Merci

Un immense MERCI pour tous les messages laissés sous mes poèmes...

Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours..
.

jeudi 15 septembre 2011

Poème: La complainte du goéland






Copyrightdepot.com 00048672-2


Il s’est perdu le goéland
Dans des tempêtes d’océan.
Il s’est cogné le bel oiseau
Aux voiles blessées des bateaux.


D'autres textes entre terre et mer
clic sur le lien ci-dessous

24 commentaires:

  1. Cette magnifique complainte de cet oiseau blessé me donne les larmes aux yeux il emporte dans son vol le chagrin et les peines qui alourdissent ses ailes à ce manifique vaisseau qui rase les flots et emporte les sanglots de cette terre.
    bisous Marie

    RépondreSupprimer
  2. Il est des goélands
    Qui savent affronter les tempêtes
    Mais qui au bout de leur vie
    Ne savent que donner
    leur tendresse
    Et l'impuissance de leurs mots...

    Merci Line

    RépondreSupprimer
  3. à la N Ouvelle Orleans nous vons vu une mouette qui avait aussi due être blessée dans des circonstances similaires elle n'avait plus qu'une patte
    mon marie l'a prise en photo
    elle était touchante mais quand meme vive...
    je t'embrasse Marie
    bonne journée
    joelle

    RépondreSupprimer
  4. Merci Ozy

    Pour moi, cette plainte du goéland c'est la plainte de l'homme...L'homme ordinaire confronté à la maladie, à l'échec...

    amitiés

    Marie

    RépondreSupprimer
  5. J'aime particulièrement les goélands... ce poème est des plus émouvant... La photo sublime.
    Merci Marie
    Bises

    RépondreSupprimer
  6. Merci Jackie

    "Tout le ressenti de la douleur" et toute l'impuissance devant cette douleur!...
    Quand elle est physique, on se sent parfois démuni devant l'incompréhension et l'inertie de la médecine...
    Quand elle est morale...c'est tout simplement qu'on est à moitié fou pas capable de gérer la vie...
    Alors comme les goélands, l'homme tourne en rond avec ses souffrances!...

    RépondreSupprimer
  7. Bonsoir Marie
    Tout ce qu'on souhaite dans ces cas là c'est que le vent tourne et nous portent vers le bon chemin ... enfin,je veux dire portent le goéland

    RépondreSupprimer
  8. Le vent est bien souvent trop capricieux pour nous pousser sur des sentiers de paix et de repos!

    RépondreSupprimer
  9. Coucou
    Je viens de retrouver ce poeme , m'autorises tu à le publier sur mon blog
    Ce sera pour la Mi -Octobre
    Je mettrais unlien vers chez toi bien sur
    Gros bisous

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Oui, si tu veux...C'est un vieux poème...le temps passe vite!

      Supprimer
  10. Ce n'est pas Jonathan Livingstone que tu nous présentes ici, mais un goéland ordinaire, qui a subi toutes les épreuves de la vie....

    Un très bel écrit, une plume élégante qui glisse comme l'oiseau sur le vent, avec de la nostalgie et de la tristesse..... celle du temps d'avant?

    RépondreSupprimer
  11. Le goéland, symbole des amours perdus, des espoirs déçus, des souvenirs douloureux ! Triste mais si bien dit....

    RépondreSupprimer
  12. Ce goéland aux ailes blessées ne volera plus au-dessus de l'océan qui déjà le noie.

    C'est une très belle complainte qui donc ne peut qu'être triste.

    RépondreSupprimer
  13. Il est des goélands
    Qui savent affronter les tempêtes
    Mais qui au bout de leur vie
    Ne savent que donner
    leur souffrance
    Et l'impuissance de leurs mots
    Ou leur regard trop vide...

    RépondreSupprimer
  14. Le poème est beau Marie, mais je n'arrive pas à m'apitoyer sur le goëland, qui, parce que je les côtoie sans arrêt devant chez moi à Sète, me paraît appartenir à une espèce bien armée pour résister à tout et qui a su remarquablement utiliser sa proximité avec les humains.
    Il est vrai que le tien était parti loin et est blessé.
    Si l'on peut philosopher sur ton poème c'est de dire que même les gens forts, les puissants, peuvent se retrouver en situation de détresse et là, ils sont encore plus fragiles que les autres parce qu'ils ne sont pas habitués à la souffrance.
    Ton goëland, il me fait penser à Khadafi ou aux autres tyrans déchus!
    Je vais vous faire réagir, je sais! Mais tant mieux

    RépondreSupprimer
  15. Une bien jolie complainte que celle du goéland
    qui, à l'instar de l'être humain affronte toutes
    les tempêtes de la vie.

    RépondreSupprimer
  16. On montre notre force mais qu'en est-il vraiment de ce que l'on ressent? Un goéland peut souffrir aussi comme l'être humain qui cache sa souffrance derrière un sourire. Une fin triste.... parce que lorsqu'il s'agit de la mort, c'est toujours triste pour un humain tout comme pour un animal. Un poème qui touche! Bisous Marie.

    RépondreSupprimer
  17. la plainte du goéland , la plainte de l'homme ..deux destins , mais au bout une seule issue fatale ...espérons que tous nous irons rejoindre les quais tranquille de la paix et de l'amour..plus de flots en colère , de vents hurlants , d'écume amère. Une belle poésie malgré sa tristesse .Marie , c'est toujours un plaisir de te lire .

    RépondreSupprimer
  18. Entre les mots et les plaintes c'est l'histoire d'une vie, l'histoire de tant de vies qui parfois sont jalonnées d'embûches, de luttes et de souffrances ... pour au bout du souffle, au bout de la résistance se laisser emporter par les flôts. ton poème est triste, il est plein de ses souffrances quel que soit l'être vivant qui les as vécues

    Lisette ... je ne comprends pas que l'on puisse plaindre ces hommes qui n'ont vécus que par leur cruauté, qui se disent messager d'un Dieu quel qu'il soit, et qui en son nom tuent, brisent des hommes et des pays, et ne vivent que des suplices qu'ils font subir aux autres

    Je ne plains pas ces hommes là, je n'irai pas jusqu'à leur infliger les mêmes souffrances et leur rendre coup pour coup, parce que ce serait sombrer dans la même folie de la violence, mais à les punir, à leur faire rendre la justice à ceux qu'ils ont opprimés.

    RépondreSupprimer
  19. On montre notre force mais qu'en est-il vraiment de ce que l'on ressent? Un goéland peut souffrir aussi comme l'être humain qui cache sa souffrance derrière un sourire. Une fin triste.... parce que lorsqu'il s'agit de la mort, c'est toujours triste pour un humain tout comme pour un animal. Un poème qui touche! Bisous Marie.

    RépondreSupprimer
  20. a plainte du goéland , la plainte de l'homme ..deux destins , mais au bout une seule issue fatale ...espérons que tous nous irons rejoindre les quais tranquille de la paix et de l'amour..plus de flots en colère , de vents hurlants , d'écume amère. Une belle poésie malgré sa tristesse .Marie , c'est toujours un plaisir de te lire .

    RépondreSupprimer
  21. ntre les mots et les plaintes c'est l'histoire d'une vie, l'histoire de tant de vies qui parfois sont jalonnées d'embûches, de luttes et de souffrances ... pour au bout du souffle, au bout de la résistance se laisser emporter par les flôts. ton poème est triste, il est plein de ses souffrances quel que soit l'être vivant qui les as vécues

    Lisette ... je ne comprends pas que l'on puisse plaindre ces hommes qui n'ont vécus que par leur cruauté, qui se disent messager d'un Dieu quel qu'il soit, et qui en son nom tuent, brisent des hommes et des pays, et ne vivent que des suplices qu'ils font subir aux autres

    Je ne plains pas ces hommes là, je n'irai pas jusqu'à leur infliger les mêmes souffrances et leur rendre coup pour coup, parce que ce serait sombrer dans la même folie de la violence, mais à les punir, à leur faire rendre la justice à ceux qu'ils ont opprimés.

    RépondreSupprimer
  22. Toute la souffrance de l'homme dans le cri d'un goéland ! Et tes mots nous ont emmenés dans cette triste réalité...

    Très beau Marie... Tout le ressenti de la douleur !

    Je t'embrasse

    RépondreSupprimer
  23. Oui, Chandy..."Tout le ressenti de la douleur" et toute l'impuissance devant cette douleur!...
    Quand elle est physique, on se sent parfois démuni devant l'incompréhension et l'inertie de la médecine...
    Quand elle est morale...c'est tout simplement qu'on est à moitié fou pas capable de gérer la vie...
    Alors comme les goélands, l'homme tourne en rond avec ses souffrances!...

    Bisous Chandy

    RépondreSupprimer

Un immense MERCI pour tous les messages laissés...
Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours...
)

Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire

Balises pour rédiger un commentaire