Mais lorsque pointe la saison du renouveau,
Fleurissent orchidée, asphodèle et flûteau
Et les vives alouettes chantent le soir
Des gens et des pierres, la vieille et longue histoire.
Forêt de Moulière sous la pluie
Pinail, ce champ de pierres
Diaporama sur Le Pinail
Forêt de Moulière sous la pluie
Pinail, ce champ de pierres
Diaporama sur Le Pinail
La lande à mares de la Réserve naturelle du Pinail en fait un site tout à fait original du nord du massif forestier de Moulière.Ce paysage a été grandement façonné par la main de l’homme.
La multitude de mares présentes aujourd’hui proviennent en effet de l’extraction de la pierre meulière, dont l’origine peut être datée avant l’an mil ... Le Pinail a constitué une des principales carrières de France jusqu’à la fin du 19e siècle, fournissant ainsi nombre de moulins. Les meules extraites étaient acheminées en bord de Vienne, aux ports de Ribes, de Chitré et étaient embarquées sur des gabarres , pour être vendues dans les moulins de bords de Loire, sur la côte Atlantique et même outre-Atlantique.
Le grand Soubis est un gouffre situé dans la forêt de Moulière....et l'on raconte depuis des millénaires la légende de ce cavalier qui entraîne les égarés dans ce monde souterrain.
La tombe à l'enfant existe vraiment...Claire une petite bergère fut dévorée par la meute des chiens d'un seigneur de Garenne et fut enterrée dans la forêt....
Déjà très populaire, Mélusine glisse vers la légende au XIVe siècle sous la plume de Jean d'Arras, lorsqu'il en fait la souche originelle de la puissante famille poitevine des Lusignan. Condamnée à se muer en serpente chaque samedi, elle aurait épousé un prince contre une promesse qu'il n'aurait pas su tenir, scellant ainsi le funeste destin de sa bien aimée...
La multitude de mares présentes aujourd’hui proviennent en effet de l’extraction de la pierre meulière, dont l’origine peut être datée avant l’an mil ... Le Pinail a constitué une des principales carrières de France jusqu’à la fin du 19e siècle, fournissant ainsi nombre de moulins. Les meules extraites étaient acheminées en bord de Vienne, aux ports de Ribes, de Chitré et étaient embarquées sur des gabarres , pour être vendues dans les moulins de bords de Loire, sur la côte Atlantique et même outre-Atlantique.
Le grand Soubis est un gouffre situé dans la forêt de Moulière....et l'on raconte depuis des millénaires la légende de ce cavalier qui entraîne les égarés dans ce monde souterrain.
La tombe à l'enfant existe vraiment...Claire une petite bergère fut dévorée par la meute des chiens d'un seigneur de Garenne et fut enterrée dans la forêt....
Déjà très populaire, Mélusine glisse vers la légende au XIVe siècle sous la plume de Jean d'Arras, lorsqu'il en fait la souche originelle de la puissante famille poitevine des Lusignan. Condamnée à se muer en serpente chaque samedi, elle aurait épousé un prince contre une promesse qu'il n'aurait pas su tenir, scellant ainsi le funeste destin de sa bien aimée...
Toujours très inspirée. Merci Marie.
RépondreSupprimerPasse une bonne journée
Juste sublime ! A chaque fois que je viens sur ce site, je suis transporté dans un autre monde. J'espère que tu vas encore continuer avec tes magnifiques poèmes Marie.
RépondreSupprimerMerci Jackie et Greg, vos mots sont des encouragements à améliorer sans cesse images et textes!...Merci
RépondreSupprimerMarie
Toujours aussi mystérieuse cette forêt des pierres...
RépondreSupprimerQue je te dise avant tout, chère Marie, combien ta poésie est belle! Je n'avais aucune idée de cet endroit hanté par des souvenirs si anciens, semble-t-il, et dont tu donnes une description très intéressante. J'ai lu ensuite le commentaire de Gregg, et me voilà instruite. C'est vraiment passionnant cet échange qui, partant d'un poème débouche sur une contrée alimentée à la fois par les ombres, les eaux, les pierres,...et la visite d'un nouveau venu sur la Branche. A qui je souhaite, moi aussi, de se trouver bien parmi nous et de revenir souvent.
RépondreSupprimerChère Marie, ta plume toujours si enchantée l'est d'autant plus qu'elle évoque un passé où se mêlent légendes et réalités.
Je suis heureuse de t'avoir lue. J'en éprouve toujours un profond plaisir,
Bises à toi,
Lorraine
Je me suis promenée dans belle et mystérieuse forêt des pierres. J'ai pris garde de ne pas m'y perdre pour ne pas être entraînée dans le gouffre par le grand Soubis.
RépondreSupprimerTrès bien écrite l'histoire de cette forêt. Elle m'a beaucoup plu.
Hé bien moi j'ai adoré ma promenade dans cette forêt des pierres, foisonnant de légendes dont je ne me lasse pas.
RépondreSupprimerQu'il m'a été agréable de parcourir ce site sous tes mots ma chère Marie ! Et bravo pour la mise en page.
Belle promenade, toute pleine de mystère et parcourue de légendes. J'avoue que je ne connaissais pas et cette découverte fut un enchantement. Merci Marie
RépondreSupprimerJ'ai noté les liens que tu donnes et j'irai y faire un tour !
Je me suis promenée dans belle et mystérieuse forêt des pierres. J'ai pris garde de ne pas m'y perdre pour ne pas être entraînée dans le gouffre par le grand Soubis.
RépondreSupprimerTrès bien écrite l'histoire de cette forêt. Elle m'a beaucoup plu
Hé bien moi j'ai adoré ma promenade dans cette forêt des pierres, foisonnant de légendes dont je ne me lasse pas.
RépondreSupprimerQu'il m'a été agréable de parcourir ce site sous tes mots ma chère Marie ! Et bravo pour la mise en page.
Belle promenade, toute pleine de mystère et parcourue de légendes. J'avoue que je ne connaissais pas et cette découverte fut un enchantement. Merci Marie
RépondreSupprimerJ'ai noté les liens que tu donnes et j'irai y faire un tour !
Une belle forêt mystérieuse et pleines de légendes où j'ai adoré
RépondreSupprimerte suivre en lisant ton poème d'une grande beauté, ce qui donne
envie d'en savoir plus sur cet endroit magique. Merci Marie, d'avoir
donné ces liens qui s'y rapportent.
superbe promenade et il y a aussi plein de libellules dans les petites mares !
RépondreSupprimerJ'ai si peu voyagé que je ne connais pas, cette région, mais toujours attirée par le mystère et les forêts de légendes, j'ai adoré ma promenade sur tes mots. J'ai aussi consulté tes liens... Là où il y a des pierres et de l'eau, il suffit d'écouter.....il se raconte tant de choses !
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RépondreSupprimerQue je te dise avant tout, chère Marie, combien ta poésie est belle! Je n'avais aucune idée de cet endroit hanté par des souvenirs si anciens, semble-t-il, et dont tu donnes une description très intéressante. J'ai lu ensuite le commentaire de Gregg, et me voilà instruite. C'est vraiment passionnant cet échange qui, partant d'un poème débouche sur une contrée alimentée à la fois par les ombres, les eaux, les pierres,...et la visite d'un nouveau venu sur la Branche. A qui je souhaite, moi aussi, de se trouver bien parmi nous et de revenir souvent.
Chère Marie, ta plume toujours si enchantée l'est d'autant plus qu'elle évoque un passé où se mêlent légendes et réalités.
Je suis heureuse de t'avoir lue. J'en éprouve toujours un profond plaisir,
Bises à toi,
Lorraine
Une forêt enchantée que tu nous fais découvrir à la fois en infos et poésie.
RépondreSupprimerJe suis sous le charme, et encore plus lorsque je lis le reportage de notre nouveau visiteur.