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d'après une image proposée par le site de poésiesLa branche des oiseaux
Au bord des nuits,
S'ouvre une porte...
Le cœur enlace
L'oiseau qui passe
Et qui l'emporte
Dans ses oublis...
Un immense MERCI pour tous les messages laissés...
Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
Si une fenêtre indésirable s'ouvre fermez-là en cliquant sur la x en haut à droite...ce n'est pas un virus mais blogger qui la met et je ne peux rien faire
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De la sagesse dans les vers: j'ai apprecié ma lecture
RépondreSupprimerAmities!
Ridouan
Mille mercis pour ton passage...
RépondreSupprimerCela m'a fait extrêmement plaisir...
Marie
Superbe inspiration, qui fait ressortir de façon cruelle mon manque, je me console en lisant vos poèmes, j'essaie de positiver
RépondreSupprimerPhil
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Superbe chère Marie !
Au bord des seuils tu nous emportes en douceur.
Domie
Au bord des seuils, il y a toujours cet espoir qui t'habite ma chère MARIE et ton cheminement est très beau !
RépondreSupprimerAu fil des strophes de ton poème, c'est le désespoir, dans lequel il serait si facile
RépondreSupprimerde sombrer, qui se mue en un espoir qui sollicite notre participation active!
Je crois que ce sont juste les mots qu'il me faut ce soir, chère Marie!
Merci de me les offrir en un si beau poème!