Une humeur bien chagrine dans ce poème plein de douleur. La pluie ne ruisselle pas seulement autour des mots... Difficile de croire que le soleil n'est pas loin, et pourtant il est là. J'espère que ce n'est qu'un rendez-vous manqué avec sa chaleur.
Bonjour Marie, voici un très joli texte, émouvant à lire, même si je n'ai pas la même vision du chemin qui mène vers la mort, la mort n'est triste que pour ceux qui restent, celui qui s'en va laisse toutes ces joies et toutes ses peines, il part le cœur léger et comblé d'amour. Amicalement. Claude
Ce que nous vivons de dramatique et douloureux en ce moment transpire dans tes mots, l'inquiétude s'installe, la peur aussi du devenir des hommes et de la planète que leur folie conduit au chaos. Merci Marie
Un poème qui prend sa source près de ton chemin de vie, ce temps que nous aimerions arrêter continue son tourbillon emportant ceux qu'on aime parfois bien vite... Reste le souvenir toujours vivant au coeur !
" Quand le temps répand son acide " Les hommes le servent en eau De vie au lieu d'oindre en créneau Avec, les démons d'air placide
Bonjour Marie, un poème magnifique et très poignant. Les cœurs de poètes et poétesses chantent et pleurent à l'unisson les bontés et les cruautés des hommes ! Quand ils s'épanouissent tant à faire le bien comment ne pas souffrir lorsque tant d'autres aiment faire le mal mais des oasis de bienveillance les rechargent d'espérance. Bises et Bonne soirée
Larmes de vie sur le chemin des jours nos livres d'images au pays des rêves ne chantent plus les mots heureux Il nous reste le bleu lumineux quelques cadeaux de matins tendresse
Ah , oui , le temps qui passe , la mort , je me souviens de ma mère couchée sur son lit , juste avant de mourir qui me didait : "j'en reprendrai bien encore un peu , courir joyeusement dans un jardin , voir le soleil se lever , les nuages passer au ciel ....." Renoncer à tout cela ne peut se faire de gaité de coeur .... Il faut en profiter tant que l'on peut voir la lumière du jour . Bise l'Marco
Il est bien triste ce poème mais émouvant. Le temps passe, la jeunesse aussi mais il faut profiter au maximum des bonheurs et des répits de la vie, quand on le peut bien entendu. Bises et une douce fin de semaine
Mais c'est triste tout cela, Marie. Tourne donc la tête vers ici et cueille quelques uns des rayons de soleil qui caressent la nature et éclaboussent le moral. Amicalement.
Très beau poème plein de nostalgie et de tendresse...Solitude, vertige, vide.....ça me parle bien en ce moment, et ça résonne très fort en moi...Le soleil brille, mais trop fort sans doute, il dilue toute forme de vie...il brûle mes yeux, ma tête mon coeur...je t'embrasse Marie ! merci pour ces mots !
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
Une humeur bien chagrine dans ce poème plein de douleur.
RépondreSupprimerLa pluie ne ruisselle pas seulement autour des mots...
Difficile de croire que le soleil n'est pas loin, et pourtant il est là.
J'espère que ce n'est qu'un rendez-vous manqué avec sa chaleur.
Bonjour Marie, voici un très joli texte, émouvant à lire, même si je n'ai pas la même vision du chemin qui mène vers la mort, la mort n'est triste que pour ceux qui restent, celui qui s'en va laisse toutes ces joies et toutes ses peines, il part le cœur léger et comblé d'amour.
RépondreSupprimerAmicalement.
Claude
Ce que nous vivons de dramatique et douloureux en ce moment transpire dans tes mots, l'inquiétude s'installe, la peur aussi du devenir des hommes et de la planète que leur folie conduit au chaos. Merci Marie
RépondreSupprimerUn poème qui prend sa source près de ton chemin de vie, ce temps que nous aimerions arrêter continue son tourbillon emportant ceux qu'on aime parfois bien vite... Reste le souvenir toujours vivant au coeur !
RépondreSupprimerBonjour Marie, merci pour ton joli texte que je trouve émouvant.
RépondreSupprimerBises
Et oui les temps sont difficiles. Ou sont les valeurs de tendresse, douceur et empathie ?
RépondreSupprimer" Quand le temps répand son acide "
RépondreSupprimerLes hommes le servent en eau
De vie au lieu d'oindre en créneau
Avec, les démons d'air placide
Bonjour Marie,
un poème magnifique et très poignant. Les cœurs de poètes et poétesses chantent et pleurent à l'unisson les bontés et les cruautés des hommes ! Quand ils s'épanouissent tant à faire le bien comment ne pas souffrir lorsque tant d'autres aiment faire le mal mais des oasis de bienveillance les rechargent d'espérance.
Bises et Bonne soirée
Bonsoir Marie
RépondreSupprimerLarmes de vie sur le chemin des jours
nos livres d'images au pays des rêves
ne chantent plus les mots heureux
Il nous reste le bleu lumineux
quelques cadeaux de matins tendresse
Ah , oui , le temps qui passe , la mort , je me souviens de ma mère couchée sur son lit , juste avant de mourir qui me didait : "j'en reprendrai bien encore un peu , courir joyeusement dans un jardin , voir le soleil se lever , les nuages passer au ciel ....."
RépondreSupprimerRenoncer à tout cela ne peut se faire de gaité de coeur ....
Il faut en profiter tant que l'on peut voir la lumière du jour .
Bise
l'Marco
Il est bien triste ce poème mais émouvant. Le temps passe, la jeunesse aussi mais il faut profiter au maximum des bonheurs et des répits de la vie, quand on le peut bien entendu. Bises et une douce fin de semaine
RépondreSupprimerMerci.
RépondreSupprimerbeaucoup de tristesse et d'émotion dans cette nuit pluvieuse pleine d'ombres angoissantes...Marie le soleil reviendra et le vent chassera la poussière
RépondreSupprimerMais c'est triste tout cela, Marie. Tourne donc la tête vers ici et cueille quelques uns des rayons de soleil qui caressent la nature et éclaboussent le moral. Amicalement.
RépondreSupprimerTrès beau poème plein de nostalgie et de tendresse...Solitude, vertige, vide.....ça me parle bien en ce moment, et ça résonne très fort en moi...Le soleil brille, mais trop fort sans doute, il dilue toute forme de vie...il brûle mes yeux, ma tête mon coeur...je t'embrasse Marie ! merci pour ces mots !
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