Douce fête de Pâques, chère Marie. Le temps passe, les fleurs se fanent, la vie continue sa route à petits pas. Et nous allons nous aussi, vers le flou du destin! Merci pour cette citation si bien illustrée.
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
Très belle citation !
RépondreSupprimerBises Marie
Chaque fleur éclot au monde en offrant sa beauté en partage !
RépondreSupprimerJoyeuses fêtes de Pâques à toi et aux tiens.
Par un matin du mois du printemps...
RépondreSupprimerFleurissent les pétales blancs !
La fleur prend vie...
Et par son odeur, à l'espoir donne envie !
Ta fleur est magnifique, Marie. Fleur de vie et de passion... Belle et douce fêtes Pascales et gros bisous
RépondreSupprimer...et elle fane aussi comme la vie. En attendant ta photo est superbe.
RépondreSupprimerCette vie si précieuse et si fragile… Trèd bel article
RépondreSupprimerMerci Marie
Très jolie composition pour nous rappeler combien la vie est un cadeau qu'il faut préserver ..
RépondreSupprimerDouce fête de Pâques, chère Marie. Le temps passe, les fleurs se fanent, la vie continue sa route à petits pas. Et nous allons nous aussi, vers le flou du destin! Merci pour cette citation si bien illustrée.
RépondreSupprimerMerci
RépondreSupprimerpapa est parti le jour de Pâques
son frère l'a suivi 7 jours plus tard...
Les souvenirs de mon enfance, de ma jeunesse s'envolent avec eux!
Quelqu'un meurt,
Et c'est comme des pas
Qui s'arrêtent.
Mais si c'était un départ
Pour un nouveau voyage...
Quelqu'un meurt,
Et c'est comme une porte
Qui claque.
Mais si c'était un passage
S'ouvrant sur d'autres paysages...
Quelqu'un meurt,
Et c'est comme un arbre
Qui tombe,
Mais si c'était une graine
Germant dans une terre nouvelle...
Quelqu'un meurt,
Et c'est comme un silence
Qui hurle.
Mais s'il nous aidait à entendre
La fragile musique de la vie...
(Benoît Marchon)