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Texte inspiré par une sculpture de Vigeland prise en photo lors de mon voyage en Norvège...
Les poèmes sont des prétextes à dire ce qui ne se dit pas!Les cris, les déchirures de la vie....
Quand la souffrance morale dépasse le seuil de tolérance c'est le corps qui crie son désespoir....et chose bien connu....tout le monde fuit et se détourne!....
C'est ce que veulent dénoncer mes mots...et les sculptures de Vigeland m'ont aidée!
Chère Marie,
RépondreSupprimerj'ai lu avec grande attention et surtout grande émotion ce poème déchirant, bien écrit et d'une grande profondeur. La réalité des sentiments et des ressentis est fortement exprimée et il est vrai que cette lecture laisse un malaise ou un grand questionnement philosophique.
merci de nous l'avoir fait partager et bravo pour cette inspiration que tu as eue.
bisous
Brigitte
Une profonde réflexion sur la souffrance morale qui parfois est telle que
RépondreSupprimerle corps devient aussi douleur... Un bouleversant et magnifique poème qui
ne peut laisser indifférent. Gros bisous, chère Marie.
Aube
Permets moi de te dire que l'on ne ressort pas indemne de ton poème, les vers frappent, forts et justes, une explosion de vérités et de sentiments, impressionnant
RépondreSupprimeri les mots n'étaient que traduction de la sculpture ( impressionnante ) ....
RépondreSupprimerIls sont bouleversants
durs
trop vrais
sans doute
" qu'est ce que c'est que cette vie , qui nous met sur des chemins pareils ? "
Chère Marie,
RépondreSupprimerJe suis venue plusieurs fois sur la lecture de ce poème ! Et comme toujours lorsque je suis bouleversée, je ne parviens pas à commenter... alors, il m'a fallu digérer ces mots ! Et plus calmement, je reviens te lire.
Déjà les "chansons douleurs" de CABREL m'emmènent toujours sur des chemins très difficiles !
Tu as su traduire la souffrance aussi bien physique que morale avec beaucoup de force... et je fais silence devant la profondeur de cet écrit.
Une déchirure intérieure est seulement vécue par celui qu'elle fait souffrir et ne peut être partagée, seulemement apaisée par l'amour de l'autre.
RépondreSupprimerTrès beau poème dont les mots sont percutants !
La souffrance du monde , des êtres, de l'être ....physique , morale ..peu importe ..un texte si dur et si vrai qu'il ne laisse pas indifférent ....
RépondreSupprimercette souffrance on la côtoie journellement et pourtant combien sont capables de le regarder en face , de la soulager d'un sourire d'un geste ...
Tes vers témoignent d'une pure vérité qui gémit
RépondreSupprimerchaque jour sous nos yeux!
Merci de ce partage émouvant
Bon weekend!
Amicalement
J'ai écouté cette chanson de Francis Cabrel et lu ton magnifique poème qui m'émeut jusqu'aux larmes. Je me souviens de tout cela puisque j'ai passé par des moments de désespoirs assez souvent dans ma vie. Et tes mots sont en parfait accord avec ce mal intérieur qu'une personne ressent dans sa tête et son corps lorsqu'elle vit ces moments de déchirures intérieures. Merci d'en parler.
RépondreSupprimerBisous
Me voilà revenue chère Marie et tout émue après la lecture de ton poème.(l'image s'est affichée cette fois).
RépondreSupprimerCes souffrances morales que tu décris, tellement intenses qu'elles se répercutent sur le corps, je les ai connues dans une autre vie. Ces tourments étaient arrivés à une telle puissance que mon système immunitaire s'était effondré. Ce qui prouve si besoin était, que le corps et l'esprit sont intimement liés. Le pire dans tout ça, c'est l'indifférence...
Des mots très forts...
Les poèmes sont des prétextes à dire ce qui ne se dit pas!
RépondreSupprimerLes cris, les déchirures de la vie....
Quand la souffrance morale dépasse le seuil de tolérance c'est le corps qui crie son désespoir....et chose bien connu....tout le monde fuit et se détourne!....
C'est ce que veulent dénoncer mes mots...et la sculpture de Vigeland m'a aidée!