Moissonneuse dans une nuit de Juillet
Dans le flou des moissons
Quand la moisson se termine:
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mardi 1 juillet 2025
10 commentaires:
Un immense MERCI pour tous les messages laissés...
Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
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Dans la chaleur d'une nuit d'été, la moissonneuse, comme un cœur battant, avance sans relâche fauchant les blés mûrs qui donneront le pain de demain. Belles photos inspirantes.
RépondreSupprimerbelles photos de cette moisonneuse en travail de nuit
RépondreSupprimerla lumière blanche locale met l accent sur cette mécanique et crée des clairs obscurs
récolter du blé est une tâche noble : nourrir l humanité et ces machines permettent de vite faucher , quand le blé est sec il faut récolter avant les pluies
Belles photos...heureusement pas de moissonneuse la nuit chez moi, les vendangeuses suffiront en septembre !! J'ai constaté en effet en allant voir mon jeune fils dans le Cher que les moissons avaient commencé. Figure-toi que ce n'est pas le cas partout en Provence, je pense que selon les variétés de céréales, les grains sont plus ou moins mûrs...En Haute-Loire en tous les cas, rien n'est prêt mais ils en sont encore aux fenaisons et ont déjà fait une première fauche précoce pour favoriser la repousse...si la pluie veut bien arriver ! Bises
RépondreSupprimerSuperbe cette série de moisson à l'heure bleue
RépondreSupprimerBonne journée
Belles photos de cette moissonneuse qui travaille de nuit... Au loin, je les vois ces lumières...
RépondreSupprimerBises Marie Minoza
Bon mercredi (encore trop chaud)
Dur travail que celui des agriculteurs qui sont soumis aux aléas de la météo, de la chaleur, de la pénurie (ou parfois trop ) de pluie mais aussi de l'incompréhension de tous même si l'évolution du matériel et de la mécanique rend parfois le travail moins pénible.
RépondreSupprimerUn travail bien dur, oui ; mais si beau symboliquement.
RépondreSupprimerLes machines ont remplacé les bras des hommes mais l'odeur des moissons a un parfum de toujours.
RépondreSupprimerElles n'ont pas encore débuté par chez moi. La chaleur de ces derniers jours a accéléré la maturation des blés. Elles ne sauraient tarder.
Un bel hommage à Juillet Marie.
Dans la sourde lumière indigo, scintillent les mâchoires d'acier venues mordre les rêves étendus en gerbes de blé, sur la terre déjà endormie. Le silence, engourdi par les humeurs brûlantes du jour enfin assoupi, inonde la terre de son chant fatigué.
RépondreSupprimerIl y a, dans le travail des hommes, une magie que la nuit sublime.
Étonnante ambiance avec des odeurs de pain brûlé et le monstre qui avance couchant les épis, broyant le blé avec juste au bout de ses dents l'image d'un pain doré
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