l'enfance, une douce nostalgie sertie de parfums inoubliables. Des petits bonheurs enveloppés de sucre... Le temps qui nous regarde est une horloge bavarde.
Bonsoir Marie, Quels merveilleux moments que tu nous donnes en partage avec tes vers si savamment épicés aux goûts de notre enfance. Mes félicitations pour ce joyau ! Bises
Nos enfances nous marquent à jamais et laissent des traces indélébiles dans nos mémoires et c'est bien ici car c'était encore l'heureux temps de l'insouciance et des petits bonheurs simples. Bonne journée Marie
En lisant ton poème, tout un flot de souvenirs est venu me submergé .. Ce temps-là semble si loin et pourtant je n'ai rien oublié Bravo pour ton poème et merci de l'avoir partagé Douce journée Marie Bisous
Tu as de doux souvenirs de ton enfance, et tu honores ainsi tes grands-parents avec douceur et un brin de nostalgie...Belle journée Marie j'aime cette photo ancienne de ton enfance
Bonjour Marie En te lisant j'ai l'impression de retrouver ma propre enfance chez ma grand-mère paternelle , souvenirs toujours très présents quand je pense à elle Merci beaucoup Bises
Quelle émotion à te lire ce matin, Marie ; tes mots qui parlent du temps passé, ta poésie si profonde. Comme toi je possède des documents personnels de mon grand-père Léon, et qui a vécu également la guerre de 14-18, mon papa Justin avait 3 mois en août 1914 ; des cartes postales échangées entre Léon et ma grand'mère Juliette, la famille. Inestimables ces courriers que je conserve soigneusement et transmettrai à mes enfants, petits enfants. Ils racontent notre histoire, leur histoire, apprennent à comprendre l'Histoire.
Ils ont fait l'objet de divers billets sur mon blog....
Quel magnifique poème en partage Marie. Tes mots me font revivre avec émotion les moments passés avec ma grand-mère maternelle qui était si douce. Je n'ai malheureusement pas connu mes grands-pères. Merci Bisous et belle journée
Il est impossible d'oublier tous ces petits bonheurs qui ont marqué ton enfance. Toutes ces petites choses simples qui étaient essentielles étaient des marques d'amour.
Combien d'enfants auraient aimé et aimeraient les connaître !!
Tout comme ton poème, l'illustration est superbe !
Souvenirs, souvenirs. Tout cela me rappelle des moments d'enfance à la campagne. C'était le temps des veillées sans télévison, ni internet et smartphone !!
une douce pensée pour nos anciens... je n'ai connu que ma grand-mère maternelle qui venait passer l'hiver "en ville" à la maison car sa maison en Bretagne n'avait qu'une cheminée et ni eau ni chauffage.
Ce poème fait resurgir en moi bien des souvenirs, je revois Mémé, ma grand-mère, tricotant près de la cuisinière, les deux pieds sur sa chaufferette … et j'ai lu, moi-aussi, la revue Bernadette !
Que de beaux souvenirs d'enfance, quand tout nous paraissait possible. Cela l'était car les grandes personnes veillaient sur nous et nous préparaient de beaux chocolats chauds. Il n'y avait plus alors qu'à s'endormir, sûrs que le lendemain serait encore plein de cadeaux. Bises alpines.
C'est merveilleux de nous faire revivre tous ces souvenirs d'enfance choyée dans la tendresse et la véritable valeur des choses; tous ces bonheurs engrangés ont peu à peu forgé notre devenir et comme toi je garde précieusement les images de ces veillées,de ces douceurs en partage,de leur tendresse, le tout dans cette atmosphère chaleureuse du feu dans l'âtre, des châtaignes grillées,des histoires à écouter; moments magiques à raconter encore et encore !
J'ai l'impression que tu égraines mes souvenirs. Papi et mamie. l'horloge. La brique chaude entourée de journaux. la vieille cuisinière. ... Merci pour ce partage plein de tendresse Bises :)
Des souvenirs précieux de ton enfance auprès de tes grands-parents, que tu contes admirablement bien. Merci Marie de nous faire partager ces petits bonheurs inoubliables ; comme toi, j’étais abonnée à la revue Bernadette. Comme toujours ton illustration est une merveille !
Je me souviens ... Je n'ai pas connu mes grands-pères mais , de mes grands-mères, j'ai le souvenir heureux d'une vie humble mais tellement riche de sourires, de câlins , de tartes et de brioches , de draps blancs brodés ,d'un petit porte-monnaie en cuir noir que je serrai très fort dans la main lorsque j'allais acheter une miche pour Mémé, du cerisier, des repas sous la tonnelle et des robes cousues avec amour ... Je n'ai rien oublié. Merci Marie
En te lisant je revois mes souvenirs d'enfants chez ma grand-mère paternelle ! La cuisinière à bois ou charbon, la bassine qui chauffe l'eau, la baille pour le bain et la daube qui mijote dans un coin.
Que de bons moments partagés, que de doux souvenirs. Merci Marie un superbe poème tout en douceur et souvenance.
Come è bello leggere che tanti vivono con gioia i ricordi Io ho con tanta nostalgia non posso dimenticare il coltello del nonno che aspettava il pane appoggiato al petto al cuore lo porgeva noi con amore
Que de jolis souvenirs Marie, Je pense à ma Mamée, veuve très jeune, qui se posait sur le petit chaison devant la cheminée, les lumières éteintes pour plus de douceur... je me souviens d'une fois, elle me gardait, mes parents étaient en voyage, nous étions restées ainsi, dans un moment de grâce...
De beaux souvenirs d'enfant, j'aime beaucoup "sur la chaufferette nos pieds se rejoignaient". Des temps rudes pour les adultes, mais nous les enfants on ne s'en rendait pas compte, bien sûr. Merci beaucoup Marie.
muchas gracias pour tes petits poèmes chez moi !!! j'adore c'est beau les souvenirs chez nous en espagne il n'y avait pas de chauffage (10 jours de froid et pas violent) alors on avait des tables avec un trou au milieu ou on mettait le brasero et ma grand mère nous racontait des histoires muchos besos
De délicieux souvenirs de prime jeunesse que tu nous présentes, chère Marie. Rien n'est plus beau qu'une enfance heureuse. Elle nous suit toujours et partout, avec sa ronde d'images lointaines.
Cette douce poésie me touche beaucoup et me fait remonter les temps heureux avec Mes grands parents, Mêmes souvenirs de cette époque de notre belle enfance. Merci Marie d'avoir su nous retransmettre ces bonheurs, par ta belle écriture et par ta merveilleuse illustration
Souvenirs à garder bien précieusement en ton coeur et qu'on a tous, je crois, eu plaisir à partager avec toi !
Je n'ai jamais connu de chaufferette une découverte telle présentée sur l'image. La cuisinière, oui cercles enlevés, GAUFRIER déposé où blondissaient des gaufres en forme de coeurs ;;;;délicieuses !
Je pense avoir quelques beaux souvenirs, chez mes grands parents maternels, à la campagne, alors que je fus citadine. AUSSI grands plaisirs à te lire ... Tu ravives ainsi, nos souvenirs !
Bonjour Marie Merci, merci pour ce merveilleux poème que je retrouve avec plaisir et qui rejoint beaucoup les veillées vécues auprès de mes grands-parents, au coin d'un feu pétillant de chaleur et de joie et de toutes ces histoires qui nous enveloppaient de tendresse et de bien être. Des souvenirs exquis dont je revois chaque image, je ressens presque les parfums du chêne qui brûle et des châtaignes grillées ou de la peau d'orange. Des bonheurs simples mais tellement précieux ! Tu as écrit un magnifique poème. Merci Marie.
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
Tendresse des souvenirs d'enfance gravés à cœur !
RépondreSupprimerJ'adore la photo des mains qui tricottent
RépondreSupprimerComme une nostalgie
Revoir ses mains ridées et le sourire qui les accompagne!
l'enfance, une douce nostalgie sertie de parfums inoubliables.
RépondreSupprimerDes petits bonheurs enveloppés de sucre...
Le temps qui nous regarde est une horloge bavarde.
Bonsoir Marie,
RépondreSupprimerQuels merveilleux moments que tu nous donnes en partage avec tes vers si savamment épicés aux goûts de notre enfance.
Mes félicitations pour ce joyau !
Bises
Nos enfances nous marquent à jamais et laissent des traces indélébiles dans nos mémoires et c'est bien ici car c'était encore l'heureux temps de l'insouciance et des petits bonheurs simples. Bonne journée Marie
RépondreSupprimerEn lisant ton poème, tout un flot de souvenirs est venu me submergé ..
RépondreSupprimerCe temps-là semble si loin et pourtant je n'ai rien oublié
Bravo pour ton poème et merci de l'avoir partagé
Douce journée Marie
Bisous
C'est beau.
RépondreSupprimerTu as de doux souvenirs de ton enfance, et tu honores ainsi tes grands-parents avec douceur et un brin de nostalgie...Belle journée Marie j'aime cette photo ancienne de ton enfance
RépondreSupprimerBonjour Marie
RépondreSupprimerEn te lisant j'ai l'impression de retrouver ma propre enfance chez ma grand-mère paternelle , souvenirs toujours très présents quand je pense à elle
Merci beaucoup
Bises
Quelle émotion à te lire ce matin, Marie ; tes mots qui parlent du temps passé, ta poésie si profonde.
RépondreSupprimerComme toi je possède des documents personnels de mon grand-père Léon, et qui a vécu également la guerre de 14-18, mon papa Justin avait 3 mois en août 1914 ; des cartes postales échangées entre Léon et ma grand'mère Juliette, la famille. Inestimables ces courriers que je conserve soigneusement et transmettrai à mes enfants, petits enfants. Ils racontent notre histoire, leur histoire, apprennent à comprendre l'Histoire.
Ils ont fait l'objet de divers billets sur mon blog....
Merci à toi.
Douce journée.
Tous ces souvenirs qui nous font devenir grands nous accompagnent sans arrêt. Moi aussi, j'ai cette tendresse quand je pense à eux
RépondreSupprimerQuel magnifique poème en partage Marie. Tes mots me font revivre avec émotion les moments passés avec ma grand-mère maternelle qui était si douce. Je n'ai malheureusement pas connu mes grands-pères. Merci
RépondreSupprimerBisous et belle journée
Il est impossible d'oublier tous ces petits bonheurs qui ont marqué ton enfance. Toutes ces petites choses simples qui étaient essentielles étaient des marques d'amour.
RépondreSupprimerCombien d'enfants auraient aimé et aimeraient les connaître !!
Tout comme ton poème, l'illustration est superbe !
De doux souvenirs d'enfances
RépondreSupprimerComme le dit justement Françoise c'est très beau à lire , à regarder
Ce sont de si beaux souvenirs !
RépondreSupprimerMerci de les faire revivre ainsi. Magie des mots et des images... merci encore.
Souvenirs, souvenirs. Tout cela me rappelle des moments d'enfance à la campagne. C'était le temps des veillées sans télévison, ni internet et smartphone !!
RépondreSupprimerune douce pensée pour nos anciens... je n'ai connu que ma grand-mère maternelle qui venait passer l'hiver "en ville" à la maison car sa maison en Bretagne n'avait qu'une cheminée et ni eau ni chauffage.
RépondreSupprimerCe poème fait resurgir en moi bien des souvenirs, je revois Mémé, ma grand-mère, tricotant près de la cuisinière, les deux pieds sur sa chaufferette … et j'ai lu, moi-aussi, la revue Bernadette !
RépondreSupprimerQue de beaux souvenirs d'enfance, quand tout nous paraissait possible. Cela l'était car les grandes personnes veillaient sur nous et nous préparaient de beaux chocolats chauds. Il n'y avait plus alors qu'à s'endormir, sûrs que le lendemain serait encore plein de cadeaux. Bises alpines.
RépondreSupprimerC'est merveilleux de nous faire revivre tous ces souvenirs d'enfance choyée dans la tendresse et la véritable valeur des choses; tous ces bonheurs engrangés ont peu à peu forgé notre devenir et comme toi je garde précieusement les images de ces veillées,de ces douceurs en partage,de leur tendresse, le tout dans cette atmosphère chaleureuse du feu dans l'âtre, des châtaignes grillées,des histoires à écouter; moments magiques à raconter encore et encore !
RépondreSupprimerCette chaleur, cette tendresse au coin des silences ...
RépondreSupprimerQuelle richesse!
aujourd'hui, on a oublié l'essentiel
Merci de le rappeler
Bonjour Marie,
RépondreSupprimerJ'ai l'impression que tu égraines mes souvenirs. Papi et mamie. l'horloge. La brique chaude entourée de journaux. la vieille cuisinière. ...
Merci pour ce partage plein de tendresse
Bises
:)
Des souvenirs précieux de ton enfance auprès de tes grands-parents,
RépondreSupprimerque tu contes admirablement bien. Merci Marie de nous faire partager
ces petits bonheurs inoubliables ; comme toi, j’étais abonnée à la revue
Bernadette. Comme toujours ton illustration est une merveille !
Je me souviens ...
RépondreSupprimerJe n'ai pas connu mes grands-pères mais , de mes grands-mères, j'ai le souvenir heureux d'une vie humble mais tellement riche de sourires, de câlins , de tartes et de brioches , de draps blancs brodés ,d'un petit porte-monnaie en cuir noir que je serrai très fort dans la main lorsque j'allais acheter une miche pour Mémé, du cerisier, des repas sous la tonnelle et des robes cousues avec amour ...
Je n'ai rien oublié.
Merci Marie
l'enfance est un jardin peuplé de trésors qui vous suivent et vos hantent toute l'existence. Merci !
RépondreSupprimerEn te lisant je revois mes souvenirs d'enfants chez ma grand-mère paternelle ! La cuisinière à bois ou charbon, la bassine qui chauffe l'eau, la baille pour le bain et la daube qui mijote dans un coin.
RépondreSupprimerQue de bons moments partagés, que de doux souvenirs. Merci Marie un superbe poème tout en douceur et souvenance.
Come è bello leggere che tanti vivono con gioia i ricordi Io ho con tanta nostalgia non posso dimenticare il coltello del nonno che aspettava il pane appoggiato al petto al cuore lo porgeva noi con amore
RépondreSupprimerQue de jolis souvenirs Marie, Je pense à ma Mamée, veuve très jeune, qui se posait sur le petit chaison devant la cheminée, les lumières éteintes pour plus de douceur... je me souviens d'une fois, elle me gardait, mes parents étaient en voyage, nous étions restées ainsi, dans un moment de grâce...
RépondreSupprimerDe beaux souvenirs d'enfant, j'aime beaucoup "sur la chaufferette nos pieds se rejoignaient".
RépondreSupprimerDes temps rudes pour les adultes, mais nous les enfants on ne s'en rendait pas compte, bien sûr.
Merci beaucoup Marie.
muchas gracias pour tes petits poèmes chez moi !!! j'adore
RépondreSupprimerc'est beau les souvenirs
chez nous en espagne il n'y avait pas de chauffage (10 jours de froid et pas violent)
alors on avait des tables avec un trou au milieu ou on mettait le brasero
et ma grand mère nous racontait des histoires
muchos besos
très beau poème souvenir et illustrations
RépondreSupprimerBon dimanche
J'ai vécu cela étant enfant. Des souvenirs qui font chaud au cœur.
RépondreSupprimerAmitiés
Alain
trés belle photo!
RépondreSupprimerbonne soirée
De délicieux souvenirs de prime jeunesse que tu nous présentes, chère Marie. Rien n'est plus beau qu'une enfance heureuse. Elle nous suit toujours et partout, avec sa ronde d'images lointaines.
RépondreSupprimerCette douce poésie me touche beaucoup et me fait remonter les temps heureux avec Mes grands parents, Mêmes souvenirs de cette époque de notre belle enfance.
RépondreSupprimerMerci Marie d'avoir su nous retransmettre ces bonheurs, par ta belle écriture et par ta merveilleuse illustration
Bises
Bonsoir chère Marie,
RépondreSupprimerTous ces petits bonheurs sont de très grands bonheurs qui restent éternellement gravés dans le coeur !
C'est magnifique ta poésie !
Superbe poème à la nostalgie touchante, le passé revit sous votre plume.
RépondreSupprimerBravo pour cette très belle lecture.
Souvenirs à garder bien précieusement en ton coeur et qu'on a tous, je crois, eu plaisir à partager avec toi !
RépondreSupprimerJe n'ai jamais connu de chaufferette une découverte telle présentée sur l'image. La cuisinière, oui cercles enlevés, GAUFRIER déposé où blondissaient des gaufres en forme de coeurs ;;;;délicieuses !
Je pense avoir quelques beaux souvenirs, chez mes grands parents maternels, à la campagne, alors que je fus citadine. AUSSI grands plaisirs à te lire ... Tu ravives ainsi, nos souvenirs !
BON NOEL MARIE
Bonjour Marie
RépondreSupprimerMerci, merci pour ce merveilleux poème que je retrouve avec plaisir et qui rejoint beaucoup les veillées vécues auprès de mes grands-parents, au coin d'un feu pétillant de chaleur et de joie et de toutes ces histoires qui nous enveloppaient de tendresse et de bien être. Des souvenirs exquis dont je revois chaque image, je ressens presque les parfums du chêne qui brûle et des châtaignes grillées ou de la peau d'orange. Des bonheurs simples mais tellement précieux !
Tu as écrit un magnifique poème. Merci Marie.
Des petits bonheurs et souvenirs à raconter...
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