Au confluent de la Vienne et du Clain
Cenon sur Vienne le 2 février
J'ai bien conscience que les inondations sont catastrophiques
mais là où j'ai pris les photos, il n'y a ni maisons, ni cultures, ni animaux
sauf des lapins et des oiseaux...
Juste un grand parc et des arbres...
Comme un tableau vivant et enchanteur !
RépondreSupprimerBelle fin de semaine, Marie.
Quand musardent les ruisseaux tes mots les suivent au fil de l'eau. C'est un superbe Tanka poétique et les photos sont magnifiques.
RépondreSupprimerSi seulement il n'y avait que les arbres avec les pieds dans l'eau et non les villes et villages..
Les arbres naviguent ....en ce moment c'est certain!
RépondreSupprimerBelle image et des mots qui débordent en poésie
Magnifique Tanka et images on voit bien les ruisseaux sortis de leur lit chère Marie et chez moi cet été on se plaindra de sécheresse...merci du partage belle journée j'ai adoré
RépondreSupprimerBonsoir Marie,
RépondreSupprimerQuelles sublimes compositions autant d'images que de mots. Décidément tu sais allier tous les talents !
Bises et bon week-end mon amie
j'adore cette image des arbres qui naviguent !!!!
RépondreSupprimermuchos besos
tilk
La musique est belle, on dirait du Michel Pépé. Pour les images qui sont belles aussi, c'est triste car cette beauté fait perdre beaucoup et parfois tout à certains....
RépondreSupprimerDes mots choisis judicieusement pour refléter en nous l'image de ces arbres qui naviguent sur l'eau, accompagnée d'une très belle vidéo.
RépondreSupprimerMagique tanka
Bon et doux weekend Marie
Bisous
timilo
Des inondations désastreuses de ces jours-ci, tu en as fait des photos
RépondreSupprimermagnifiques accompagnées de ce superbe tanka.
Merci, ma chère Marie !
Trop d'eau,
RépondreSupprimertrop de larmes
de sa beauté provocante
la nature reprend ses droits
en s'abreuvant
de nos déshérences
Concerto en eau
RépondreSupprimerqui annonce le printemps
bien vilainement
Les ruisseaux ne font pas que musarder, ile sont carrément partis à la conquête de la plaine ;
RépondreSupprimerà les voir ainsi envahir le paysage, on se demande s'il ne faudrait pas mieux retourner,
comme nos ancêtres les Gaulois, vivre dans des cités lacustres !
une belle vidéo !!!!
RépondreSupprimermuchos besos
tilk
Bonjour Marie
RépondreSupprimerMerci pour ta video , j'aime l'idée que ces arbres naviguent sur nos ruisseaux
Bises
Bonsoir chère Marie,
RépondreSupprimerMagnifique poésie que j'ai aimé lire !
Marie, je préfère te lire et écouter la musique sur tes photos magnifiques que de vivre cette réalité.
RépondreSupprimerBonjour Marie, j'aime l'idée que les arbres naviguent sur l'eau. Merci pour tes mots et la vidéo.
RépondreSupprimerQue d'eau mais la nature reprendra ses droits.
Bon dimanche ♥
une vidéo si bien accompagnée en musique mais ici, la Charente ne musarde plus, elle déborde mais on le sait, c'est de notre faute.. La nature a des droits qu'on lui vole , elle les reprend un jour ou l'autre..j'aime beaucoup ce verbe musarder..
RépondreSupprimerOui en effet quand l'inondation nous donne à voir des eaux si calmes, on a cette impression que les arbres s'amusent à prendre un bain de pied, et à musarder (quels jolis mots pour la décrire !) mais quand les eaux sont en furie et ravagent tout sur leur passage, ce n'est pas la même chose, hélas pour les gens qui vivent dans ces zones. Bises et une belle journée
RépondreSupprimerMerci Ma chère Marie pour ce beau billet en musique.
RépondreSupprimerJ'ai vu toutes ces inondations à la télé et je compatis tellement avec ces gens .....
Bon début de semaine. Bises
Leurs pieds dans l'eau, j'admire leur résistance et cette faculté de nous faire croire qu'ils souffrent moins que les hommes.Hélas, nous payons maintenant les dérives humaines.
RépondreSupprimerla nature peut être terrible mais elle a tellement de beauté en elle
RépondreSupprimerqu'on ne peut que lui pardonner
muchos besos
tilk
Un bain de racines , les eaux retrouveront le lit des rivières , troncs et brindilles vogueront vers l'océan et le printemps refleurira les arbres.
RépondreSupprimerLa nature a ses raisons .
Merci Marie