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Viens, ce soir, on danse !
Viens, on va faire semblant,
Semblant d’avoir vingt ans…
Viens, regarde…nos mains s’enlacent
Et s’emmêlent nos pas…
Viens, on va faire semblant,
Semblant d’avoir vingt ans…
Viens, regarde…nos mains s’enlacent
Et s’emmêlent nos pas…
C'est l'histoire de trop de vies..
Les promesses des 20 ans se diluent au fil du temps
Ne reste que des poussières de notes
Des rythmes étouffés
Au fond des mémoires
J'en ai tant rencontrés de ces danses avortées
De ces disques rayés
Qui ne crachaient que des souvenirs...
De ces attentes vaines
De ces espoirs déçus
De ces soirs
Où les danses ne sont que fantasmes
Pour essayer de croire encore
Essayer de vivre
Avant de s'effondrer
De se noyer
Dans trop de nuits...
Les promesses des 20 ans se diluent au fil du temps
Ne reste que des poussières de notes
Des rythmes étouffés
Au fond des mémoires
J'en ai tant rencontrés de ces danses avortées
De ces disques rayés
Qui ne crachaient que des souvenirs...
De ces attentes vaines
De ces espoirs déçus
De ces soirs
Où les danses ne sont que fantasmes
Pour essayer de croire encore
Essayer de vivre
Avant de s'effondrer
De se noyer
Dans trop de nuits...
Un tourbillon de l'oubli désenchanté... comme un rêve déçu
RépondreSupprimerMerci pour cette danse triste de ton poème et magnifique création
Il est des danses qui ne se danseront jamais...fantasme ou nostalgie d'hier...
RépondreSupprimerIl est des danses qui s'enlisent dans la routine ou la nostalgie....
Des danses de vie qui se meurent bien avant que ne cesse la mélodie...
marie
Le bal devient désert
RépondreSupprimerEt l'orchestre du cœur
Continue malgré tout de se donner le rythme
De se donner le pas
Le cœur chante en solo
des envies des regrets
Et court la nostalgie
De rêves abîmés
Il est des chansons douces
qui reviennent au cœur
Qui tentent de revivre
Comme la chanson de Bourvil
l'espérance dans les rues désertes
les murs à reconstruire
La lumière à renaître
Ici là ou ailleurs
Arrêter de souffrir pour vivre
De noyer les jours
Dans le noir aujourd'hui
Restent des mains ouvertes
Courant sur le piano
Pour que la vie se tienne
Et tienne la mélodie
Croire
En la belle espérance
En l’aurore possible
En la douce envie de vivre
Merci...
RépondreSupprimerC'est un poème qui rejoindra ma page aux trésors...
"Dans la plaie de la Terre,
juste aux confins des eaux
là où cesse tout battement
de la pierre,
semer des mots gonflés
aux musiques d'oiseaux,
enrobés de miels roux
parfumés à l'orange,
pour voir monter un arbre
porteur de fruits nouveaux.
Et dans le tendre d'un matin
pouvoir sourire
à ce partage...
Paul Bergèse
Bonsoir Marie
RépondreSupprimerInstinctivement je n'ai pu lire ce poème sans le chanter une chanson triste mais tellement belle
Malheureusement la danse de l'amour se fait trop souvent seule