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L’absence se contemple
Dans le frisson de l’air,
Chant lointain de la terre
Un immense MERCI pour tous les messages laissés...
Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
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Bonsoir Marie,
RépondreSupprimerJe viens de chez Jackie et je découvre avec beaucoup de bonheur ton blog qui me plait beaucoup , tant par les photos que les poésies .
Ce poème est très beau et décrit merveilleusement bien toutes les phases de l'absence .
Bonne soirée Andrée
Merci Andrée de ta visite...Merci à Jackie de t'avoir montré le chemin...
RépondreSupprimerCe poème, un délire de mots posés sur les maux de l'absence...
Comme j'aime ce poème Marie!
RépondreSupprimerMerci et très bonne nuit
bonjour Mary
RépondreSupprimerjai découvert ton lien chez Jackie et déjà le titre de ton blog me parle car c'est ce que je ressens et comment je vois aussi mon blog
a bientôt peut etre
fransua
Ce poème est superbe ..merci à toi Marie
RépondreSupprimerbonne soirée
Merci à vous tous pour tous vos messages!
RépondreSupprimerAmitiés
Marie
"L´absence est le plus grand des maux."
RépondreSupprimerJean de La fontaine
"L´absence unit et désunit, elle rapproche aussi bien qu´elle divise, elle relâche certains liens très solides, elle les tend et les éprouve au point de les briser."
Eugène Fromentin
"Le début de l'absence est comme la fin de la vie."
Félix Lope De vega
Bonjour Marie
RépondreSupprimerJe reviens sur ton poème avec cette citation de Jacques Salomé: "Quand il y a le silence des mots, se révèle trop souvent la violence des maux"
Bien à toi
Baiser papillon
laurence
Merci Laurence
RépondreSupprimerBisous