Un texte écrit en pensant à tous ces "rivages disloqués" ...
De beaux rivages qui s'effondrent rongés par un virus et aussi par l'insouciance de ces dernières décennies...
On avait tous oublié que la vie est fragile
On avait tous oublié que l'essentiel c'est d'aimer et partager...
On avait oublié...
Il faut arriver à repeindre nos rivages avec des couleurs, les couleurs simples de l'amitié et créer des passerelles pour relier nos différences et les respecter...
Et peut-être qu'un monde nouveau pourra renaître...
Les rivages disloqués, sources de déception, ont tué les tendres sentiments. Merci pour ce doux poème aux mots tristes mais forts, chère Marie, joliment illustré par les dessins de Giuseppe Penone.
RépondreSupprimerMarie, même tristes tes poèmes sont toujours très beaux.
RépondreSupprimerVivement le déconfinement pour voir le soleil dans tes mots !
Un poème splendide malgré sa mélancolie ambiante, qui rappelle
RépondreSupprimertout à fait cette sombre période que nous subissons actuellement.
Merci Marie, courage ! les beaux jours reviendront !
Un triste mais beau poème
RépondreSupprimerOui nos rivages sont un peu disloqués en ce moment ...Comme Françoise et tous et toutes j 'espère que les
Jours meilleurs reviendront vite
C'est bien triste tout ça Marie, mais si beau ! J'espère que nos avenirs seront plus clairs que ce que tu dis.
RépondreSupprimerL'espoir, il faut garder l'espoir, il nous aide à survivre.
Bonjour chère Marie,
RépondreSupprimerMagnifique poésie si triste et si émouvante sous ta belle plume !
Beaucoup de tristesse dans ce poème. Parfois, il faut savoir exprimer les douleurs qui nous assaillent. Comme un exutoire. J'espère pourtant que les rivages redeviendront beaux et accueillants. Bises alpines.
RépondreSupprimerCette fois-ci les rôles s'inversent
RépondreSupprimerMarie a plongé dans le "Grand Gris"
En pleurs ces rivages chagrins
Si moroses qu'ils me bouleversent
Bonsoir Marie,
Alors ce soir c'est moi qui publie en rose ! Je dois dire cependant que le gris te va bien aussi, ce poème est émouvant au possible.
Bisous
Et nos larmes sont une pluie insolente,
RépondreSupprimerelle noie la terre ridée de nos visages fatigués...
Il faut que l'amour se réinvente
pour que revienne l'envie d’espérer...
un texte très émouvant.
RépondreSupprimerBonne soirée
Ton poème est superbe Marie et résume bien ce que nous ressentons tous en ce moment. Nous sommes perdus dans un monde que nous ne comprenons plus et éloignés de nos familles, amis, habitudes au point de se demander si on en sortira indemnes. Bonne journée malgré ce chaos
RépondreSupprimerIl est très émouvant ton poème mais d'une très grande tristesse...perso je ne crois pas qu'un monde meilleur sorte de tout cela au contraire, car tous les événements récents montrent que les gens se replient sur eux-mêmes, mais ce n'est que mon avis pessimiste du jour. Bises
RépondreSupprimerIL est très triste ton poème. Je ne crois pas beaucoup au renouveau de l'après.
RépondreSupprimerBonne journée
Un très beau partage Marie
RépondreSupprimerC'est vrai que tout s'en va ..et que nos enfants auront du mal à reconstruire tout ça
Bises Marie
UN sujet qui me tient à cœur aussi et que tu exprimes si bien. Notre planète est à l'agonie et pourtant, tant de gens sont conscients à travers le monde de ce phénomène et se démènent pour enrayer la chute. Mais tant que les gouvernants n'auront pas pris la mesure de ce problème, nous ne serons qu'un grain de sable !
RépondreSupprimerL'inconscience ou la folie des hommes nous ont conduit sur ces chemins tortueux,toutes ces petites morts qui font basculer notre monde vers un avenir très anxiogène;pourtant j'ai foi en nos enfants,en nos petits enfants pour relever cet immense défi en repeignant leurs jours d'amour et de partage.
RépondreSupprimerTon poème est beau mais triste. Gardons espoir pour aller de l'avant.
RépondreSupprimerBisous Marie
Ne laissons pas mourir les espérances
RépondreSupprimerdans un monde malade et errant
en éternel devenir
il avance cahin-caha
sur la route tortueuse de son avenir
unissant nos possibles
portons à cœur l'envie d'être
le champ à labourer est immense
la moisson à la merci de nous
J'aimerais tellement encore croire en l'espérance d'un monde meilleur, croire en l'humain tout simplement. Hier, je me suis promenée durant cette heure autorisée," autorisation de sortir ... tout cela me semble surréaliste , je me promenais, la vie, elle , chantait novembre , ciel gris, tapis de feuilles , immuable, elle fait ses saisons . j'ai croisé un enfant , il rentrais de l'école, il m'a souri " Bonjour madame" . Et ce fut un magnifique rayon de soleil . Le lien n'est pas rompu.
RépondreSupprimerMagnifiques mots posés sur ce dessin d'une sobre élégance
merci pour ta belle visite dans mon blog !!!
RépondreSupprimerje me souviens que j'étais dans le mouvement au Larzac
ou nous parlions du réchauffement climatique
et on nous traitait de secte catastrophiste et maintenant
c'est peut être trop tard j'aurai bien aimé avoir eu tort
muchos besos
tilk
Le blues du poète dans le blues de tes mots,
RépondreSupprimerL'automne, le confinement et l'hiver qui approche donne une impression de fin de quelque chose dont on ne mesure pas encore l'ampleur.
De bien jolies métaphores dépeindre tout ça
Douce journée Marie
Bisous
timilo
Au bout du tunnel, il y a toujours la lumière.....Chaque crise contient déjà les ferments du renouveau .....Il faut garder espoir !!
RépondreSupprimerj'aime beaucoup !!!
RépondreSupprimerbesos
tilk