J'aime beaucoup les fleurs de jachères. Des ronds-points en sont ensemencées et c'est magnifique, tout comme ton poème, mais quelle est cette petite pointe de tristesse que j'y perçois ?
Ces fleurs au cœur des jachères pleurent leur désespoir de se voir étouffées par les herbes folles… Merci Marie d’exprimer cela par la profondeur de tes mots et cette illustration magnifique.
Les fleurs sont souvent protégées par les herbes folles qui maintiennent l'humidité à leur pied et les protègent d'un soleil trop brulent, la véritable douleur est justement de les laisser sur un sol nu exposées à tous les vents et les tourments Passe une belle journée Amicalement Claude
Les fleurs de jachère attirent les papillons.. Très joli jardin à contempler. Ton texte nous emporte dans les pétales disséminés au vent. Une douce mélancolie berce cet éloge aux herbes folles.
Les herbes folles ont le coeur tout léger Pas de chichi,de superficialité, elles restent elles - mêmes dans leur charme tranquille sous le chaud de l'été.
Sortir des vases et courir le guilleret doux en école buissonnière les bouquets ont déserté herbes folles et cabrioles vive la liberté en congé, la fleuriste a rejoint son berger !!!
Coucou ma chère Marie. J'adore les herbes folles et les tiennes sont si légères dans le souffle du vent. Une certaine mélancolie aussi dans tes mots. J'espère que tu passes un bel été? Je suis partie quelques jours près de l'océan, un bien fou. Je t'embrasse
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
Bonjour chère Marie,
RépondreSupprimerLes fleurs deviennent folles tout comme la chaleur le fait avec nous ces derniers temps.
Très belle poésie en partage !
C'est magnifique, bravo.
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RépondreSupprimerJ'aime beaucoup les fleurs de jachères. Des ronds-points en sont ensemencées et c'est magnifique, tout comme ton poème, mais quelle est cette petite pointe de tristesse que j'y perçois ?
Bon samedi et bisous1 bisous1 à toi, chère Marie.
Ces fleurs au cœur des jachères pleurent leur désespoir de se voir étouffées
RépondreSupprimerpar les herbes folles… Merci Marie d’exprimer cela par la profondeur de tes
mots et cette illustration magnifique.
quoi dire d'autre que mon admiration devant cette muse si prolifique
RépondreSupprimerBonsoir marie
RépondreSupprimerUn titre sublime qui m'a vraiment séduit en dehors du poème qui est sublime
Salah
Oui le bonheur de saisir l'instant présent dans la jachère , juste entourer de tendresse ,
RépondreSupprimerLes fleurs sont souvent protégées par les herbes folles qui maintiennent l'humidité à leur pied et les protègent d'un soleil trop brulent, la véritable douleur est justement de les laisser sur un sol nu exposées à tous les vents et les tourments
RépondreSupprimerPasse une belle journée
Amicalement
Claude
Les herbes folles n'ont de folie que de pousser peut-être au mauvais endroit ..
RépondreSupprimerJoliment écrit . BRAVO
Bon et doux Dimanche MARIE
Bisous
timilo
C'est si beau les herbes folles!
RépondreSupprimerbonne journée
Les fleurs de jachère attirent les papillons.. Très joli jardin à contempler. Ton texte nous emporte dans les pétales disséminés au vent. Une douce mélancolie berce cet éloge aux herbes folles.
RépondreSupprimerLes herbes folles ont le coeur tout léger
RépondreSupprimerPas de chichi,de superficialité,
elles restent elles - mêmes dans leur charme tranquille sous le chaud de l'été.
Merci pour vos commentaires
RépondreSupprimer...L'explosion des herbes folles offre un instant éphémère mais vivant d'une lumière qui s'épanouit dans le silence d'un nouveau jour...
Sortir des vases
RépondreSupprimeret courir le guilleret doux
en école buissonnière
les bouquets ont déserté
herbes folles et cabrioles
vive la liberté
en congé, la fleuriste
a rejoint son berger !!!
Et s'en vont danser les fleurs
SupprimerAvec le vent de l'été
Dans les herbes en folie
Oubliant sanglots et peurs!
Tristesse quand elles nous quittent, mais elles nous ont apporté tant de joies sur nos chemins !
RépondreSupprimerMerci pour ce poème, Marie.
Bisous et douce journée.
Coucou ma chère Marie. J'adore les herbes folles et les tiennes sont si légères dans le souffle du vent. Une certaine mélancolie aussi dans tes mots. J'espère que tu passes un bel été? Je suis partie quelques jours près de l'océan, un bien fou. Je t'embrasse
RépondreSupprimerElles ont beaucoup souffert avec la canicule. Elles avaient soif mais elles vont retrouver bientôt leur folie !
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