Illustrations avec des photos personnelles
Mongolie , vallée de l'Ortan et d'Urtym
Sur les chemins de Compostelle
Sénégal, les pélicans : la réserve de Djoud
Pérou, Urubamba sculpture de Seminario
Créations d'images avec photoshop et Adobe Firefly
Quelques poèmes sur le même thème
Magnifique! Les photos et les mots. Belle journée Marie.
RépondreSupprimerOn aimerais tant de choses en te lisant, tout ce que l'amour propose et que les grands n'écoutent plus.
RépondreSupprimerL'espoir est niché dans la poésie, et tu sais trouver les mots qui indiquent le chemin.
Tes mots sont d'espoir, d'amour et de tristesse , d'une profonde tristesse d'être témoin de tant de misère, de morts, d'injustice, d'atrocités mais écrire, composer, créer est un hymne à l'espérance et tu le fais avec tant de douceur Marie.
RépondreSupprimerTon texte nous emporte loin, loin du quotidien dans un espace où le temps s'efface, vers une lumière d'espoir !
RépondreSupprimerQue c'est beau ma douce Marie, tes écrits me transportent à chaque fois autant que tes belles illustrations, je reviendrai te lire
RépondreSupprimerBelle journée, gros bisous
Floralie
Tu as su mettre en mots et en poésie, notre sentiment d'impuissance et la tristesse qui en résulte...comment l'humanité peut-elle en arriver là parfois aussi je perds espoir...Merci pour ce partage et ces jolies photos. Bises
RépondreSupprimerLes oiseaux migrateurs ne connaissent pas les frontières, juste l'instinct.. l'homme qui se dit plus intelligent que le vivant nous montre chaque jour combien il est prédateur de son monde.. les guerres fratricides ne cessent pas, ton poème si juste est un cri de désespérance et je suis triste avec toi
RépondreSupprimerQuel joli poème dont les mots inspirés viennent du cœur ! Ce monde est imparfait mais gardons en vie l'espoir pour qu'il ne s'éteigne jamais. Belle journée !
RépondreSupprimerUn bien joli poème. Certes nous vivons des moments difficiles mais il nous faut garder espoir en un monde meilleur. L'homme en aura-t-il la volonté ?
RépondreSupprimerNe baissons pas les bras de l'espérance Marie, il nous faut semer et semer encore des graines de beauté et de joie, il nous faut rester dans la confiance... Merci pour ce très beau poème, bises automnales. brigitte
RépondreSupprimerTu as trouvé des espaces sans frontières que l'oiseau survole, libre comme l'air. Une main s'interpose et apaise les conflits, tandis que s'élève une mélodie au refrain d'espérance.
RépondreSupprimerMerci pour ce poème humaniste et généreux, Marie, ainsi que pour ces belles photos
Tous tes mots sont des poèmes des trésors éparpillés
RépondreSupprimerQui m'effleurent par leur beauté
Et font dent-ailes à tous tes tons légers.
Toutes tes photos écoutent et disent le temps
La rive-hier le vent
Le chant de la lune l'oiseau pelican
Elles disent aussi le chemin le chagrin
L'inconnu et demain
Qui espère un brin et repeint.
Merci Marie...
je n'ai ni visa ni passeport...je ne me déplace qu'en voisine et reviens d'Albanie tentée par les livres d’Ismaël Kadaré !
RépondreSupprimerAnne
RépondreSupprimerTrès beau poème, mais gardons l'Espérance. Amitiés.
Entre espoirs et désillusions, avenir serin ou incertain, la vie hésite, et parfois bascule.
RépondreSupprimerComme c'est bien écrit, tu nous enchantes.
Et pour le fleuve, frontière, Sylvie Vartan, me revient en tête, sa Maritza.
Amic@lement. > Yann
Très joli poème et belles photos d'illustration !
RépondreSupprimerÊtre une rivière pour aller où bon me semble...
Un avenir meilleur est une utopie dans ce monde de violence, mais j'ai envie de garder l'espoir...
Bonne fin de journée
Mais si tu étais une rivière, tu pourrais certes franchir les frontières sans passeport, mais, mais mais, tu ne pourrais nous écrire les jolis poèmes que nous lisons ici, alors le monde serait plus triste et moins lumineux, non ?
RépondreSupprimernostalgie des voyages dans ce monde d'atrocités. L'homme s'autodétruit. La culture, l'éducation n'ont servi à rien.
RépondreSupprimerJe lis ta rivière de mots et tes paysages voyages où pourtant tout pourrait être meilleur seulement si les humains le voulaient. Hélas, c'est de pire en pire, rien n'arrête les atrocités de ce monde, pas même les larmes des enfants et leurs membres amputés. Mais où va donc notre monde ?
RépondreSupprimer