Gorée, je l'avais déjà dit ici, j'y ai habité quand j'étais toute petite, juste quelques mois avant d'aller vivre à Dakar. Un lieu chargé tout de même, heureusement cette couleur rose allège l'atmosphère. Lumineuse semaine à toi Marie. brigitte
Elle ne semble pas avoir changé d'un poil depuis ma dernière visite en 1998. Je suis retournée au Sénégal depuis mais pas à Gorée. Les escaliers extérieurs des trois premières photos ont été semble t'il repeints en un peu plus foncé que lors de ma visite. C'est très émouvant de voir ce lieu, on y sent une certaine oppression à imaginer ceux qui ont vécu ici. C'est bien de montrer cette triste page d'histoire à ceux qui ne connaissent pas.
Je viens de découvrir ta participation à l'arc en ciel. J'ai inclus ta participation à notre billet le plus récent. Le 2 ème arc se devine. À suivre pour la découverte de ton article. > Yann
Le sang et la sueur mêlés, comme le dit le poète que tu cites. Esclavage des parents et des enfants, choisis tels du bétail. Même aux machines on accorde plus d'attention. J'aime ce que l'écrivain dit à propos d'un décès, c'est comparable à une bibliothèque qui brûle. Tant de souvenirs accumulés. Aux vivants d’essayer de les faire survivre. > Yann
"Porte du voyage sans retour" ... Je revois l'entrée du camp Auschwitz et je pense que ces lieux de souffrance et de mort gardent en eux le silence oppressant de toutes ces larmes et de tous ces cris. A nous de préserver leur mémoire.
Une période très dure pour ce peuple... et des lieux chargés de douleurs et de souffrance ! Ce genre de musée existe malheureusement partout... La guerre encore et toujours !
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
Gorée, je l'avais déjà dit ici, j'y ai habité quand j'étais toute petite, juste quelques mois avant d'aller vivre à Dakar. Un lieu chargé tout de même, heureusement cette couleur rose allège l'atmosphère. Lumineuse semaine à toi Marie. brigitte
RépondreSupprimerElle ne semble pas avoir changé d'un poil depuis ma dernière visite en 1998. Je suis retournée au Sénégal depuis mais pas à Gorée. Les escaliers extérieurs des trois premières photos ont été semble t'il repeints en un peu plus foncé que lors de ma visite. C'est très émouvant de voir ce lieu, on y sent une certaine oppression à imaginer ceux qui ont vécu ici. C'est bien de montrer cette triste page d'histoire à ceux qui ne connaissent pas.
RépondreSupprimerBien évidemment je me doutais que les cachots ne pouvaient pas être aussi rose...un lieu chargé d'histoire qu'il doit être très émouvant de visiter...
RépondreSupprimerdes lieux chargés de la souffrance des hommes à préserver pour la mémoire..
RépondreSupprimerUn lieu de recueillement pour penser à ceux qui ont tant souffert !
RépondreSupprimerJe viens de découvrir ta participation à l'arc en ciel.
RépondreSupprimerJ'ai inclus ta participation à notre billet le plus récent.
Le 2 ème arc se devine.
À suivre pour la découverte de ton article. > Yann
Le sang et la sueur mêlés, comme le dit le poète que tu cites.
RépondreSupprimerEsclavage des parents et des enfants, choisis tels du bétail.
Même aux machines on accorde plus d'attention.
J'aime ce que l'écrivain dit à propos d'un décès, c'est comparable à une bibliothèque qui brûle.
Tant de souvenirs accumulés. Aux vivants d’essayer de les faire survivre. > Yann
Une période bien difficile pour ces peuples maltraités !
RépondreSupprimerBises Marie
"Porte du voyage sans retour" ... Je revois l'entrée du camp Auschwitz et je pense que ces lieux de souffrance et de mort gardent en eux le silence oppressant de toutes ces larmes et de tous ces cris.
RépondreSupprimerA nous de préserver leur mémoire.
Une période très dure pour ce peuple... et des lieux chargés de douleurs et de souffrance !
RépondreSupprimerCe genre de musée existe malheureusement partout... La guerre encore et toujours !
C'est en lisant "Bakhita" que j'ai saisi toute l'horreur de l'histoire de l'esclavage.
RépondreSupprimerMerci, je vais lire ce livre...
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