Le temps perdu ne se rattrape plus chantait je ne sais plus qui. Les vertiges, qu'ils soient de l'altitude ou de ce que la vie nous impose laissent en nous des blessures mais aussi nous rendent plus forts. Merci pour ces mots Marie et bon retour parmi nous.
En équilibre vertigineux entre deux mondes, dans un bel endroit cependant qui s'accroche aux parois abruptes. Merci Marie pour tes mots et ta poésie. Douce journée à toi.
Ces cordes tendues au dessus du vide donnent le vertige, et sur un autre registre, bien de difficiles écueils sur notre route que nous n'avons pas choisi, merci pour ce poème Marie
Le vide, l'inconnu d'une vie qui nous a choisis . Parfois, la corde chancelle, nous marchons sur un fil, nos vies semblent si fragiles parfois et souvent, j'ai le vertige de demain ... Merci Marie Beau week-end
Bonjour Marie, Comme ta photo est travaillée je n'étais pas certaine à 100% mais oui, ce sont bien les gorges du Verdon. Tes mots sont puissants à la limite douloureux de ce temps qui passe et qui ne revient pas. Oui, on s'accroche mais en vain. Photo et poème sont beaux comme toujours. Tu as une grande sensibilité. Bises de Haute Provence
Le temps passe vite, trop vite, quand on regarde en arrière les images des personnes qu'on a aimées défilent à toute vitesse .Vertige comme le dit si bien ton poème. Douce journée Marie Bisous timilo
Ces gorges t'ont inspiré un poème superbe, tiraillements entre la vie et le vide..j'aime beaucoup "bateleurs entre deux mondes"... Merci aussi d'être passée durant mon absence et d'avoir déposé dans ma boîte aux mots, les tiens si charmants
Vertiges d'une valse où la réalité Nous fait virevolter entre mal- et bonheur A l'instar du parcours de l'ardent randonneur En quête d'espoir et spiritualité
Bonjour Marie, Un bien émouvant poème que j'ai pris plaisir à relire plusieurs fois pour laisser ma muse venir à moi (elle est très lente en ce moment !) et j'ai eu raison car elle s'est finalement pointée à l'instant à ma sixième lecture comprenant que je n'aurais pas lâché devant une si belle compo de mots et d'images ! Bon dimanche
C'est à la fois si beau et vertigineux, attirance et peur, comme les chemins de nos vies peuplés de joies et de blessures . Ces paysages somptueux t'ont inspiré un très beau poème.
Et oui le temps passe c'est bien vrai, mais ton poème le met si joliment en mots, même si mots douloureux...et tes photos des gorges du Verdon me donnent presque le vertige. Merci pour ce partage et pour ton retour
C'est vrai Marie, le temps file et nous ne pouvons ralentir sa course. Tout au long de notre vie, nous essayons de retenir les moments heureux mais ne pouvons pas toujours oublier les autres.
Beaucoup de tristesse, de déception dans ce beau poème.
Le vertige des mots. Le vertige du temps qui passe. Le vertige de l’amour. Le vertige des gorges du Verdon. Tout est vertige, et les silences de la vie sont des abîmes. Heureusement, il reste la couleur des choses, le rire des amis, une bonne bouteille de vin, la musique des mots et des enfants pour l’avenir.
Nous en sommes tous là, à jouer les funambules sans filet, suspendus au-dessus du temps qui passe et ne s'arrête jamais ... Merci pour ce magnifique texte, chère Marie, j'applaudis, mais de préférence, sans regarder en bas.
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
Merci !
RépondreSupprimerEt bon week end.
Le temps perdu ne se rattrape plus chantait je ne sais plus qui. Les vertiges, qu'ils soient de l'altitude ou de ce que la vie nous impose laissent en nous des blessures mais aussi nous rendent plus forts. Merci pour ces mots Marie et bon retour parmi nous.
RépondreSupprimerEn équilibre vertigineux entre deux mondes, dans un bel endroit cependant qui s'accroche aux parois abruptes.
RépondreSupprimerMerci Marie pour tes mots et ta poésie.
Douce journée à toi.
Difficile de contrôler ce temps qui passe , la preuve l'érosion de ces montagnes ..
RépondreSupprimerMerci Marie pour ce très beau texte
Bises
Ces cordes tendues au dessus du vide donnent le vertige, et sur un autre registre, bien de difficiles écueils sur notre route que nous n'avons pas choisi, merci pour ce poème Marie
RépondreSupprimerLe poème est si beau, je l'ai relu plusieurs fois et ai fini par y être, là, accrochée aux rochers.
RépondreSupprimerBon week-end, merci
Merci Marie pour tes mots et ta poésie, c'est si beau. Bon retour.
RépondreSupprimerBisous et doux week-end ♥
Le vide, l'inconnu d'une vie qui nous a choisis . Parfois, la corde chancelle, nous marchons sur un fil, nos vies semblent si fragiles parfois et souvent, j'ai le vertige de demain ...
RépondreSupprimerMerci Marie
Beau week-end
Bonjour Marie,
RépondreSupprimerComme ta photo est travaillée je n'étais pas certaine à 100% mais oui, ce sont bien les gorges du Verdon.
Tes mots sont puissants à la limite douloureux de ce temps qui passe et qui ne revient pas. Oui, on s'accroche mais en vain.
Photo et poème sont beaux comme toujours. Tu as une grande sensibilité. Bises de Haute Provence
Vertige et beauté mêlés
RépondreSupprimerl'un rebute, l'autre attire
sur le fil des équilibres !
un beau site accompagné d'un vertige de mots appropriés.
RépondreSupprimerBonne soirée
très beau site accompagné d'un vertige de mots appropriés.
RépondreSupprimerBonne soirée
Le temps passe vite, trop vite, quand on regarde en arrière les images des personnes qu'on a aimées défilent à toute vitesse .Vertige comme le dit si bien ton poème.
RépondreSupprimerDouce journée Marie
Bisous
timilo
Bonsoir chère Marie,
RépondreSupprimerQuelle magnifique poésie émouvante sous ta très belle plume !
Belle soirée!
Toutes mes amitiés
Gros bisous
Sybilla
De superbes images poétiques joliment illustrées sur la fuite du temps
RépondreSupprimeret tellement vraies. Merci ma chère Marie, de ce bonheur de lecture.
Tellement beau. Tellement triste, ce poème laisse un petit goût d'amertume sur le passé.
RépondreSupprimerLe temps passe, nos souvenirs restent, gardons les meilleurs et laissons les autres s'éteindre dans les limbes de l'oubli. Avançons, il faut.
Bravo pour cette belle balade au cœur des gorges du Verdon, c'est près de chez moi beau partage chère Marie bonne nuit doux dimanche bisous l'amie
RépondreSupprimerCes gorges t'ont inspiré un poème superbe, tiraillements entre la vie et le vide..j'aime beaucoup "bateleurs entre deux mondes"... Merci aussi d'être passée durant mon absence et d'avoir déposé dans ma boîte aux mots, les tiens si charmants
RépondreSupprimerVertiges d'une valse où la réalité
RépondreSupprimerNous fait virevolter entre mal- et bonheur
A l'instar du parcours de l'ardent randonneur
En quête d'espoir et spiritualité
Bonjour Marie,
Un bien émouvant poème que j'ai pris plaisir à relire plusieurs fois pour laisser ma muse venir à moi (elle est très lente en ce moment !) et j'ai eu raison car elle s'est finalement pointée à l'instant à ma sixième lecture comprenant que je n'aurais pas lâché devant une si belle compo de mots et d'images !
Bon dimanche
Que c'est beau !! Mais ce n'est pas pour moi.....J'ai le vertige !!
RépondreSupprimerIl y a tant d'écarts entre nos désirs intenses et leur réalisation, que ce fossé donne le vertige ...
RépondreSupprimerC'est à la fois si beau et vertigineux, attirance et peur, comme les chemins de nos vies peuplés de joies et de blessures .
RépondreSupprimerCes paysages somptueux t'ont inspiré un très beau poème.
Et oui le temps passe c'est bien vrai, mais ton poème le met si joliment en mots, même si mots douloureux...et tes photos des gorges du Verdon me donnent presque le vertige. Merci pour ce partage et pour ton retour
RépondreSupprimerC'est vrai Marie, le temps file et nous ne pouvons ralentir sa course. Tout au long de notre vie, nous essayons de retenir les moments heureux mais ne pouvons pas toujours oublier les autres.
RépondreSupprimerBeaucoup de tristesse, de déception dans ce beau poème.
vertigineux paysages et la vie parfois devient elle aussi pleine de vertiges quand on voit s'approcher ses limites
RépondreSupprimerLe vertige des mots.
RépondreSupprimerLe vertige du temps qui passe.
Le vertige de l’amour.
Le vertige des gorges du Verdon.
Tout est vertige, et les silences de la vie sont des abîmes.
Heureusement, il reste la couleur des choses, le rire des amis, une bonne bouteille de vin, la musique des mots et des enfants pour l’avenir.
c'est magnifique
RépondreSupprimeret tu leur un bel hommage
muchos besos
tilk
Ces gorges du Verdon sont superbes ! merci pour ton beau poème !mais reste quelques beaux souvenirs !
RépondreSupprimerBises Marie
Vertige du temps qui passe , retour sur soi ....
RépondreSupprimerDe très belles images poétique .Comme toujours Marie , tu nous gâtes
Nous en sommes tous là, à jouer les funambules sans filet, suspendus au-dessus du temps qui passe et ne s'arrête jamais ... Merci pour ce magnifique texte, chère Marie, j'applaudis, mais de préférence, sans regarder en bas.
RépondreSupprimerUn très beau et émouvant poème sur le fil de notre vie Marie.
RépondreSupprimerOui, il faut s'accrocher de plus en plus souvent pour continuer à avancer.