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Photos personnelles
En hommage à tous ceux et celles
qui écrivent le dernier chapitre de leur vie
dans les maisons de retraite!
dans les maisons de retraite!
Tout au fond du
couloir, là, où meurent les vieux,
Un fauteuil égaré,
un livre de prière…
Hélène est en
voyage au pays des aïeux…
Sur des pages
froissées scintillent une lumière !
Ton poème me touche profondément, moi qui ai consacré 27 ans de carrière à les accompagner , ces anciens qui souvent n'intéressent plus grand monde et qui pourtant sont si riches de petits riens qui nous enseignent l'essentiel.Merci pour ta sensible approche. Joëlle
RépondreSupprimerChère Marie
RépondreSupprimerque de larmes en lisant !....
Jamais je n'aurais pu faire cela... l'abandonner.
Merci infiniment de votre compréhension et de votre patience envers moi
Mon coeur avait besoin de calme pour retrouver un peu de sénérité.
Je vais revenir bientôt.
Bisou+ un sourire de Line
Quelques lignes qui font mouche, je suis touchée comme d'autres le seront, hélas, c'est souvent ainsi que finit la vie des personnes âgée que nous aimons
RépondreSupprimerBonne soirée Marie
Magnifique poème !!!!
RépondreSupprimerTes mots me touchent profondément... J'ai perdu ma maman, il y a 6 mois...elle aurait eu 85 ans,en juin...
Bonne soirée, Marie... A bientôt...
Monik
http://lespoemesdemonik.over-blog.com
Tu es passée dans la bibliothèque à un moment où j'étais débordée.
RépondreSupprimerJe suis navrée d'avoir laissé ton message sans réponse alors... Six mois déjà !
Mais je suis heureuse de te retrouver aujourd'hui. Ce poème est splendide et je suis émue, très, par ce que je lis chez toi.
Merci pour cette découverte.
Passe une douce journée.
Avec beaucoup de retard je viens vous dire merci:
RépondreSupprimerJoëlle
Line
Marine
Monik
Quichottine
Amitiés
marie
Il est très beau et tellement vrai!!
RépondreSupprimerJ'adore ette manière de faire partager les émotions Marie!
Bisous
La vieillesse, ce naufrage.. qui nous attend tous. Nous y sommes confrontés avec des parents, des amis. Un très beau texte.
RépondreSupprimerTon merveilleux poème rejoint entièrement ma pensée, chère Marie. Tu décris parfaitement le déclin lorsque le temps est venu. Et ce que tu dis de la maison de repos où sont tes parent corrobore ce que j'ai érit ici ou là, sans avoir pris connaissance encore de ton texte. Il faut dire et répéter que les maisons de rpos ne sont pas nécessairement des "mouroirs" et que si c'es là que le destin frappe le dernier coup, il sera entouré et reçu das la dignité et lempathie. Je viens de répondre à Flamme et, d'une aute façon, je rejoins à la fois le déclin qui s'annonce et l'aspect positif des homes.
RépondreSupprimerMerci de compléter "LaCentenaire" à ta belle façon poétique, chère Marie, mais aussi pleine d'humanité.
Je t'embrasse,
Lorraine
Les Vieux chantait Jacques Brel
RépondreSupprimerVous lui faites écho dans la fatalité
Ecrit en 2012 le constat était sombre
Sept ans de plus auprès de vous,
C'était une façon de vous y préparer,
Vous l'avez entourée d'une tendresse filiale
Le voyage qui mène au-delà de l'horizon
Ne permettra jamais qu'on revienne sur ses pas
Heureux qui laisse ici un souvenir sans tâche
Combien pourront encore espérer quelques pleurs ?
Un hommage superbe à Hélène, ta maman, dans ce poème bouleversant
RépondreSupprimerqui m’a beaucoup émue. Merci Marie de ce partage, en espérant que de
l’endroit où ta maman se trouve, elle veille sur toi.
J’ai aussi beaucoup aimé ta magnifique mise en page.
C'est terriblement émouvant, merci pour ce si bel hommage à ta maman, Marie. Une vieille dame qui a eu beaucoup d'amour à donner. Et qui, maintenant, est partie de l'autre côté, rejoindre ses parents et aïeux.
RépondreSupprimerProfondément émue par ce texte très révélateur ,
RépondreSupprimerUne larme a coulé sur une page laissée vierge...
Que d'émotion à lire ce superbe hommage à Hélène, ta chère Maman. De même, le regard que tu portes sur la vieillesse est tellement vrai. J'en ai les larmes aux yeux.
RépondreSupprimerbisous1 bisous1 à toi chère Marie
Des larmes aux yeux à lire ce magnifique hommage !
RépondreSupprimerDe l'amour plein les lignes ..De l'amour redonné ...de l 'amour qui vole vers les étoiles .
Bonjour chère Marie,
RépondreSupprimerSuperbe hommage émouvant pour ta maman !
Très émue en te lisant !
Si grande émotion en lisant ce très beau poème en hommage à ta chère Maman Elle est partie vers la Lumière le coeur chargé de tout l'amour que tu lui as porté.
RépondreSupprimerMerci Marie de ce partage accompagné d'une illustration de très grande beauté.
Que dire, c'est un coeur plein d'amour qui parle dans tes mots, une merveilleuse maman qui sera toujours auprès de toi.
RépondreSupprimerMerci Marie de partager sur ma page ton si beau poème qui résonne avec tendresse et beaucoup d'émotion. Qu'elle est douloureuse cette fin de vie pour tous ceux qui partent vers ces maisons de retraite et pour nous qui ne pouvons les accompagner jusqu'au bout !
RépondreSupprimerQuelques sourires, quelques regards heureux ,si vite noyés dans le quotidien sans surprises et la visite s'achève sur quelques larmes et l'attente de la prochaine fois.
Il nous reste à combler de joies et de sourires chaque moment passé auprès d'eux !
Ton poème chère Marie, est tellement bouleversant... que je ne sais qu'en dire ! Surtout ayant connu, ces maisons de retraite où beaucoup sont abandonnés à eux mêmes, que j'en ai encore l'estomac serré lorsque j'y pense....
RépondreSupprimerMais, ton poème est si beau....terrible aussi !
Alors je fais silence... car également, cela ne peut que nous renvoyer à notre propre image de fin de vie !
RépondreSupprimerLa triste réalité de la vieillesse dans la solitude
t'a inspiré un poème superbe d'émotion,
C'est superbe Marie, digne d'une grande poétesse ...tes vers riches de sentiments...tes métaphores rendant une atmosphère intime et pleine d'émotion !
RépondreSupprimerTon illustration vient se marier à ton poème d'une merveilleuse façon !
J'adore tout ce que tu nous offres !
il est vraiment beau ce poème,
RépondreSupprimermerci pour ce partage qui malgré sa tristesse
est tout empli d'amour et de nostalgie
chère Marie, toi aussi tu as merveilleusement et si tristement dépeint ces odieux abandons ... abandonner ses vieux comme on abandonne le chien au bord de la route, ça me fait le même effet ... que faire sinon s'insurger contre ces mouroirs ?
RépondreSupprimerCe portrait d'Hélène est si bouleversant, chère Marie,
RépondreSupprimerque les mots me manquent pour commenter.
Merci pour cet émouvant partage.
C’est avec autant d’émotion que la première fois que j’ai relu
RépondreSupprimerton superbe poème en hommage à nos anciens en fin de vie,
à travers ce bouleversant portrait d'Hélène…
Hélène c'est l'inconnue au bout du couloir
RépondreSupprimerc'est la larme qui coule sur un visage ridé
c'est la marche hésitante
c'est le mot bizarre qui jaillit
Hélène
c'est la mémoire perdue
c'est la souffrance au jour le jour
c'est la fin d'une vie
Hélène c'est aussi ma maman
moi dans quelques années
Hélène c'est un sourire
un espoir
un cri d'amour peut-être
qu'on n'a pas entendu!
Chère Marie, tu as vu et tu as très bien compris qu'en donnant un peu d'amour et de tendresse à ces personnes qui occupent "la dernière pièce", on peut voir naître une "étincelle d'or" ou un "trait de rire" sur leur visage.
RépondreSupprimerC'est une véritable chance que tes Parents soient dans une maison de retraite humaine.
A du personnel soignant, non motivé, j'ai souvent dit : "Vous savez, ces personnes dont vous avez à vous occuper aujourd'hui, demain c'est nous, c'est vous !"
Ces maisons ne sont pas suffisamment inspectées et lorsqu'elles le sont, la direction est prévenue à l'avance.
Ton poème est superbe, juste, émouvant et comme toujours bien illustré.
Maman me dit souvent que les gros problèmes viennent d'un manque d'effectifs...
RépondreSupprimerElle le ressent et en discute beaucoup avec les infirmières, vu qu'elle ne peut rien faire sans elles...
Il faut apprendre à attendre et c'est ce qui est le plus difficile...
Mais elles sont toutes très attentives et passent régulièrement la voir quand elle est seule dans sa chambre, juste pour un petit coucou ça va bien ...c'est très réconfortant....
Je ne connaissais pas ce poème chère Marie et il me bouleverse car il est si vrai et tu as su avec des mots doux et si beaux nous faire un portrait digne d'Hélène cette femme qui est nous peut-être dans quelques années. J'ose espérer que les choses en ces établissements changeront et que seules des maisons comme celle où sont tes parents soient de plus en plus nombreuses.
RépondreSupprimerCombien d'Hélène y a t-il encore en ce monde où manque tant l'amour des autres ?
Merci pour elles chère Marie. Ce poème si tu le permets je vais le garder dans ma boîte à trésors !
Merci Liselotte
RépondreSupprimerTu peux le mettre dans ta boîte à trésors
sur la photo, c'est le livre de "communion solennelle" de ma maman...
La fin de la vie est toujours difficile
car on croit que l'on vivra toujours...
Ma grand-mère me disait quand j'étais petite, que la mort faisait partie de la vie et qu'il fallait y penser comme le départ pour un voyage surprise...
Avec le temps, je trouve qu'elle avait beaucoup de sagesse mais la fin de sa vie a été horrible...
Trop de peine et de mauvais souvenirs m'empêchent de commenter...
RépondreSupprimerTon poème est grand, chère Marie !
Pleins de bises