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Il s’est perdu le goéland
Dans des tempêtes d’océan.
Il s’est cogné le bel oiseau
Aux voiles blessées des bateaux.
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Cette magnifique complainte de cet oiseau blessé me donne les larmes aux yeux il emporte dans son vol le chagrin et les peines qui alourdissent ses ailes à ce manifique vaisseau qui rase les flots et emporte les sanglots de cette terre.
RépondreSupprimerbisous Marie
Il est des goélands
RépondreSupprimerQui savent affronter les tempêtes
Mais qui au bout de leur vie
Ne savent que donner
leur tendresse
Et l'impuissance de leurs mots...
Merci Line
à la N Ouvelle Orleans nous vons vu une mouette qui avait aussi due être blessée dans des circonstances similaires elle n'avait plus qu'une patte
RépondreSupprimermon marie l'a prise en photo
elle était touchante mais quand meme vive...
je t'embrasse Marie
bonne journée
joelle
Merci Ozy
RépondreSupprimerPour moi, cette plainte du goéland c'est la plainte de l'homme...L'homme ordinaire confronté à la maladie, à l'échec...
amitiés
Marie
J'aime particulièrement les goélands... ce poème est des plus émouvant... La photo sublime.
RépondreSupprimerMerci Marie
Bises
Merci Jackie
RépondreSupprimer"Tout le ressenti de la douleur" et toute l'impuissance devant cette douleur!...
Quand elle est physique, on se sent parfois démuni devant l'incompréhension et l'inertie de la médecine...
Quand elle est morale...c'est tout simplement qu'on est à moitié fou pas capable de gérer la vie...
Alors comme les goélands, l'homme tourne en rond avec ses souffrances!...
Bonsoir Marie
RépondreSupprimerTout ce qu'on souhaite dans ces cas là c'est que le vent tourne et nous portent vers le bon chemin ... enfin,je veux dire portent le goéland
Le vent est bien souvent trop capricieux pour nous pousser sur des sentiers de paix et de repos!
RépondreSupprimerCoucou
RépondreSupprimerJe viens de retrouver ce poeme , m'autorises tu à le publier sur mon blog
Ce sera pour la Mi -Octobre
Je mettrais unlien vers chez toi bien sur
Gros bisous
Oui, si tu veux...C'est un vieux poème...le temps passe vite!
SupprimerCe n'est pas Jonathan Livingstone que tu nous présentes ici, mais un goéland ordinaire, qui a subi toutes les épreuves de la vie....
RépondreSupprimerUn très bel écrit, une plume élégante qui glisse comme l'oiseau sur le vent, avec de la nostalgie et de la tristesse..... celle du temps d'avant?
Le goéland, symbole des amours perdus, des espoirs déçus, des souvenirs douloureux ! Triste mais si bien dit....
RépondreSupprimerCe goéland aux ailes blessées ne volera plus au-dessus de l'océan qui déjà le noie.
RépondreSupprimerC'est une très belle complainte qui donc ne peut qu'être triste.
Il est des goélands
RépondreSupprimerQui savent affronter les tempêtes
Mais qui au bout de leur vie
Ne savent que donner
leur souffrance
Et l'impuissance de leurs mots
Ou leur regard trop vide...
Le poème est beau Marie, mais je n'arrive pas à m'apitoyer sur le goëland, qui, parce que je les côtoie sans arrêt devant chez moi à Sète, me paraît appartenir à une espèce bien armée pour résister à tout et qui a su remarquablement utiliser sa proximité avec les humains.
RépondreSupprimerIl est vrai que le tien était parti loin et est blessé.
Si l'on peut philosopher sur ton poème c'est de dire que même les gens forts, les puissants, peuvent se retrouver en situation de détresse et là, ils sont encore plus fragiles que les autres parce qu'ils ne sont pas habitués à la souffrance.
Ton goëland, il me fait penser à Khadafi ou aux autres tyrans déchus!
Je vais vous faire réagir, je sais! Mais tant mieux
Une bien jolie complainte que celle du goéland
RépondreSupprimerqui, à l'instar de l'être humain affronte toutes
les tempêtes de la vie.
On montre notre force mais qu'en est-il vraiment de ce que l'on ressent? Un goéland peut souffrir aussi comme l'être humain qui cache sa souffrance derrière un sourire. Une fin triste.... parce que lorsqu'il s'agit de la mort, c'est toujours triste pour un humain tout comme pour un animal. Un poème qui touche! Bisous Marie.
RépondreSupprimerla plainte du goéland , la plainte de l'homme ..deux destins , mais au bout une seule issue fatale ...espérons que tous nous irons rejoindre les quais tranquille de la paix et de l'amour..plus de flots en colère , de vents hurlants , d'écume amère. Une belle poésie malgré sa tristesse .Marie , c'est toujours un plaisir de te lire .
RépondreSupprimerEntre les mots et les plaintes c'est l'histoire d'une vie, l'histoire de tant de vies qui parfois sont jalonnées d'embûches, de luttes et de souffrances ... pour au bout du souffle, au bout de la résistance se laisser emporter par les flôts. ton poème est triste, il est plein de ses souffrances quel que soit l'être vivant qui les as vécues
RépondreSupprimerLisette ... je ne comprends pas que l'on puisse plaindre ces hommes qui n'ont vécus que par leur cruauté, qui se disent messager d'un Dieu quel qu'il soit, et qui en son nom tuent, brisent des hommes et des pays, et ne vivent que des suplices qu'ils font subir aux autres
Je ne plains pas ces hommes là, je n'irai pas jusqu'à leur infliger les mêmes souffrances et leur rendre coup pour coup, parce que ce serait sombrer dans la même folie de la violence, mais à les punir, à leur faire rendre la justice à ceux qu'ils ont opprimés.
On montre notre force mais qu'en est-il vraiment de ce que l'on ressent? Un goéland peut souffrir aussi comme l'être humain qui cache sa souffrance derrière un sourire. Une fin triste.... parce que lorsqu'il s'agit de la mort, c'est toujours triste pour un humain tout comme pour un animal. Un poème qui touche! Bisous Marie.
RépondreSupprimera plainte du goéland , la plainte de l'homme ..deux destins , mais au bout une seule issue fatale ...espérons que tous nous irons rejoindre les quais tranquille de la paix et de l'amour..plus de flots en colère , de vents hurlants , d'écume amère. Une belle poésie malgré sa tristesse .Marie , c'est toujours un plaisir de te lire .
RépondreSupprimerntre les mots et les plaintes c'est l'histoire d'une vie, l'histoire de tant de vies qui parfois sont jalonnées d'embûches, de luttes et de souffrances ... pour au bout du souffle, au bout de la résistance se laisser emporter par les flôts. ton poème est triste, il est plein de ses souffrances quel que soit l'être vivant qui les as vécues
RépondreSupprimerLisette ... je ne comprends pas que l'on puisse plaindre ces hommes qui n'ont vécus que par leur cruauté, qui se disent messager d'un Dieu quel qu'il soit, et qui en son nom tuent, brisent des hommes et des pays, et ne vivent que des suplices qu'ils font subir aux autres
Je ne plains pas ces hommes là, je n'irai pas jusqu'à leur infliger les mêmes souffrances et leur rendre coup pour coup, parce que ce serait sombrer dans la même folie de la violence, mais à les punir, à leur faire rendre la justice à ceux qu'ils ont opprimés.
Toute la souffrance de l'homme dans le cri d'un goéland ! Et tes mots nous ont emmenés dans cette triste réalité...
RépondreSupprimerTrès beau Marie... Tout le ressenti de la douleur !
Je t'embrasse
Oui, Chandy..."Tout le ressenti de la douleur" et toute l'impuissance devant cette douleur!...
RépondreSupprimerQuand elle est physique, on se sent parfois démuni devant l'incompréhension et l'inertie de la médecine...
Quand elle est morale...c'est tout simplement qu'on est à moitié fou pas capable de gérer la vie...
Alors comme les goélands, l'homme tourne en rond avec ses souffrances!...
Bisous Chandy