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Même au coeur des bourrasques l'âme se souvient:
Elle n'est pas faite pour sombrer,
mais pour s'élever,
portée par une lumière
plus vaste que la mer
Aline Botter
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Même au coeur des bourrasques l'âme se souvient:
Elle n'est pas faite pour sombrer,
mais pour s'élever,
portée par une lumière
plus vaste que la mer
Aline Botter
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Un immense MERCI pour tous les messages laissés...
Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
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Face à nos peurs, à nos angoisses, à ces troublantes eaux que l'on traverse, on se sent comme piégé sans sortie de secours. Et puis un jour, dans notre tête, les rêves de beau reprennent doucement place et on entrevoit des rayons de soleil ténus encore mais promesses d'un espoir de survie et de bonheur retrouvé. Très beau texte Marie.
RépondreSupprimerje glanerai des joies secrètes
RépondreSupprimerdans les jardins de ma mémoire
mes larmes saignent sans promesses
sur des notes de marjolaine
Tout cela est bien dit
Joli poème
Demande à tes rêves de t'envoler plus haut,
RépondreSupprimercar il fait toujours beau au-dessus des nuages ...
Je sens bien des angoisses te harceler. Les tempêtes, les ouragans dans la tête sont les plus violents.
RépondreSupprimerIls nous font fermer les yeux, pleurer en silence.
Alors la lumière se tait. Alors les silences sombres nous encombrent.
Pourtant, la lumière est là, juste de l'autre coté de l'ombre.
En rouvrant les yeux, nous retrouvons la lumière et les couleurs qu'elle libère avec fantaisie.
Les nuits, ces nuits éternelles dont tu parles, où tout est plus noir que la nuit.
RépondreSupprimerPuis le matin, qui secoue un peu les craintes, qui peu à peu laisse entrevoir l'espoir.
De fines nuances pastelles, mais oui! Et plus fortes si possible.
Je t'embrasse affectueusement.