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D'après une image proposé par: "La branche des oiseaux"
Toutes les horloges fuient
Les broussailles du passé.
Leurs aiguilles en folie
Traînent leurs ombres blessées.
Les broussailles du passé.
Leurs aiguilles en folie
Traînent leurs ombres blessées.
Que les métaphores sont belles
RépondreSupprimerje rêve et je suis émerveillé à chaque fois que je me pose sur tes mots
Bonne nuit Marie
Amitiés
Tony Yves
des rimes plus belles les unes que les autres où flottent la mélancolie
RépondreSupprimerbisous Marie
j'ai fait le troubadour en comptant les pieds mais les alexandrins sont passés de mode ? personne ne le remarque
merci de ton gentil commentaire
Seuls mes écrits du coeur sont vrais
pour mes écrits et mes poèmes je laisse courir mon imagninaire
Merci Tony et Line
RépondreSupprimerLine...tes alexandrins apportent de la musique à tes vers...
Continu de jouer au troubadour!
Tony...
Parfois les mots viennent d'un pays inconnu dont on ne soupçonne même pas l'existence!
Chère Marie, nous ne pouvons malheureusement pas arrêter le temps, il continue à fuir en laissant la souffrance à ceux qui l'endurent.
RépondreSupprimerJe suis revenue sur ce poème douloureux qui parle sûrement à beaucoup.
Ta&nt d'horloges rythment notre vie
RépondreSupprimerQui vont s'enfuyant tour à tour
reviennent ou s'emmêlent
"Le temps, madame, le temps court
et nous derrière sans retour"
Il manque je crois quelques horloges roses
Même toutes petites
mais roses
Quelle belle idée que cette fuite des horloges : ce n'est pas le temps qui passe ; d'ailleurs le temps n'existe pas ! Il n'y a que les "broussailles du Passé " ! Superbe !
RépondreSupprimerIl y a tant de mots qui résonnent en moi, quand tu écris, ma chère MARIE, que là encore, je ressens tout ce temps du futur qui ne sera pas !
RépondreSupprimer"Se reflètent les secrets,
d'un futur enseveli ..."
Si l'on pouvait arrêter les aiguilles
RépondreSupprimerAu cadran qui marque les heures de la vie.....
chantait déjà Berthe Sylva.
Mais! Le ferait-on? Quel moment choisirions nous?
N'aurions nous pas un sentiment d'insatisfaction en nous disant: Qu'est-ce que j'ai manqué?
Alors laissons les horloges (le temps surtout) s'enfuir et passons, pour laisser la place.
Ton poème est beau Marie, mais aussi me donne un peu de nostalgie: Je n'aurai pas le temps, pas le temps!
Alors! Pendant que les horloges s'occupent encore de moi
Les horloges du temps s'enfuient à tire-d'aile... et nous les suivons cahin-caha
RépondreSupprimersur les chemins malaisés de la vie, mais qui sont aussi la voie de l’espérance…
Magnifique poème, Marie
Les horloges s'enfuient, alors laissons-les à leur rythme, chacun fera ce qu'il peut du temps qui lui reste...
RépondreSupprimerUn très beau poème ma chère Marie et des images que j'ai beaucoup appréciées.
Est-ce donc l'automne qui vous souffle de si jolis poèmes ! Excellente idée que tes mots sur cette image, des horloges qui fuient, qui fuient le temps ... beau travail bravo !
RépondreSupprimerArrêter le temps ! ah ! si c'était possible parfois....
RépondreSupprimerça doit pour ça que je porte pas de montre ....