Ce monstre qui rôde de plus en plus dans le monde, que l'on ne pourrait nommer tant il se montre sous diverses formes : viols, meurtres, féminicides, guerres, nous plonge dans une douleur profonde que l'on ne sait hélas pas comment éradiquer ni soigner. On l'appelle aussi "le mal".
La douleur est aussi vieille que l'humanité, ce qui n'est pas une consolation. Les causes peuvent être multiples, et ses effets sont très bien mis en images dans ce poème, où elle prend l'aspect d'une "bête", d'un monstre qui apparaît, avance peu à peu, et ne lâche pas sa proie. Impressionnant, même si la douleur finit, d'une manière ou d'une autre, par être vaincue ! À bientôt, Marie
les douleurs du cœur et de l'âme parfois plus violentes que celles du corps... des mots puissants pour traduire la souffrance installée au plus profond des veines
La douleur fait partie de notre vie, cette ennemie invisible qui nous fait tant souffrir . Elle marque notre chair, notre cœur, notre âme ... Ton poème, touchant, magnifique et vrai est venu cueillir des sentiments enfouis au fond de moi ... Merci Marie pour ton poème en cadeau. Je me suis permis de lier tes mots aux miens.
Pour avoir vu souffrir profondément un être cher tout en étant impuissante à ses côtés, je sais que ce sont des moments atroces à subir même si la guérison doit pointer à l'horizon. On ne peut partager, juste être présent et accueillir le plus infime signe d'un léger mieux. Ton poème dit tant !
La nuit au bleu incendiaire, violente quand le sommeil devient rugueux, enivrante dès que les corps s’enflamment. La nuit dont nous sommes les passagers clandestins. La nuit triste, perdue, quand le poète ne trouve pas les mots… Et pourtant nous venons toujours à l’heure au rendez-vous.
Terrible ce poème sur la douleur du corps, du coeur et de l'être tout entier...une douleur que les autres ne peuvent hélas pas partager et qui est toujours exacerbée par la venue de la nuit. Bises
Bonjour Marie, Ton poème est d'une grande force et combien réel. La douleur quelle soit physique ou morale est épouvantable et nous laisse dans un état de détresse extrême.
Breuh , la douleur on n'aime pas, c'est affreux à vivre....Moi qui aime tant quand tout va bien, quand on se sent heureux d'avancer, quand tout est confortable et apaisé, la douleur quelle horreur ! Je ne souhaite à personne de souffrir. C'est un monstre ainsi que tu le dis, qui parfois nous mène vers d'autres rivages d'où nul n'est jamais revenu . Paraît que c'est que l'acceptation est l'une des clés de la sagesse, peut-être bien, il faut bien dire quelque chose pour se consoler, pour réussir à vivre l'invivable. J'ai écrit l'an dernier un poème à propos de la douleur http://la-bonne-vie.eklablog.com/infidelites-passageres-a213735525 Bise, et bon courage, pour avoir écrit un tel poème je suppose que tu traverses des instants difficiles, bon courage.
Merci à tous et toutes... "La nuit n'est jamais complète Il y a toujours puisque je le dis Puisque je l'affirme Au bout du chagrin une fenêtre ouverte Une fenêtre éclairée Il y a toujours un rêve qui veille Désir à combler faim à satisfaire Un cœur généreux Une main tendue une main ouverte Des yeux attentifs Une vie la vie à se partager. " Paul Eluard
Tu as très bien fait de dire dans quelles circonstances tu as composé ces écrits. Montres aux doigts crochus, te lacèrent. Douleurs provoquées par un canal trop étroit. Et lâche attaque, ayant les dos comme origine. À chaque pas tu évoques la douleur, et je te souhaite qu'elle soit la bête qui tu terrasses. Merci aussi pour tes propos sur le monde du handicap. Amic@lement. > Yann
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
Ce monstre qui rôde de plus en plus dans le monde, que l'on ne pourrait nommer tant il se montre sous diverses formes : viols, meurtres, féminicides, guerres, nous plonge dans une douleur profonde que l'on ne sait hélas pas comment éradiquer ni soigner. On l'appelle aussi "le mal".
RépondreSupprimerLa douleur reste un sentiment puissant qu'il est parfois très difficile à gerer ...
RépondreSupprimerBonne journée à toi Marie
Bises
La douleur est aussi vieille que l'humanité, ce qui n'est pas une consolation. Les causes peuvent être multiples, et ses effets sont très bien mis en images dans ce poème, où elle prend l'aspect d'une "bête", d'un monstre qui apparaît, avance peu à peu, et ne lâche pas sa proie. Impressionnant, même si la douleur finit, d'une manière ou d'une autre, par être vaincue !
RépondreSupprimerÀ bientôt, Marie
les douleurs du cœur et de l'âme parfois plus violentes que celles du corps... des mots puissants pour traduire la souffrance installée au plus profond des veines
RépondreSupprimerLa douleur fait partie de notre vie, cette ennemie invisible qui nous fait tant souffrir . Elle marque notre chair, notre cœur, notre âme ... Ton poème, touchant, magnifique et vrai est venu cueillir des sentiments enfouis au fond de moi ...
RépondreSupprimerMerci Marie pour ton poème en cadeau. Je me suis permis de lier tes mots aux miens.
le monstre protéiforme attaque sournoisement
RépondreSupprimerle corps se tord et le coeur gémit
quand l'esprit lutte sans prise ni soulagement
Pour avoir vu souffrir profondément un être cher tout en étant impuissante à ses côtés, je sais que ce sont des moments atroces à subir même si la guérison doit pointer à l'horizon. On ne peut partager, juste être présent et accueillir le plus infime signe d'un léger mieux.
RépondreSupprimerTon poème dit tant !
La nuit au bleu incendiaire, violente quand le sommeil devient rugueux, enivrante dès que les corps s’enflamment. La nuit dont nous sommes les passagers clandestins. La nuit triste, perdue, quand le poète ne trouve pas les mots…
RépondreSupprimerEt pourtant nous venons toujours à l’heure au rendez-vous.
Terrible ce poème sur la douleur du corps, du coeur et de l'être tout entier...une douleur que les autres ne peuvent hélas pas partager et qui est toujours exacerbée par la venue de la nuit. Bises
RépondreSupprimerBonjour Marie,
RépondreSupprimerTon poème est d'une grande force et combien réel. La douleur quelle soit physique ou morale est épouvantable et nous laisse dans un état de détresse extrême.
vous n'y pouvez rien, vous subissez, un jour viendra pour l'acceptation de la douleur mais elle restera au plus profond. Nous avançons modifiées
RépondreSupprimerGarder alors l'espérance, d'une main tendue pour remonter la pente et sortir du gouffre...
RépondreSupprimerBreuh , la douleur on n'aime pas, c'est affreux à vivre....Moi qui aime tant quand tout va bien, quand on se sent heureux d'avancer, quand tout est confortable et apaisé, la douleur quelle horreur ! Je ne souhaite à personne de souffrir.
RépondreSupprimerC'est un monstre ainsi que tu le dis, qui parfois nous mène vers d'autres rivages d'où nul n'est jamais revenu .
Paraît que c'est que l'acceptation est l'une des clés de la sagesse, peut-être bien, il faut bien dire quelque chose pour se consoler, pour réussir à vivre l'invivable.
J'ai écrit l'an dernier un poème à propos de la douleur
http://la-bonne-vie.eklablog.com/infidelites-passageres-a213735525
Bise, et bon courage, pour avoir écrit un tel poème je suppose que tu traverses des instants difficiles, bon courage.
J'ai connu la souffrance. Elle m'a meurtri mais m'a fait progresser !!
RépondreSupprimerBon courage, que bien vite la santé revienne, bon courage bon courage bon courage.
RépondreSupprimerBise
ta douleur est bien décrite, je te souhaite un bon rétablissement
RépondreSupprimerLaisse-nous prendre un peu de cette douleur
RépondreSupprimerPour qu'à nouveau la force de la douceur
d'un bel élan vital vienne irriguer ton coeur...
Oh Marie, des prières vers toi pour alléger tes souffrances, je te tiens la main, merci pour ce magnifique poème, courage. brigitte
RépondreSupprimerMerci à tous et toutes... "La nuit n'est jamais complète
RépondreSupprimerIl y a toujours puisque je le dis
Puisque je l'affirme
Au bout du chagrin une fenêtre ouverte
Une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille
Désir à combler faim à satisfaire
Un cœur généreux
Une main tendue une main ouverte
Des yeux attentifs
Une vie la vie à se partager. " Paul Eluard
Ne sombre pas ! Résiste ... 💓
RépondreSupprimerJe n'arrive plus à commenter sur ton blog... https://marie-aupaysdesimagesetdesmots.blogspot.com/search?q=carrelets
SupprimerTu as très bien fait de dire dans quelles circonstances tu as composé ces écrits.
RépondreSupprimerMontres aux doigts crochus, te lacèrent.
Douleurs provoquées par un canal trop étroit.
Et lâche attaque, ayant les dos comme origine.
À chaque pas tu évoques la douleur,
et je te souhaite qu'elle soit la bête qui tu terrasses.
Merci aussi pour tes propos sur le monde du handicap.
Amic@lement. > Yann
Tellement vrai Marie
RépondreSupprimerBravo bises
Marie un superbe poème, qui dépeint bien toutes les douleurs, qu'elles soient criminelles, maladives ou plus intimes. Merci pour tes mots
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