Bonjour chère Marie, Je suis vraiment ravie que tu te sois essayée à une forme classique et même avec plus de réussite que beaucoup qui s'en prétendent ! Maintenant, comme Sedna, tu sais que tu peux mettre une nouvelle corde à ton art poétique pour notre plus grand plaisir ! Bon week-end, bisous
J'ai beaucoup aimé cette randonnée sylvestre, chère Marie. Surtout un jour comme aujourd'hui, où le printemps semble s'être mis en berne, c'est bon de le retrouver à travers tes strophes.
Une randonnée à travers les sentiers des bois extravagante. Oui vous avez raison de dire que le printemps dans les bois est tout à fait autre que dans une prairie. Magnifique images poétiques vibrantes et vivantes. Bravo pour ce régal .... Le poème sera ma dernière lecture pour cette nuit et elle est merveilleuse...
Comme cela fait du bien de lire ta merveilleuse poésie qui nous emmène dans les sous bois ! Je suis sous le charme de cette si belle nature qui m'enchante ! Que c'est beau ! Et l'illustration est magnifique aussi ! Si tu savais comme cela permis de m'évader un peu surtout qu'avec ces deux mois de confinement en pleine ville et dans un appartement, j'aspire tellement d'aller à la campagne et dans les forêts !
Avec toi, j’ai pu découvrir les merveilles du printemps dans les bois et suis revenue enchantée de ma promenade. Merci Marie, de ce poème magnifique superbement illustré comme toujours
L'exorde primesautier est plus qu'une promesse Ecouter, Butiner, Suivre la Poétesse Sans nul doute le programme est on ne peut plus agreste Et l'invite suggérée… de la parole au geste, Tel votre papillon, s'éveille dés le matin Tout est en filigrane et l'impératif " Viens " Ne saurait demeurer sans réponse, sans pécher Insectes, fleurs dans le vent incitent à vous aimer Et si j'osais, Madame, tout bas vous le dirai,
Je suis venue te retrouver au bois là où m'appelait le coucou chantait le merle s'agitait la pie dans un concert orchestré par le vent
Je suis venue te retrouver au bois j'y ai vu frémir les herbes hautes et danser les premiers coquelicots j'ai senti tant de frémissements de vie que je n'ai plus pensé qu'à lui ce printemps qui est là et qui nous sourit.
Puisque depuis ce matin nous en avons le droit, oui, nous allons suivre ton conseil et partir dans la nature à la rencontre du printemps qui nous fait moralement tant défaut.
Sur le chemin d'un matin ordinaire où le vent doux berce les pins je suis émue par le grand silence comme si c'était le premier jour d'une naissance, d'une renaissance Un livre ouvert à la page du Beau chassant les soucis et les maux pour quelques moments à respirer les arbres à regarder passer les eaux tranquilles et insouciantes de ce printemps qu'on n'oubliera jamais !
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
Bonjour chère Marie,
RépondreSupprimerJe suis vraiment ravie que tu te sois essayée à une forme classique et même avec plus de réussite que beaucoup qui s'en prétendent ! Maintenant, comme Sedna, tu sais que tu peux mettre une nouvelle corde à ton art poétique pour notre plus grand plaisir !
Bon week-end, bisous
Bonjour Marie
RépondreSupprimerSaurons nous retrouver ces moments sans inquiétudes et les apprécier en tant que tel !
Merci ce texte est très beau ...
Bises
Quel beau poème, plein de rythme et de couleurs, d’incitations et de vie!
RépondreSupprimerUn tout grand merci printanier!
Je vais venir…..Mais ce sera seulement à partir de lundi !!
RépondreSupprimerJe viens avec plaisir dans ce printemps où les oiseaux sont joyeux , où la nature reprend ses droits pour un temps..
RépondreSupprimerbelle ode à la vie !
J'ai beaucoup aimé cette randonnée sylvestre, chère Marie. Surtout un jour comme aujourd'hui, où le printemps semble s'être mis en berne, c'est bon de le retrouver à travers tes strophes.
RépondreSupprimerUn joli vent de printemps
RépondreSupprimerBonjour Marie...
RépondreSupprimerUne randonnée à travers les sentiers des bois extravagante.
Oui vous avez raison de dire que le printemps dans les bois est tout à fait autre que dans une prairie.
Magnifique images poétiques vibrantes et vivantes.
Bravo pour ce régal ....
Le poème sera ma dernière lecture pour cette nuit et elle est merveilleuse...
Merci
Salah
Bonsoir chère Marie,
RépondreSupprimerComme cela fait du bien de lire ta merveilleuse poésie qui nous emmène dans les sous bois !
Je suis sous le charme de cette si belle nature qui m'enchante !
Que c'est beau !
Et l'illustration est magnifique aussi !
Si tu savais comme cela permis de m'évader un peu surtout qu'avec ces deux mois de confinement en pleine ville et dans un appartement, j'aspire tellement d'aller à la campagne et dans les forêts !
Avec toi, j’ai pu découvrir les merveilles du printemps dans les bois et suis
RépondreSupprimerrevenue enchantée de ma promenade. Merci Marie, de ce poème magnifique
superbement illustré comme toujours
Quand les images et les mots invitent à la promenade printanière dans les sous-bois, c'est merveilleux et on en revient heureux, apaisés.
RépondreSupprimerTon invitation est si joyeuse, si lumineuse, si mélodieuse
RépondreSupprimerqu'on ne saurait y résister, chère Marie!
Merci pour ce poème qui fait du bien
L'exorde primesautier est plus qu'une promesse
RépondreSupprimerEcouter, Butiner, Suivre la Poétesse
Sans nul doute le programme est on ne peut plus agreste
Et l'invite suggérée… de la parole au geste,
Tel votre papillon, s'éveille dés le matin
Tout est en filigrane et l'impératif " Viens "
Ne saurait demeurer sans réponse, sans pécher
Insectes, fleurs dans le vent incitent à vous aimer
Et si j'osais, Madame, tout bas vous le dirai,
merci pour cette jolie carte printanière et mots. Bon lundi et semaine
RépondreSupprimerJe suis venue te retrouver au bois
RépondreSupprimerlà où m'appelait le coucou
chantait le merle
s'agitait la pie
dans un concert orchestré par le vent
Je suis venue te retrouver au bois
j'y ai vu frémir les herbes hautes
et danser les premiers coquelicots
j'ai senti tant de frémissements de vie
que je n'ai plus pensé qu'à lui
ce printemps qui est là
et qui nous sourit.
pour ton invitation :
Merci !
Puisque depuis ce matin nous en avons le droit, oui, nous allons suivre ton conseil et partir dans la nature à la rencontre du printemps qui nous fait moralement tant défaut.
RépondreSupprimerC'est donc la fin du confinement, on va pouvoir aller dans les champs, dans les forêts sans être inquiétés !
RépondreSupprimerTu nous ouvres le chemin, pour aller retrouver toutes les merveilles que tu nous as offertes !
Comme une farandole de printemps qui nous décline enfin, un renouveau de vie !
Superbe MARIE
Un très bel ode au printemps dont je n'ai pas eu non plus la newsletter.
RépondreSupprimerSur le chemin d'un matin ordinaire
RépondreSupprimeroù le vent doux berce les pins
je suis émue par le grand silence
comme si c'était le premier jour
d'une naissance, d'une renaissance
Un livre ouvert à la page du Beau
chassant les soucis et les maux
pour quelques moments à respirer les arbres
à regarder passer les eaux
tranquilles et insouciantes
de ce printemps qu'on n'oubliera jamais !