Google refuse mon nouvel e-mail que je t'ai envoyé et refuse aussi mon ancien sur Yahoo. Très honnêtement Marie, si je n'appréciait pas autant tes poèmes, il y a déjà un moment que j'aurais cessé de venir sur les espaces dépendant de Google qui épie tout, contrôle tout et veut nous obliger, quand on a un compte Google, à commenter avec notre compte ce que je ne veux en aucun cas car ce compte est privé. Merci pour ce très beau poème, sans la qualité de tes photos et écrits....
Je suis désolée... Essaie de commenter en mettant anonyme et tu signes à la fin du commentaire...Merci de venir malgré tout... En ce moment je ne peux plus laisser de commentaires dur "overblog" ... on me signale une erreur
Ce moment unique où tout est possible, cet entre-deux qui donne le vertige, où les couleurs sont indéfinissables, la pointe du jour encore incertaine, le temps suspendu...Très beau poème Marie, sur cette parenthèse enchantée et bien trop fugace !
Entre deux, la vie s'écrit , la notre , nos partages, nos rencontres , nos mots , ces instants qui peuvent paraître fugaces mais qui, pour nous, signent l'éternité de notre passage sur Terre ... Faisons de cette plage ,une terre d'accueil ! J'espère que ton horizon s'éclaircit Marie. Merci
Bonjour Marie, Tu as le don de trouver les mots et ton poèmes plein de sensibilité et de réalité aussi me plait beaucoup. Il est à lire et relire. Aussi je vais revenir.Merci. Douce journée
J'ai aimé l'entredeux de Colo, quels jolis mots et je découvre avec grand plaisir le tien...des mots qui me touchent beaucoup comme toujours et qui sont si vrais. Bises j'espère que tu vas de mieux en mieux
Des mots superbes, le temps nous porte et nous emporte sur ses ailes. Le ciel parfois chargé de lourds nuages est du voyage mais il y a aussi de belles éclaircies.. dont il faut profiter.
c'est très beau... le temps passe en parenthèse.. une vie par procuration ?.. certaines phrases sont en accord avec mes photos d'un monde à demi.. à moitié vécu ?
Que c'est beau tout cela, tu es inspirée même dans la souffrance et la difficulté du présent, c'est doublement beau. Courage Marie, je t'embrasse, merci. brigitte
Un texte sensible, écrit avec des mots brumes, une encre fragile. Le souffle d'une mélancolie, triste instant, colore le temps qui te frôle. Je frissonne à le lire.
Un billet, un poème que j'ai savouré à l'extrême. Ton esprit s'évade, tes mots le suivent, pour mieux appréhender les sentiments fugaces. Je m'en vais relire, une deuxième lecture m'enrichit souvent de pensées qui m'ont échappé. > Yann
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
Google refuse mon nouvel e-mail que je t'ai envoyé et refuse aussi mon ancien sur Yahoo. Très honnêtement Marie, si je n'appréciait pas autant tes poèmes, il y a déjà un moment que j'aurais cessé de venir sur les espaces dépendant de Google qui épie tout, contrôle tout et veut nous obliger, quand on a un compte Google, à commenter avec notre compte ce que je ne veux en aucun cas car ce compte est privé.
RépondreSupprimerMerci pour ce très beau poème, sans la qualité de tes photos et écrits....
Je suis désolée... Essaie de commenter en mettant anonyme et tu signes à la fin du commentaire...Merci de venir malgré tout... En ce moment je ne peux plus laisser de commentaires dur "overblog" ... on me signale une erreur
SupprimerCe moment unique où tout est possible, cet entre-deux qui donne le vertige, où les couleurs sont indéfinissables, la pointe du jour encore incertaine, le temps suspendu...Très beau poème Marie, sur cette parenthèse enchantée et bien trop fugace !
RépondreSupprimerIl y a toujours un avant et un après, et entre les deux, un entre-deux, pas toujours simple à gérer. Merci pour tes mots. Bises alpines.
RépondreSupprimerEntre deux, la vie s'écrit , la notre , nos partages, nos rencontres , nos mots , ces instants qui peuvent paraître fugaces mais qui, pour nous, signent l'éternité de notre passage sur Terre ...
RépondreSupprimerFaisons de cette plage ,une terre d'accueil !
J'espère que ton horizon s'éclaircit Marie.
Merci
Bonjour Marie,
RépondreSupprimerTu as le don de trouver les mots et ton poèmes plein de sensibilité et de réalité aussi me plait beaucoup. Il est à lire et relire. Aussi je vais revenir.Merci. Douce journée
Un très beau poème. Le temps qui passe me poursuit inexorablement. Je sais qu'il m'accompagnera jusqu'à la fin !
RépondreSupprimerJ'ai aimé l'entredeux de Colo, quels jolis mots et je découvre avec grand plaisir le tien...des mots qui me touchent beaucoup comme toujours et qui sont si vrais. Bises j'espère que tu vas de mieux en mieux
RépondreSupprimerDes mots superbes, le temps nous porte et nous emporte sur ses ailes. Le ciel parfois chargé de lourds nuages est du
RépondreSupprimervoyage mais il y a aussi de belles éclaircies.. dont il faut profiter.
Comme une chaine d'instants main dans la main pour former la ronde de nos vies...
RépondreSupprimerC'est très beau !
c'est très beau... le temps passe en parenthèse.. une vie par procuration ?.. certaines phrases sont en accord avec mes photos d'un monde à demi.. à moitié vécu ?
RépondreSupprimerVivre l'instant présent en le chargeant de toute la douceur que la vie prodigue...
RépondreSupprimerquelle sensibilité dans ce poème qui me touche beaucoup pour tout un tas de raisons !! Merci Marie d'exprimer si bien nos ressentis !! bises
RépondreSupprimerMerci pour votre commentaire "Anonyme" Pourriez vous mettre votre nom à la suite de votre message...Merci
RépondreSupprimersuperbe entre deux en mots et illustration
RépondreSupprimerTu fais si joliment chanter les mots, Marie, merci pour ce poème et gros bisous
RépondreSupprimerQue c'est beau tout cela, tu es inspirée même dans la souffrance et la difficulté du présent, c'est doublement beau. Courage Marie, je t'embrasse, merci. brigitte
RépondreSupprimerUn texte sensible, écrit avec des mots brumes, une encre fragile.
RépondreSupprimerLe souffle d'une mélancolie, triste instant, colore le temps qui te frôle.
Je frissonne à le lire.
Un billet, un poème que j'ai savouré à l'extrême.
RépondreSupprimerTon esprit s'évade, tes mots le suivent, pour mieux appréhender les sentiments fugaces.
Je m'en vais relire, une deuxième lecture m'enrichit souvent de pensées qui m'ont échappé.
> Yann
On est toujours entre deux... deux moments, deux rencontres, deux journées, deux lieux, etc.
RépondreSupprimerMerci Marie... Je n'arrive pas à mettre un commentaire sur votre blog...
RépondreSupprimerUn grand merci à tous pour vos messages qui me sont vraiment très précieux!
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