaucoup trop de silences par peur, par indifférence, par manque d'écoute et de compréhension. Il faut y songer et ne pas les laisser dans leur coin sans en parler. Bises Marie, merci de nous faire lire tes pensées pour toutes ces personnes.
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
"La douleur rit des nuits"
RépondreSupprimerLa douleur réveille les nuits
Les jours soulagent les douleurs...
Trois mots forts, vie, otage et prison .
RépondreSupprimerEtre otage, c'est perdre toute liberté...
RépondreSupprimerOn peut être l'otage de beaucoup de chose...
Difficile poème mais joliment écrit
Douce journée Marie
BISOUS
TIMILO
Des mots forts ..on peut être en prison dans sa propre âme, otage de sa vie.
RépondreSupprimerMERCI
RépondreSupprimerIl y a beaucoup d'otages dans cette vie que nous ne voyons pas...
Des enfants oui mais aussi des adultes
tous prisonniers de la violence des coups ou des mots...
Marie
Des mots et une image forts face à la violence toujours et partout.
RépondreSupprimerMerci Marie
Passe un très bon week end
Certaines vies se retrouvent parfois otages de quotidiens glauques, pervers, cruels, privés d'affection. Traverser les murs de l'indifférence alentour demande bien du temps et du courage que tous n'ont pas hélas...
RépondreSupprimerDéjà l'image parle d'elle même ! et je n'ai pu m'empêcher de penser à ma fille instit confronté à tous ces enfants silencieux souvent, ou insupportables et qui n'ont pas eu la chance de naître dans des familles équilibrés et souvent soumis à la maltraitance !
RépondreSupprimerTriste poème mais à dénoncer toujours ! Un serrement au coeur de toutes ces vies malmenées terrible !
La violence est partout, dans les mots, dans les gestes, à la maison, à l'école, dans la rue. Parfois les cris de ces enfants sont muets, parfois ils ne sont pas entendus ou sont tout simplement ignorés.
RépondreSupprimerDe tous ces enfants, otages de la vie, combien en sortiront indemnes ?
Très beau poème dont les mots ne peuvent nous laisser indifférents.
Il y a beaucoup d'otages dans cette vie que nous ne voyons pas...
RépondreSupprimerDes enfants oui mais aussi des adultes
tous prisonniers de la violence des coups ou des mots...
Une pensée bien émouvante pour tous ces "otages", petits et grands,
RépondreSupprimerdes cruautés de l’existence, que je partage avec toi, Marie
Oui tu as raison, beaucoup trop de silences par peur, par indifférence, par manque d'écoute et de compréhension.
RépondreSupprimerIl faut y songer et ne pas les laisser dans leur coin sans en parler.
Bises Marie, merci de nous faire lire tes pensées pour toutes ces personnes.