Mais que c'est beau Marie ! Superbes hiakus que cette photo splendide a inspirés.... Une écriture pleine d'émotion et l'ami pour qui ils ont été écrits, doit vraiment être touché !
Je suis très admirative moi qui n'arrive pas à faire un hiaku cohérent ! BRAVO
Mais que c'est beau Marie ! Superbes hiatus que cette photo splendide a inspirés.... Une écriture pleine d'émotion et l'ami pour qui ils ont été écrits, doit vraiment être touché !
Je suis très admirative moi qui n'arrive pas à faire un hiaku cohérent ! BRAVO
une lecture que j'ai appréciée à plus d'un niveau, d'un émotionnel et d'un pour la maitrise de cce genre de poésie, le tout étant conhérent, pas évident
Les mots sont choisis et avec force décrivent cette brindille qui git là dans la neige, prisonnière du gel. Même au printemps, elle ne renaîtra pas mais peut-être aura-t-elle été emportée pour qu'un oiseau puisse en faire son nid ?
Ces haïkus sont très beaux et l'émotion contenu dans ce bouquet est palpable.
Marie, j'espère que ces textes vont honorer l'expo de Patrick, car ils vont apporter une bouffée d'air pur et parfaitement illustrer les photos de notre ami.
J'aime personnellement beaucoup ton approche et ton amour des coquelicots.
Le poème chante la gloire hélas trop éphémère du coquelicot. L'illustration ne fait qu'ajouter à la beauté de ce beau poème. Ce coquelicot tant aimé et tant chanté est le "symbole de la vie, de la joie, de la plénitude, du bonheur".
Il a également des vertus thérapeutiques :
"C'est le cousin en habit éclatant du pavot oriental; mais s'il contient bien comme lui une "vertu dormitive", ce n'est pas la dangereuse morphine, qui fait tant de ravages en notre siècle de drogues et de mal de vivre. Son principe actif à lui, c'est la rhoeadine: elle calme, elle adoucit, mais elle ne tue pas, et elle n'entraîne aucune accoutumance."
et aussi gustatives :
"Il semble être originaire de là Bulgarie ou de la Turquie, mais on en trouve déjà des fleurs dans les tombeaux égyptiens. Les Grecs en mangeaient les jeunes feuilles en salade, et cette coutume s'est maintenue jusqu'au XVIè siècle en Italie. De nos jours, les belles fleurs à quatre pétales rouge vif et les graines légères que la plante élabore dans une capsule savamment construite, sont considérées comme légèrement narcotiques, comme propres à provoquer la sueur, comme expectorantes, comme pectorales, comme calmantes et comme adoucissantes. On a pu dire que c'est l'opium inoffensif de la pharmacie familiale. Les fleurs du coquelicot constituent l'un des ingrédients de la célèbre "tisane aux quatre fleurs", avec le pied-de-chat, la mauve et le tussilage."
Alors, tu vois Marie, tu as bien fait de rendre ce bel hommage au COQUELICOT !
Je me souviens, quand petite fille, je m'amusais à transformer les coquelicots en princesses à grande robe rouge... hélas la robe était bien vite froissée.
Ces coquelicots dansant au vent des dunes t'ont merveilleusement inspirée et ton poème est vraiment splendide. Belle collaboration avec Pat et Daniel, je suis sûre que votre exposition sera une réussite. Bisous, chère Marie.
Bonjour Marie j'adore ces coquelicots qui font saigner les blés pour leur donner plus de vie et de force. Je suis subjugué par la beauté de cette poésie que pour prolonger mon plaisir, j'au relu à plusieurs reprises. Merci pour ce très doux et agréable partage. Mes bisous.
Quel plaisir d'entrer dans ta danse, de tourbillonner dans tes folles farandoles couleur coquelicot! J'admire ton aisance à te laisser si joliment inspirer par les photos de Patrick Rémy!
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
chacun des mots est d'une grande délicatesse
RépondreSupprimervos écrits sont tous magnifiquement écrit et c'est un plaisir de les lire
je vous souhaite une bonne semaine à venir
Line vous offre un sourire
C'était tellement beau ce paysage que les mots sont venus tout seuls...
RépondreSupprimerAucun mérite, c'est la neige et le givre qui me les ont dictés...
Merci Line
Bonne semaine à toi aussi
Je suis allée sur ton blog, je n'arrive pas à envoyer mon commentaire....
RépondreSupprimerSi je ne me trompe pas, ce sont des haïkus, jolies images pour célébrer la beauté de la nature, si froide peut-elle paraître.
RépondreSupprimerC'est très beau.
Mais que c'est beau Marie !
RépondreSupprimerSuperbes hiakus que cette photo splendide a inspirés.... Une écriture pleine d'émotion et l'ami pour qui ils ont été écrits, doit vraiment être touché !
Je suis très admirative moi qui n'arrive pas à faire un hiaku cohérent ! BRAVO
Mais que c'est beau Marie !
RépondreSupprimerSuperbes hiatus que cette photo splendide a inspirés.... Une écriture pleine d'émotion et l'ami pour qui ils ont été écrits, doit vraiment être touché !
Je suis très admirative moi qui n'arrive pas à faire un hiaku cohérent ! BRAVO
Très réussi, chère Marie, ce bouquet de haïkus! Emotion garantie pour l'ami à qui tu l'offres
RépondreSupprimeret... pour nous! Merci!
Amitié, bisous.
un très joli bouquet de mots... j'aime cette forme de poèsie qui laisse de si belles images
RépondreSupprimerune lecture que j'ai appréciée à plus d'un niveau, d'un émotionnel et d'un pour la maitrise de cce genre de poésie, le tout étant conhérent, pas évident
RépondreSupprimerBonjour Marie voici de bien beau haïkus que j'ai beaucoup aimé. Merci pour ce très agréable cadeau.
RépondreSupprimerMes bisous.
Capricorne
Les mots sont choisis et avec force décrivent cette brindille qui git là dans la neige, prisonnière du gel. Même au printemps, elle ne renaîtra pas mais peut-être aura-t-elle été emportée pour qu'un oiseau puisse en faire son nid ?
RépondreSupprimerCes haïkus sont très beaux et l'émotion contenu dans ce bouquet est palpable.
Une image délicate et douce que tes haïkus rendent plus belle encore.
RépondreSupprimerMerci Marie c'est très beau
De magnifiques haïkus et avec une musique douce en accompagnement c'est tout simplement sublime. Bravo!
RépondreSupprimerLa finesse de la photo et la finesse de tes mots donnent à ce poème une clarté féerique. Merci pour ce cadeau hivernal, chère Marie,
RépondreSupprimerBises à toi,
Lorraine
Magnifique !
RépondreSupprimerÉmotion
Tendresse
Beauté
"La vie est là simple et tranquille "
mais cette paisible rumeur là est dentelle qui vient de la beauté de l'hiver
Marie, j'espère que ces textes vont honorer l'expo de Patrick, car ils vont apporter une bouffée d'air pur et parfaitement illustrer les photos de notre ami.
RépondreSupprimerJ'aime personnellement beaucoup ton approche et ton amour des coquelicots.
Superbe lecture...
Le poème chante la gloire hélas trop éphémère du coquelicot. L'illustration ne fait qu'ajouter à la beauté de ce beau poème.
RépondreSupprimerCe coquelicot tant aimé et tant chanté est le "symbole de la vie, de la joie, de la plénitude, du bonheur".
Il a également des vertus thérapeutiques :
"C'est le cousin en habit éclatant du pavot oriental; mais s'il contient bien comme lui une "vertu dormitive", ce n'est pas la dangereuse morphine, qui fait tant de ravages en notre siècle de drogues et de mal de vivre. Son principe actif à lui, c'est la rhoeadine: elle calme, elle adoucit, mais elle ne tue pas, et elle n'entraîne aucune accoutumance."
et aussi gustatives :
"Il semble être originaire de là Bulgarie ou de la Turquie, mais on en trouve déjà des fleurs dans les tombeaux égyptiens. Les Grecs en mangeaient les jeunes feuilles en salade, et cette coutume s'est maintenue jusqu'au XVIè siècle en Italie. De nos jours, les belles fleurs à quatre pétales rouge vif et les graines légères que la plante élabore dans une capsule savamment construite, sont considérées comme légèrement narcotiques, comme propres à provoquer la sueur, comme expectorantes, comme pectorales, comme calmantes et comme adoucissantes. On a pu dire que c'est l'opium inoffensif de la pharmacie familiale. Les fleurs du coquelicot constituent l'un des ingrédients de la célèbre "tisane aux quatre fleurs", avec le pied-de-chat, la mauve et le tussilage."
Alors, tu vois Marie, tu as bien fait de rendre ce bel hommage au COQUELICOT !
Je me souviens, quand petite fille, je m'amusais à transformer les coquelicots en princesses à grande robe rouge... hélas la robe était bien vite froissée.
RépondreSupprimerSuperbe mise en page, avec la photo de Pat.
Ces coquelicots dansant au vent des dunes t'ont merveilleusement inspirée
RépondreSupprimeret ton poème est vraiment splendide. Belle collaboration avec Pat et Daniel,
je suis sûre que votre exposition sera une réussite.
Bisous, chère Marie.
Bonjour Marie j'adore ces coquelicots qui font saigner les blés pour leur donner plus de vie et de force. Je suis subjugué par la beauté de cette poésie que pour prolonger mon plaisir, j'au relu à plusieurs reprises. Merci pour ce très doux et agréable partage.
RépondreSupprimerMes bisous.
Chère Marie,
RépondreSupprimerQuel plaisir d'entrer dans ta danse, de tourbillonner dans tes folles farandoles
couleur coquelicot!
J'admire ton aisance à te laisser si joliment inspirer par les photos de Patrick Rémy!
une farandole de mots et de couleurs qui m'enchante
RépondreSupprimerSymbole de l'ardeur fragile,le coquelicot virevolte et farandole guidé par une fort belle inspiration !
RépondreSupprimerMarie, je trouve très beaux les mots que tu sèmes en poésie pour accompagner les photos de Patrick Rémy.
RépondreSupprimerBravo! Amitiés et bisous