Chapelle du cap de Carteret
Un immense MERCI pour tous les messages laissés...
Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
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Un instant, je me suis retrouvé en Irlande, terre magique dont le vent ébouriffe les cheveux avec une grâce inouïe.
RépondreSupprimerEt non, je découvre que cet endroit envoutant est sur nos côtes et que je ne le connais pas... encore un lieu à découvrir.
Ton poème est une ronde gracieuse qui fait fermer les yeux... alors on se laisse emporter par la magie!
Un très beau poème magnifiquement illustré, on se sent saisi par ce temps qui file entre les doigts et qui nous rappelle sans cesse notre fragilité et le besoin de respecter chaque chose mise à notre disposition.
RépondreSupprimerAmicalement.
Claude
Très beau poème Marie, un bel hommage à la mer, aux marins, aux épaves et au vent qui hurle sa peine et aux prières qui peut-être demeurent quand même entendues.
RépondreSupprimerTrès belle osmose entre ce très beau texte et tes photos
RépondreSupprimerMerci Marie
Bises
Voyager en ta poésie ardente
RépondreSupprimerEst un privilège auquel fort je tiens
Car mes vers foisonnant au vu des tiens
Montent souvent leur lunaire charpente !
Bonjour Marie,
" Sur des orgues de vent et d'eau " tu sais composer une magnifique mélodie qui va droit au cœur.
Bisous
le texte est si vrai , si émouvant.. toujours des mots choisis pour nous faire espérer..
RépondreSupprimersuperbe texte qui m'a fait penser à une chanson de Léo Ferré que j'adore :'la mémoire et la mer'....merci pour cette belle écriture !! bisous
RépondreSupprimerUne chapelle en ruines battue par les embruns, trempée jusqu'à l'os, se dresse encore au dessus des eaux, bercée par le vent du large, point d'orgue de ses souvenirs ! Ton poème, Marie, ainsi que les photos qui l'accompagnent, nous font respirer l'air vif de l'océan et la délicate nostalgie du temps qui passe.
RépondreSupprimerMerci pour ce voyage si bien inspiré.
La nouvelle vague sera porteuse d'Amour ...
RépondreSupprimerOn l'espère tous et toutes !
Quel beau poème ! Tes photos sont magnifiques et en les regardant et en lisant ton poème, j'ai senti l'air iodé et les embruns sur mon visage...cette petite chapelle en ruine a une âme !
RépondreSupprimerBonjour Marie,
RépondreSupprimerJ'adore la présentation de tes poèmes. Tes écrits sont magnifiés par tes photos.
Te voici donc revenue de vacances avec un poème chargé de prières qui portent bien des douleurs , des joies et des espoirs . Certes la chapelle est à moitié en ruine , battue par les vents les siècles et la percussion du ressac , mais j'adore ta dernière strophe .
RépondreSupprimerl'Marco
Prisonniers de la pierre
RépondreSupprimerFantômes du passé
Ils respirent encore
Les mots
Les mots prière
Les mots fragiles
Les mots écho
En équilibre
Sur un souffle de vie
Qu'il est beau ton poème Marie !
Poème, photos, c'est toujours très beau ! merci Marie !
RépondreSupprimerQue ton poème est beau Marie, les mots chantent en survolant l'eau.
RépondreSupprimerJ'aime ta merveilleuse présentation. Merci.
Merci Marie pour ces belles images et cette prière magnifique qui mêle souffrance et espérance...
RépondreSupprimerBises
sublimes photos et mots
RépondreSupprimerUne chapelle et ses prières
RépondreSupprimerouverte aux quatre vents
d'où s'échappent nos espérances
Hier aujourd'hui demain
à temps et contre-temps présente
Au fil des vagues flottent nos attentes
Sur ses vitraux nature s'inscrivent
les jours, les mois et les années
Accrochée à la grève elle veille
sur nos fragiles destinées !
Merci...letienne, Claude Yelitchitch,
RépondreSupprimerMarie, Claudine, Marl'Aime, Sedna,
Chaourcinette, Antonie demonti, Maie-Luce Manou,
Petits bonheurs, Marcomuch, Baladine,Noëlle,
Denise, Marine D, Eki Eder, ABC,
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"Ce qui est blessé en nous demande asile aux plus petites choses de la terre et le trouve. " Christian Bobin
Oui, écoutons religieusement ce que le vent et la mer nous murmurent ... ce souffle de vie, cette symphonie atemporelle ...
RépondreSupprimerEn voyant, cette petite chapelle ruinée, je songe "aux trois messes basses" d'Alphonse Daudet ... "Dans le fond, un petit vieillard de taille enfantine, à genoux au milieu du chœur, agitait désespérément une sonnette sans grelot et sans voix, pendant qu’un prêtre, habillé de vieil or, allait, venait devant l’autel en récitant des oraisons dont on n’entendait pas un mot… Bien sûr c’était dom Balaguère, en train de dire sa troisième messe basse"... Merci Marie pour cette si belle vague d'amour.
Que c'est beau et comme tu écris bien Marie, bravo et merci. Douce semaine à toi. brigitte
RépondreSupprimerLes photos sont magnifiques et les mots parfaitement en harmonie avec elles...
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