Je suis retournée sur les sentes de Fondoire
et les sculptures des troncs de la forêt
m'ont transmis d'autres mots...
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Aujourd'hui 20 juillet 2016
Un cri dans la nuit
Un immense MERCI pour tous les messages laissés...
Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
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Tes mots m'évoquent une bien triste actualité...
RépondreSupprimerMes amitiés
Alain
Très symboliques ces sculptures comme tu le traduis dans le texte.
RépondreSupprimerUn cri n'est qu'une vibration de l'air ambiant que l'on ressent et qui nous transmet une douleur
RépondreSupprimerTes mots s'imprègnent de l'actualité récente...
Joliment écrit
Douce journée Marie
Bisous
timilo
Bonjour
RépondreSupprimerDes sculptures très expressives et de là ton texte prend toute sa force !
Merci à toi
Bises
Un poème dont la gravité souligne ton talent, chère Marie. Pas un mot de trop pour illustrer ces sculptures tragiques. C'est une composition forte et lancinante. Si proche des peurs d'aujourd'hui!
RépondreSupprimerLorraine
Ton poème est très beau et les sculptures aussi.
RépondreSupprimerLe tout a une force incroyable. Merci, Marie.
Ce cri, j'espère que tous l'entendront.
Je t'embrasse fort.
Seul le silence est digne devant un tel moment, devant tes mots si justes, si vrais ! Je partage. Amitiés. Joëlle
RépondreSupprimerDes sculptures dont l'expression nous ramène vers les événements graves de ces derniers jours.
RépondreSupprimerdes cris d'une douleur qu'on ne voudrait pas entendre...
RépondreSupprimerDes cris pathétiques, plus forts que les mots, il faut les entendre même si nous sommes bien impuissants à les consoler, à les accepter même... Nous sommes démunis face à la douleur... C'est très beau !
RépondreSupprimerBonjour Marie, le désespoir se hurle, se crie. Un grand merci pour tes mots "chez moi". A bientôt
RépondreSupprimerUn merci pour tous vos messages...
RépondreSupprimerUn merci...
Que tous ces cris de chaque jour
de chaque nuit
se taisent enfin...
et que chaque matin
nous pourrions chanter avec Jacques Brel
"Quand on n'a que l'amour
Pour parler aux canons
Et rien qu'une chanson
Pour convaincre un tambour
Quand on n'a que l'amour
Pour tracer un chemin
À chaque carrefour
Alors, sans avoir rien
Que la force d'aimer
Nous aurons dans nos mains
Ma mie, le monde entier"