Un clic sur l'image pour l'agrandir
Les mots
d'un poème
sont des
cailloux ramassés
au cours des
rencontres de la vie,
ou
cueillis
inconsciemment dans les livres
et
que l'on
sème un jour
sur une page
blanche...
Ils
sont les reflets éphémères
des émotions
de tous ces passants,
de tous ces
passeurs entrevus un jour
sur les
chemins de l'existence...
Ils sont Eux
Ils sont
Ils sont
Vous
Ils sont
Moi
Marie
Bonsoir Marie,
RépondreSupprimerUn poème très émouvant que ton illustration exacerbe davantage. Heureusement tu poses l'espoir en ton dernier quatrain, tout ce qu'il me faut pour accueillir ta composition comme un merveilleux partage poètique que je reviendrai déballer plusieurs fois avec délectation.
Mes amitiés
Je te lis toujours avec plaisir car tu "vois" et tu "sens" comme moi. Merci Marie pour ce début de journée qui commence avec un beau poème
RépondreSupprimerIl se suffit d'un rien pour renouer des liens brisés par le temps, mais pour cela il faut oser faire le premier pas.
RépondreSupprimerUn magnifique poème que tu as écrit là
Bon et doux weekend Marie
Bisous
timilo
En effet, il est bien difficile d’oublier les blessures de l’enfance qui très souvent ne
RépondreSupprimerse cicatrisent jamais… et tu l’exprimes parfaitement avec beaucoup d’émotion dans
ce poème superbe et parfaitement illustré. Merci chère Marie, j’ai beaucoup aimé
tes mots qui m’ont vraiment touchée au cœur.
Bonsoir chère Marie,
RépondreSupprimerMagnifique poésie émouvante qui touchent les coeurs que tu nous offres en partage !
Bonjour Marie
RépondreSupprimerParfois il est très difficile de tourner la page de notre passé ..et là tu dis si bien les choses
Merci à toi
Bonne journée
Les blessures d'enfance ne sont pas faciles à oublier c'est bien vrai et souvent des rancœurs persistent entre les différents membres de la fratrie malgré le temps qui passe...Merci pour ce beau poème
RépondreSupprimerCommunique, écouter, savoir accueillir pour tenter de comprendre......
RépondreSupprimerLe chemin est tortueux, mais au détour d'un buisson, se cache encore la joie .. j'espère que tu l’aperçois pour en cueillir un bouquet !
RépondreSupprimerDes souvenirs d'enfance parfois douloureux que vous exprimez bien sous votre plume j'aime beaucoup merci du partage belle journée amitiés
RépondreSupprimerTes mots sont si beaux sur les blessures d'enfance qui se souviennent.... exprimés avec une telle aisance qui glisse sur la page qui respire... bravo, Marie. Tu sais si bien dire l'émotion... "il suffirait d'un rien pour recréer un lien".... OUI, tout se reflète là...
RépondreSupprimerMerci, vraiment.
Douce journée à toi.
tu prêches une convertie... j'ai toujours eu des taiseux (père, mari) qui me font encore "bouillir"
RépondreSupprimerMerci Marie pour ton merveilleux poème avec tes mots très touchants. Les blessures d'enfance sont parfois difficiles à oublier.
RépondreSupprimerDoux après-midi
Comme c'est beau ce que tu dis !
RépondreSupprimerTon poème est puissant et me touche. "Il suffirait d'un rien, d'une parole, pour recréer un lien ......"
Oui, mais souvent notre coeur est si douloureux que l'on se tait et l'on ne dit rien" C'est certainement bêta.
Belle fin de semaine. Je t'embrasse
Je pense que les blessures de l'enfance ne cicatrisent jamais ; elles laissent toujours un goût d'amertume de n'avoir pas su retisser le lien rompu par des incompréhension, parfois pour des broutilles.
RépondreSupprimerIl suffirait souvent de peu de choses, d'un rien ...
Il est très beau ton poème Marie et tellement vrai !
très beau poème et choix d'illustration
RépondreSupprimerbon wk
Ils sont des brins de bonheur
RépondreSupprimersemés aux quatre vents
vents des âges, vent des saisons
comme autant de friandises
germant sur nos chemins de vie !
Les blessures d'enfance restent en cicatrices
RépondreSupprimerobstacles d'un parcours qui ne peuvent se franchir
qu'avec une main tendue, un mot juste ou un simple sourire
sur les chemins de la discorde les non-dits et les regards absents
laissent des plaies ouvertes qui au fil des ans douloureusement suppurent
N'attendons pas qu'ils soient trop tard pour allumer la flamme de la réconciliation...
Une superbe création photographique tendre à la symbolique très forte. Le noir et blanc avec cette petite touche de couleur surannée comme un souvenir qui s'envole ou qui prend son envol vers des temps apaisés. L'enfance est notre terreau, des blessures dont certains font une faiblesse , d'autres une force .
RépondreSupprimerOui, il suffirait d'un rien,d'un presque rien pour retrouver des sourires et d'y poser les nôtres.
Merci Marie
l n'y a rien de plus difficile à oublier que les blessures de la tendre enfance, elles laissent des stigmates à vie. Mais il faut vivre avec, et vivre le présent pour essayer de cicatriser et de n'en plus ressentir la douleur.
RépondreSupprimerBelle poésie Marie, très profonde.
Autrefois les secrets, les silences étaient l'héritage des familles qui ne pensaient pas alors combien ils pèseraient plus tard sur leur descendance.
RépondreSupprimerMerci Marie pour ce beau poème
C 'est tellement vrai MARIE
RépondreSupprimerIl suffirait de peu ...mais ...C 'est parfois si compliqué ..Savoir et vouloir écouter , comprendre ...
Bonjour Marie
RépondreSupprimerMagnifique poème.
Oui les mots d un poème sont comme ces cailloux que l on trouve sur nos chemins et chacun à sa propre histoire.
Bravo pour ce prenant moment de lecture matinale.
Salah
Rien n'est pire que les non-dits qui déchirent. Il faut savoir se libérer par la parole et faire table rase de tout ce qui nous a écorchés. Un grand merci, chère Marie.
RépondreSupprimer