La mer en arrière plan pour sublimer ton poème existentiel.. la vie et ses étapes ..les blessures qu'on n'oublie pas et le temps qui nous emporte. Très beau texte
que de souffrances dans ce poème bouleversant, mais si magnifique. Tout comme Françoise je souhaite que très bientôt apparaisse un bel arc-en-ciel à "l’horizon du rien". Trop bien ! Bise et bonne soirée, Marie, en espérant qu'aujourd'hui cette séance d'acupuncture t'a bien soulagée.
Aube Bettina Merci pour vos gentils messages plein d'amitié
L'acupuncture ne guérit pas mais endort les douleurs On les ressent juste un peu comme lorsqu'on prend de la morphine sauf que ça n'a pas d'effets secondaires...
Les moments d'intenses douleurs barrent l'horizon qui se profile et font ressortir ce gris ambiant d'espoir qui se mutine et qui met les mots sur un océan de misère !
j'espère que tu souffres donc moins à présent chère Marie ! et heureusement que l'acupuncture apporte un peu de soulagement, mais la chronicité met tout horizon à mal surtout quand on ne connait pas la cause et que bidouille la médecine ...
mes douces pensées, que ta nuit soit réparatrice !
La fibromyalgie est une drôle de maladie et la médecine est impuissante Pour l'instant l'acupuncture est assez efficace et je vais essayer l'hypnothérapie... L'objectif est d'apprendre l'auto-hypnose pour gérer les douleurs...
Je viens de lire votre poème dont le côté mal être/désillusion/souffrance/acceptation semblait refléter un état passager de spleen, fort bien exprimé par ailleurs.
Mais en lisant les posts de vos amies et lectrices je comprends mieux le pourquoi et le comment de votre plainte poétique, dont j'ignorais l'existence jusqu'alors.
Après recherche je découvre le mal dont vous souffrez, c'est effectivement une affection difficile à cerner, soigner ou à défaut calmer dont je mesure la malignité et la tentation de baisser les bras qu'elle engendre.
Je vous souhaite de tout cœur de trouver en vous la force nécessaire pour surmonter ces épreuves et surtout de garder la pratique et l'espoir d'une nette amélioration par les méthodes de substitution que vous utilisez.
La médecine fait des pas de géant chaque jour, voyez ce cœur artificiel... 8 mois..de survie, alors fasse le ciel que dans votre cas très vite de nouvelles préconisations vous soient proposées.
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
intéressant cliché mêlant la poésie dans cet horizon
RépondreSupprimerUn bien joli poème sur une photo qui me parle....
RépondreSupprimerA l'horizon du rien...je m'en vais... parcourir les sentes...sur le bord de la vie...
d'où l'expression "toujours rien à l'horizon "
RépondreSupprimerLa mer en arrière plan pour sublimer ton poème existentiel.. la vie et ses étapes ..les blessures qu'on n'oublie pas et le temps qui nous emporte. Très beau texte
RépondreSupprimerNe nous laissons pas gagner par ce rien qui nous guette, de même, ne nous laissons jamais prendre par l'envie de tout.
RépondreSupprimer... quoique... "envie de tout besoin de rien..." c'était une chanson, non ?
Ton poème est très beau. Merci Marie.
Puisse-t-on à l'horizon pêcher un petit rien qui remplisse un tout en offrant un écho aux souffrances et aux doutes !
RépondreSupprimerDouceur, tristesse… BEAUTE
RépondreSupprimerMerci Marie
Belle soirée
Tant de luttes qui semblent vaines et pourtant !
RépondreSupprimerUn poèmes qui remue en profondeur.
Merci Marie. Amitiés. Joëlle
Merci à tous pour vos messages
RépondreSupprimerFleurs de printemps
Bonjour Marie
RépondreSupprimerSuperbe comme toujours !!! merci pour ta fidélité malgres mes absences ...bonne fournée
Quand les douleurs du corps sont amplifiées par les douleurs de l'âme, la souffrance devient insupportable.
RépondreSupprimer"La pire souffrance est dans la solitude qui l'accompagne."
Citation de André Malraux ; La condition humaine
Qu'il est beau mais qu'il est triste ton poème, Marie !
Je te souhaite pourtant du soleil à l'horizon de ton ciel.
que de souffrances dans ce poème bouleversant, mais si magnifique. Tout comme
RépondreSupprimerFrançoise je souhaite que très bientôt apparaisse un bel arc-en-ciel à "l’horizon du rien".
Trop bien ! Bise et bonne soirée, Marie, en espérant qu'aujourd'hui cette séance
d'acupuncture t'a bien soulagée.
Merci, chère Marie, pour ce très beau poème couleur tristesse!
RépondreSupprimerDe tout mon cœur, je souhaite l'apaisement de tes douleurs et de
tes peines...
Je viens de lire sur un de tes coms posté à Aube
RépondreSupprimerque l'acupuncture avait enfin soulagé ta douleur:
j'en suis très heureuse pour toi, chère Marie
Aube
RépondreSupprimerBettina
Merci pour vos gentils messages plein d'amitié
L'acupuncture ne guérit pas mais endort les douleurs
On les ressent juste un peu comme lorsqu'on prend de la morphine
sauf que ça n'a pas d'effets secondaires...
Les moments d'intenses douleurs barrent l'horizon qui se profile et font ressortir ce gris ambiant d'espoir
RépondreSupprimerqui se mutine et qui met les mots sur un océan de misère !
j'espère que tu souffres donc moins à présent chère Marie ! et heureusement que l'acupuncture apporte un peu de soulagement, mais la chronicité met tout horizon à mal surtout quand on ne connait pas la cause et que bidouille la médecine ...
mes douces pensées, que ta nuit soit réparatrice !
La fibromyalgie est une drôle de maladie
RépondreSupprimeret la médecine est impuissante
Pour l'instant l'acupuncture est assez efficace et je vais essayer l'hypnothérapie...
L'objectif est d'apprendre l'auto-hypnose pour gérer les douleurs...
Bonsoir Marie,
RépondreSupprimerJe viens de lire votre poème dont le côté mal être/désillusion/souffrance/acceptation semblait refléter un état passager de spleen, fort bien exprimé par ailleurs.
Mais en lisant les posts de vos amies et lectrices je comprends mieux le pourquoi et le comment de votre plainte poétique, dont j'ignorais l'existence jusqu'alors.
Après recherche je découvre le mal dont vous souffrez, c'est effectivement une affection difficile à cerner, soigner ou à défaut calmer dont je mesure la malignité et la tentation de baisser les bras qu'elle engendre.
Je vous souhaite de tout cœur de trouver en vous la force nécessaire pour surmonter ces épreuves et surtout de garder la pratique et l'espoir d'une nette amélioration par les méthodes de substitution que vous utilisez.
La médecine fait des pas de géant chaque jour, voyez ce cœur artificiel... 8 mois..de survie, alors fasse le ciel que dans votre cas très vite de nouvelles préconisations vous soient proposées.
Bien cordialement