D'après une création de Juliette
sur une proposition de "La branche des oiseaux"
Copyrightdepot.com 00048672-2
Un immense MERCI pour tous les messages laissés...
Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
Balises pour rédiger un commentaire
Bien jolie poésie légère comme des flocons de neige malgré la nostalgie du temps qui passe... inexorablement...
RépondreSupprimerAh si nous pouvions refaire le chemin à l'envers !!
Ton tableau est magnifique Marie… ton poème…Splendide… MERCI
RépondreSupprimerC'est une de mes amies, Juliette qui a fait le tableau....
RépondreSupprimerun poème qui coule doucement comme une larme sur la joue
RépondreSupprimermagnifique illustration de ce tableau ou l'inverse...
Je me suis régalée de tes mots.
RépondreSupprimermerci
arielle
Mais les larmes ne coulent pas pour rien , elles soulagent en partie notre coeur...
RépondreSupprimerJ'aimerais faire quelques pas en arrière pour voir pour si tout est bien comme je m'en souviens...
L'été reviendra dans quelques mois...
Joli poème..
Bon et doux weekend MARIE
Bisous
timilo
Il ne faut pas pleurer petite Marie, c'est bientôt le printemps :)
RépondreSupprimerEn Provence, les amandiers sont déjà en fleurs...
Très belle fin de semaine !
un superbe dessin qui illustre de superbes mots Marie
RépondreSupprimerles larmes coulent car le coeur appelle l'été où tout parait plus simple...
nostalgie et amour
mes amitiés Marie
tres belle journée
joelle (ozy
J'aime beaucoup le tableau. Ne soyons pas tristes : les jonquilles pointent leur nez déjà. .des violettes égaient ma pelouse..Le printemps est en marche
RépondreSupprimerC'est très beau et nostalgique à souhait.
RépondreSupprimerOn t'a dit que c'était l'hiver, chère Marie, et tes mots pleurent. Ils disent toute l'infortune humaine, les larmes ébréchées, les amours perdues, les chansons d'autrefois et les rires d'enfants. Tu voudrais revivre le bonheur, et peut-être, sans doute, quand refleuriront les narcisses et les jonquilles te reviendront au coeur des sourires retrouvés, des rayons de miel, afin que tu puisses écrire "On m'a dit que c'était le printemps"...
RépondreSupprimerJe te le souhaite du fond du coeur,
que dire de plus que je n'ai déjà dit, tes mots sont magiques, tristesse infinie teintée de mélancolie, et pourtant si sereine ... comme si plus rien ne pouvait changer, comme si l'hiver était là parce que c'est ainsi
RépondreSupprimerJe me surprends à trouver que la tristesse est vraiment très belle
RépondreSupprimersous ta plume, ma chère Marie! Je retourne lire ton poème.
Chère Marie, les amies l'ont dit et ne pourrait que redire que ton poème est triste mais TELLEMENT BEAU !
RépondreSupprimerRevenir en arrière est impossible. Il nous faut continuer à avancer et ce sera bientôt le printemps qui, j'en suis sûre, t'inspira d'autres poèmes tout aussi beaux.
il se dégage de ce magnifique poème une bien douce nostalgie,
RépondreSupprimermerci, Marie, de tes mots perlés d'autrefois et de "flocons de rêves"
La nostalgie n'est plus ce qu'elle était disait Simone SIgnoret , mais sous ta plume elle est vraiment belle !
RépondreSupprimerTu as superbement tiré parti du côté triste du tableau !
Je suis revenue te lire ici MARIE ....
RépondreSupprimerMerci encore .....c'est une relecture qui me touche encore plus que la première fois ....
Une nostalgie que je fais mienne et un espoir que je garde sous les neiges de l'hiver
Une infinie tristesse pour ce poème sublime
RépondreSupprimerLa nostalgie est toujours présente quand on pense au passé.
J'ai été très émue en lisant ces beaux vers chère Marie
Merci pour tant de beauté