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La Jordanie, tous les liens :
Madaba,
Iraq Al amir
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Un immense MERCI pour tous les messages laissés...
Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
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Bonjour Marie,
RépondreSupprimer"Et se naufragent les nuits
Vers des aubes improbables.."
Tout un poème majestueux à l'image de ces 2 vers que je trouve exceptionnels !
Visiblement sous le soleil ta muse prend de la force, alors qu'ici on est tous raplapla !
Toutes mes amitiés
Un superbe parcours initiatique vers l'essentiel , au cœur de soi .
RépondreSupprimerC'est si beau Marie .
Merci .
Des mots qui résonnent justes Marie
RépondreSupprimerMerci
De bien jolis mots sur les images du Wadi Rum. Sans aucun doute un des pays que j'ai préférés dans mes voyages. Les rouges du Wadi sont une merveille, merci Marie de me ramener quelques années en arrière
RépondreSupprimerQue ce soit des regs ou des ergs le désert fascine toujours autant
RépondreSupprimerAmicalement
Claude
Très, très beau poème. Le désert est inspirant et nous plonge au cœur de l'infini !
RépondreSupprimerUn voyage un peu mystique de la nuit à l'aube.. Toujours sous le charme de tes mots..
RépondreSupprimerJ'aime énormément.
RépondreSupprimerTu as le don pour les mots et les images... c'est magique !
Bisous et douce journée.
L'infini... toujours essayer d'aller à sa rencontre!!
RépondreSupprimer(comme il est difficile de laisser un commentaire, des pages de pub google font que j'ai failli tout fermer!)
Bel été Bisous Mahina
Je suis désolée pour la Pub...
SupprimerJe n'y suis pour rien...
Moi, je ne la vois pas...
Merci Marie pour ce magnifique poème qui évoque si bien le désert...C'est si beau et tu montres bien à quel point on se sent tout petit face à un tel espace où l'horizon se perd dans l'infini et dans le sable ou la pierre. Merci pour ce partage. J'aime beaucoup. bises
RépondreSupprimermerveilleux poème dans le silence du désert
RépondreSupprimerMe voici transportée dans l'ocre et le vent du désert, ses mystères et c'est magnifique
RépondreSupprimerMerci Marie
l n'y a que toi, Marie, avec ton talent et ton regard de poète qui puisse mettre de la vie dans un désert : Les ocres frissonnent, les carillons du vent, les mirages tourbillonnent.
RépondreSupprimerDe la nuit au lever du jour, tu nous fais assister à la magie de l'instant.
Magnifique, et quelle illustration !
Bonsoir chère Marie,
RépondreSupprimerEt dire qu'au fil des siècles, le désert risque de s'installer en France si les vagues de chaleur s'amplifient...
Magnifique description de ce paysage qui vibre sous ta très belle plume !
Pour rejoindre Sybilla, j'aurais envie de dire que ce texte est presque d'actualité, avec la canicule qui sévit en ce moment. Les images qui ornent ta description du désert sont magnifiques, Marie, tu en fais disparaître les aspects menaçants pour n'en garder que la beauté.
RépondreSupprimerComme Françoise, je suis émerveillée par ton talent pour mettre la beauté
RépondreSupprimeret la vie du désert en évidence, dans le mystère du sable et des pierres.
Merci Marie de ce poème lumineux que j’ai lu avec beaucoup d’émotion.
Chère Marie, ta poésie fait vivre l'image, et celle-ci fait vivre le désert. Chaque mot choisi donne le ton, la couleur et la vie. Je ne sais comment tu fais pour trouver les termes justes et parlants. Bravo, ce poème est de toute beauté, l'osmose même entre les mots et l'image.
RépondreSupprimerUn poème magnifique et bouleversant chère Marie Chacun de tes mots touchent au plus profond de nous même pour partager la beauté et le danger de ce beau désert.
RépondreSupprimerMerci pour tant de talent partagé, tant par ta merveilleuse plume et ton talent d'illustratrice.
Magnifiques photos de notre voyage commun en Jordanie. Et tes poèmes Marie reflètent une grande sensibilité qui résonne en moi aussi. Merci d’avoir partagé ces moments arrêtés dans le temps !
RépondreSupprimerBisous à vous deux et à bientôt
Anne Marie Lozowski
Le désert m'a toujours fascinée mais jamais vraiment attirée.
RépondreSupprimerSuperbe poème sur "le vide qui devient source", lieu où l'on se "trouve" avec le "chant des ocres" et les "brumes de safran".... Si beau, si beau !Jacqueline Bad...
RépondreSupprimerMirages du désert, non de vos poèmes, qui sont bien de musique silencieuse au rythme de vos vers et illustrations si heureusement conjugués,
RépondreSupprimerC'est du : Marie de la Branche en toute simplicité,
Le désert m'a toujours fascinée!...
RépondreSupprimeret je vous remercie tous d'avoir lu ces quelques mots ...
et quand on y est vraiment c'est plus que ce que l'on pouvait imaginer!
Les mots ne sont que des petits cailloux lancés dans le vide
« Parler du désert, ne serait-ce pas, d’abord, se taire, comme lui, et lui rendre hommage non de nos vains bavardages mais de notre silence ?"
Théodore Monod
"Ce qui embellit le désert c'est qu'il cache un puits quelque part..."
St Exupéry
Le désert m'a toujours fascinée!...
RépondreSupprimeret je vous remercie d'avoir lu ces quelques mots ...
et quand on y est vraiment c'est plus que ce que l'on pouvait imaginer!
Les mots ne sont que des petits cailloux lancés dans le vide
« Parler du désert, ne serait-ce pas, d’abord, se taire, comme lui, et lui rendre hommage non de nos vains bavardages mais de notre silence ?"
Théodore Monod
"Ce qui embellit le désert c'est qu'il cache un puits quelque part..."
St Saint-Exupéry
Je crois qu'il y a plus qu'un puits, je crois qu'il y a plus que du silence:...il y a l'infini, l'incommensurable, il y a un mystère infini, un essentiel que l'on effleure sans vraiment l'apprivoiser...
Qui peut penser que le désert est vide de tout ?
RépondreSupprimerSous tes mots MARIE il vibre si fort !
Que de belles images