Bonjour Marie, J'ai été captivée par cette mélodie émanant de tes mots d'autant qu'elle se conjugue d'un autre concerto, celui des couleurs alors en lisant ton poème je suis complètement émerveillée. Je t'embraase
Bonjour Marie, Ton écrit est si beau, si doux et si juste. De plus les coloris des roches sont des merveilles. Bravo à toi, tu es la sensibilité même !
Des mots qui savent particulièrement rendre ses couleurs à la lumière et aux pierres. Merci pour ce bel hommage à ce site époustouflant que j'aimerai tant découvrir un jour...C'est si beau ce que tu écris. Merci
une grande beauté, des ocres fabuleux et cette émotion que tu as si bien traduite marie, merci
Il n'y a pas de majuscules dans mes réponses ou commentaires, mon chat néoù, la patte prise dans une portière de voiture m’a profondément griffé sur la main gauche, il s'en est sorti sans accrocs pour moi, soins pendant une semaine et antibiotiques et puis finalement un phlegmon s'est formé qui vient d'être opéré, avant-hier, et de nouveau je dois subir un suivi, des soins infirmiers et des antibiotiques
Des émotions chromatiques que tu nous dis bien poétiquement ... Comment rester insensible devant cette page de l'histoire de l 'humanité... Une sensibilité qui remplit ton esprit et ton corps et qui nous donne de biens beaux moments photographiques et poétiques à partager
Marie, je comprends que la beauté de toutes ces couleurs entremêlées aient suscité en toi de fortes émotions ; toutes ces roches de couleurs que Pétra t'a offertes en spectacle ont été modelées au fil du temps par le souffle du vent divin.
Un rêve jailli comme un visage de pierre «Tout à coup, je l'ai vu. Le Trésor, la légèreté, la tendresse. La nouveauté. Une idée. Mieux qu'une idée, un rêve. Couleur de nuage. Comme cela lui est apparu, en cette matinée du 22 août 1812, vers huit heures, au débouché du sîq, après tant de fatigues et d'atermoiements, immense et brillant comme l'aurore entre les parois de la montagne. Alors, comme moi, il titubait sur place, enveloppé dans les tourbillons du vent de poussière, il déposait l'outre par terre et il s'asseyait pour mieux voir. Le guide avait déposé la chèvre ligotée sur le sol, et lui aussi regardait la demeure des génies. Puis il s'est retourné vers Burckhardt, il lui a demandé : Que fais-tu ? Le Voyageur, courbé en avant, serrant dans ses mains son journal caché sous sa robe : Je ne peux plus marcher, je suis fatigué, restons un instant ici. Et son regard brillant démentait ses paroles. Il ne sentait aucune fatigue. Son cœur battit plus fort, ses yeux brûlaient, parce qu'il avait découvert le Trésor. Un rêve [...] jailli comme un visage de pierre. » (J.-M. G. Le Clézio in Pétra. Le Dit des pierres, 1993)
Tes mots à l'ocre de ru, à l'ocre presque sanguine disent beaucoup, éclatent de la beauté du lieu, et racontent le temps, l'émoi, le tant ! merci à toi pour ce partage fabuleux.
Très jolies ces couleurs ocres de Pétra qui nous emportent loin… et au plus près de certains espaces qu'on ne parcourt pas nécessairement, mais qui, ici, nous donnent à rêver… J'ai aussi bien aimé ce vers de vous, sur votre poème (Pensées au souffle du temps) : "Et mes doux souvenirs fondent dans l'univers" sur une très belle image.
Un immense MERCI pour tous les messages laissés... Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
Un magnifique poème pour chanter la beauté éternelle de ce site mystérieux. Merci Marie, on s'y croirait. Bises alpines.
RépondreSupprimerOn dirait bien que les pierres ont une âme ...
RépondreSupprimertrès belle poésie colorée.
RépondreSupprimerBonne soirée
Bonjour Marie,
RépondreSupprimerJ'ai été captivée par cette mélodie émanant de tes mots d'autant qu'elle se conjugue d'un autre concerto, celui des couleurs alors en lisant ton poème je suis complètement émerveillée.
Je t'embraase
Certains sites titillent l'âme du poète et au milieu de la désolation un oasis de douceurs voit le jour
RépondreSupprimerAmicalement
Claude
Plein de poésie dans tes mots aimables,
RépondreSupprimerla pierre et le sable,
les teintes s'y rattachant,
la respiration du vent....
Merci à toi.
Doux mercredi Marie.
ta poésie met des mots sur Pétra, une apparition et tant d'émotion
RépondreSupprimerOn sent au travers de tes mots combien cet endroit t'emeut.. Je partage cette émotion. Ton texte magnifie ce lieu sublime.
RépondreSupprimerSous tes mots Petra se transforme en palette de peintre et j'imagine tout a fait les ocres de Cézanne devant ces beautés.
RépondreSupprimerBonjour Marie,
RépondreSupprimerTon écrit est si beau, si doux et si juste. De plus les coloris des roches sont des merveilles.
Bravo à toi, tu es la sensibilité même !
oh quelle beauté vos mots pour ce lieu si beau
RépondreSupprimerQue ton texte est beau, il me berce dans ses couleurs, comme un tableau de maître.
RépondreSupprimerLe vent de sable, respiration du temps, réchauffe le cœur.
Une explosion de couleurs. J'imagine Petra au coucher de soleil !
RépondreSupprimerJ'aime l'émotion qui se dégage de tes mots en décrivant "Petra", ses pierres, ses couleurs! C'est de toute beauté! Bises.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ce passé qui surgit dans les fissures des falaises blessées...si bien évoqué!
RépondreSupprimerDes mots qui savent particulièrement rendre ses couleurs à la lumière et aux pierres. Merci pour ce bel hommage à ce site époustouflant que j'aimerai tant découvrir un jour...C'est si beau ce que tu écris. Merci
RépondreSupprimerj'ai vu tes belles photos sur FB qui témoignent de ce beau voyage.
RépondreSupprimerC'est un très beau voyage... et une magnifique page.
RépondreSupprimerMerci pour ce partage, Marie.
Bisous et douce journée.
Et voilà comme, sous tes doigts, la vie reprend à Petra. Magique association, Marie. Excellent week-end!!
RépondreSupprimerMagie des mots et des couleurs. Un moment de grâce.
RépondreSupprimerAmitiés
" Le décor s'est figé dans un souffle de vent … "
RépondreSupprimerDans un murmure d'éternité , tes mots résonnent de beauté .
Merci Marie .
Douce soirée
une grande beauté, des ocres fabuleux et cette émotion que tu as si bien traduite marie, merci
RépondreSupprimerIl n'y a pas de majuscules dans mes réponses ou commentaires, mon chat néoù, la patte prise dans une portière de voiture m’a profondément griffé sur la main gauche, il s'en est sorti sans accrocs
pour moi, soins pendant une semaine et antibiotiques et puis finalement un phlegmon s'est formé qui vient d'être opéré, avant-hier, et de nouveau je dois subir un suivi, des soins infirmiers et des antibiotiques
Pas de problèmes...Merci de ton passage et bonne guérison...
SupprimerC'est magnifique Marie, un poème tout en nuances, aussi bien dans les mots que par l'image, j'aime beaucoup la mise en page.
RépondreSupprimer" La légende des siècles " selon Victor Hugo,
RépondreSupprimerVan Gogh pour le tourment d'une palette tango
Synthèse évocatrice des œuvres de Marie
Des émotions chromatiques que tu nous dis bien poétiquement ...
RépondreSupprimerComment rester insensible devant cette page de l'histoire de l 'humanité...
Une sensibilité qui remplit ton esprit et ton corps et qui nous donne de biens beaux moments photographiques et poétiques à partager
Sublime poème où tu fais chanter en parfaite harmonie les couleurs de Pétra.
RépondreSupprimerMerci Marie, l'illustration est aussi magnifique !
Marie, je comprends que la beauté de toutes ces couleurs entremêlées aient suscité en toi de fortes émotions ; toutes ces roches de couleurs que Pétra t'a offertes en spectacle ont été modelées au fil du temps par le souffle du vent divin.
RépondreSupprimerBonsoir chère Marie,
RépondreSupprimerMagnifique poésie qui nous emmène en voyage dans cette ville creusée dans la roche et emplie d'histoire !
J'ai adoré te lire !
Merci à vous tous d'être venus regarder cette palette de couleurs créée par notre plus grand peintre universel: "Dame Nature"
RépondreSupprimerUn rêve jailli comme un visage de pierre
RépondreSupprimer«Tout à coup, je l'ai vu. Le Trésor, la légèreté, la tendresse. La nouveauté. Une idée. Mieux qu'une idée, un rêve. Couleur de nuage. Comme cela lui est apparu, en cette matinée du 22 août 1812, vers huit heures, au débouché du sîq, après tant de fatigues et d'atermoiements, immense et brillant comme l'aurore entre les parois de la montagne. Alors, comme moi, il titubait sur place, enveloppé dans les tourbillons du vent de poussière, il déposait l'outre par terre et il s'asseyait pour mieux voir. Le guide avait déposé la chèvre ligotée sur le sol, et lui aussi regardait la demeure des génies. Puis il s'est retourné vers Burckhardt, il lui a demandé : Que fais-tu ? Le Voyageur, courbé en avant, serrant dans ses mains son journal caché sous sa robe : Je ne peux plus marcher, je suis fatigué, restons un instant ici. Et son regard brillant démentait ses paroles. Il ne sentait aucune fatigue. Son cœur battit plus fort, ses yeux brûlaient, parce qu'il avait découvert le Trésor. Un rêve [...] jailli comme un visage de pierre. » (J.-M. G. Le Clézio in Pétra. Le Dit des pierres, 1993)
Tes mots à l'ocre de ru, à l'ocre presque sanguine disent beaucoup, éclatent de la beauté du lieu, et racontent le temps, l'émoi, le tant !
RépondreSupprimermerci à toi pour ce partage fabuleux.
Quelle belle symphonie de couleurs à travers les mots de Marie, les mille teintes subtiles de la cité Petra
RépondreSupprimerTrès jolies ces couleurs ocres de Pétra qui nous emportent loin… et au plus près de certains espaces qu'on ne parcourt pas nécessairement, mais qui, ici, nous donnent à rêver… J'ai aussi bien aimé ce vers de vous, sur votre poème (Pensées au souffle du temps) : "Et mes doux souvenirs fondent dans l'univers" sur une très belle image.
RépondreSupprimerSuperbe, chère Marie, cette mémoire de la pierre!
RépondreSupprimerMerci pour ces "émotions chromatiques" si bien mises
en image et mots!