Photos personnelles août 2012
la forêt près de Puerto Madonaldo
Poème écrit sur ma main en attendant la visite des perroquets sur la falaise!
Quand la forêt s’éveille en pleurant sa rosée
Sur le cri de l’oiseau et le chant du ruisseau,
S’égrène la vie dans une brume voilée
Et l’arbre se déplie en un long souffle chaud…
Sur le cri de l’oiseau et le chant du ruisseau,
S’égrène la vie dans une brume voilée
Et l’arbre se déplie en un long souffle chaud…
Lieu où la vie éclate dans l'ombre. Beau dimanche Marie. Joëlle
RépondreSupprimerUn tableau en petites touches volées aux peintres impressionnistes!
RépondreSupprimerjolies fusions de photos!
toujours autant de beauté dans tesmots dans tes vers, un vrai délice ce poème Marie!Bonne journée,
RépondreSupprimerje t'embrasse
Quelle merveille Marie ...
RépondreSupprimerMerci
Bises
Merci à tous pour vos gentils messages!
RépondreSupprimerJ'ai pris beaucoup de photos que je trierai sans doute cet hiver pour les partager avec vous tous...
Amitiés
marie
Quelles belles impressions musicales au coeur de la selva
RépondreSupprimerMerci Marie pour ce beau murmure de tes mots et magnifique photo
Bel été
Quand, au cours d'une balade dans la forêt, la muse rejoint la poétesse qui prend sa main comme support pour recueillir les vers sortant de la tête, c'est vraiment un exploit.
RépondreSupprimerMarie, tu es vraiment étonnante. Personne d'autre que toi nous avait encore parlé de vers macaques en poésie. SE MARRE
Ton poème est superbe ! Il me semble entendre et voir tout ce qui anime cette forêt.
La photo image ton poème à merveille.
Ce poème je l'ai écrit dans la forêt pluviale au Pérou sur ma main, je n'avais qu'un stylo et pas de papier...M'apercevant que la transpiration effaçait tout j'ai pris ma main en photo...
Supprimerj'ai rapporté de cet endroit un souvenir: "un ver macaque"...mais l'aventure est à ce prix!!!!
Une forêt lointaine et étrange que nous découvrons, fascinés, tant par la beauté des descriptions que par le choix des mots et des images ! C'est un beau cadeau pour nous ! Merci Marie !
RépondreSupprimerC'est vraiment une chance d'avoir vécu cette expérience malgré l'inconvénient de ces petits monstres qu'on appelle gentillement "vers macaques"
RépondreSupprimerNous avons fait une marche de nuit pour être dès l'aube devant une falaise où viennent manger les perroquets...Arrivés au rendez-vous nous avons attendu une heure l'arrivée des oiseaux, le temps d'écrire un poème...
Je suis certaine que tous ces beaux oiseaux se sont fait attendre pour que tu aies justement le temps d'écrire ce poème pour l'offrir à d'autres Oiseaux
RépondreSupprimerComme Françoise et Rémy, cette forêt à l'autre bout du monde m'a fascinée, ton poème
RépondreSupprimerest vraiment génial et quelle présence d'esprit d'avoir pris ta main comme bout de papier
pour y écrire ce que te dictait ta muse... cela aurait été vraiment dommage qu'un tel texte
fut perdu.
Le poète et la poétesse doivent écrire sur le moment leur ressenti sous peine d'en perdre l'inspiration. Bravo Marie! Tout cela est superbe et merci de partager tes voyages avec nous.
RépondreSupprimerEncore une belle poésie et un beau cadeau pour les oiseaux que nous sommes !Vraiment MARIE c'est géniale cette muse qui s'éprend d'un vers macaque !!
RépondreSupprimerDe lire tes mots me ramène deux jours en arrière ! loin de la forêt tropicale mais près des animaux, un bien joli poème avec une belle histoire ! J'avais une fois écrit sur du papier toilette en plein orage ... c'est bien moins romantique !
RépondreSupprimer