Je ne sais comment tu fais pour écrire de si belles poésies, toujours aussi douces et mélodieuses, fondu de nature et de sentiments. Toujours nouveaux, jamais pareil. Marie tes mots sont des sucreries pour le coeur.
Je savais que ta muse aux reflets si magiques Délaissant un instant sa chère liberté Et que son bel esprit par l'envie alerté Le ferait resplendir dans des œuvres classiques !
Bonsoir Marie, Ta plume m'éblouit autant en classique qu'en prose, comme celle de Sedna, vos deux poèmes sont admirables, bien plus beaux que ceux que je pourrais écrire en prose ! Et ton illustration aussi est absolument superbe. Merci de ce partage au thème verdoyant. Bisous virtuels
Ces quelques bouleaux blancs t’ont inspiré ce magnifique poème dont je suis sous le charme. Merci Marie, je suis ravie de ma lecture si bien illustrée, comme toujours.
Les "experts" te diront mieux que moi si ton essai de Zegel est conforme aux règles de la prosodie. Moi, en te lisant, je me suis laissée bercer par tes mots aux rimes en "an" comme les bouleaux blancs sous le souffle du vent.
Bonjour Marie, C'est très beau et je comprends que ces bouleaux t'inspirent. C'est la magie des mots et l'on rêve. C'est dans le Nord de la Province du Québec que j'ai admiré les bouleaux. Jeune mariée je décollais délicatement les écorces pour en faire des cartes et écrire nos voeux de fin d'année. Belle fin de journée. Bises de Haute Provence
Un de nos trois bouleaux n'a pas résisté à l'âge ou la sécheresse... On a laissé le tronc avec une "cabane à oiseaux" pour les petits enfants... On les a plantés il y a 27 ans... Les enfants ont grandi avec eux... Chaque printemps on a bu leur sève... Les mots de ce poème sont venus vraiment de l'inconscient... Les tourterelles sauvages y font leurs nids...
Chaque arbre est à lui tout seul un monde, trois arbres donc trois mondes... Joliment écrit ton poème Bravo de partager de si belles rimes Douce journée Bisous timilo
Je suis impressionné par la beauté majestueuse de ces bouleaux blancs photographiés en contre-plongée, et par la musique de ton poème. Merci pour ce beau partage, Marie.
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
Je ne sais comment tu fais pour écrire de si belles poésies, toujours aussi douces et mélodieuses, fondu de nature et de sentiments. Toujours nouveaux, jamais pareil. Marie tes mots sont des sucreries pour le coeur.
RépondreSupprimerJe savais que ta muse aux reflets si magiques
RépondreSupprimerDélaissant un instant sa chère liberté
Et que son bel esprit par l'envie alerté
Le ferait resplendir dans des œuvres classiques !
Bonsoir Marie,
Ta plume m'éblouit autant en classique qu'en prose, comme celle de Sedna, vos deux poèmes sont admirables, bien plus beaux que ceux que je pourrais écrire en prose ! Et ton illustration aussi est absolument superbe. Merci de ce partage au thème verdoyant.
Bisous virtuels
Bonjour ma chère Marie,
RépondreSupprimerCe poème est vraiment magnifique, je l'aime beaucoup, gros gros bisous et douce journée !
Ces quelques bouleaux blancs t’ont inspiré ce magnifique poème dont
RépondreSupprimerje suis sous le charme. Merci Marie, je suis ravie de ma lecture si bien
illustrée, comme toujours.
Comme Violaine, je suis émerveillée par cette magie des mots que tu sais faire étinceler par tes compositions
RépondreSupprimerqui nous offrent de beaux moments de partages poétiques et photographiques
Les "experts" te diront mieux que moi si ton essai de Zegel est conforme aux règles de la prosodie. Moi, en te lisant, je me suis laissée bercer par tes mots aux rimes en "an" comme les bouleaux blancs sous le souffle du vent.
RépondreSupprimerTrès beau !
bisous à toi Marie
C'est le temps du zégel.... merci pour cette pépite... pleine de douceur dans les embruns du vent
RépondreSupprimerUn bien joli poème....J'entends le vent chanter dans les bouleaux !
RépondreSupprimerC'est comme si le vent berçait doucement tes vers.
RépondreSupprimerUne chanson de vent sur des grains de poussière
RépondreSupprimeret des lumières d'antan
Ces troncs caressés par la lumière appuient tes rimes qui nous font prendre conscience de la fragilité du temps.
RépondreSupprimerIl y a des chansons
RépondreSupprimerIl y a des musiques
Il y a des mots pour rêver..
Coucou Marie
RépondreSupprimerQue tu écris de belles choses ..très belle poésie en hommage a ces arbres majestueux ..
Bonne journée
Bises
Bonjour Marie,
RépondreSupprimerC'est très beau et je comprends que ces bouleaux t'inspirent.
C'est la magie des mots et l'on rêve.
C'est dans le Nord de la Province du Québec que j'ai admiré les bouleaux. Jeune mariée je décollais délicatement les écorces pour en faire des cartes et écrire nos voeux de fin d'année.
Belle fin de journée. Bises de Haute Provence
Un de nos trois bouleaux n'a pas résisté à l'âge ou la sécheresse...
SupprimerOn a laissé le tronc avec une "cabane à oiseaux" pour les petits enfants...
On les a plantés il y a 27 ans...
Les enfants ont grandi avec eux...
Chaque printemps on a bu leur sève...
Les mots de ce poème sont venus vraiment de l'inconscient...
Les tourterelles sauvages y font leurs nids...
Chaque arbre est à lui tout seul un monde, trois arbres donc trois mondes...
RépondreSupprimerJoliment écrit ton poème
Bravo de partager de si belles rimes
Douce journée
Bisous
timilo
Les bouleaux sont des arbres magnifiques et accompagnés de tes doux mots, c'est encore plus beau.
RépondreSupprimerBelle journée Marie
Bisous ♥
Je suis impressionné par la beauté majestueuse de ces bouleaux blancs photographiés en contre-plongée, et par la musique de ton poème. Merci pour ce beau partage, Marie.
RépondreSupprimerUn arbre fin et élancé dont le charme n'est plus à démontrer...
RépondreSupprimerEn relisant ton poème, je le trouve encore plus beau, et surtout je te souhaite Marie, en ce jour du 15 août une bonne fête ...
RépondreSupprimerBisous
timilo
Par le biais de FB j'ai pu venir, merci Marie, c'est magnifique !
RépondreSupprimerBonsoir chère Marie,
RépondreSupprimerSomptueuse poésie que j'ai beaucoup aimé lire !