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mercredi 12 octobre 2011

Poème: Et les horloges s'enfuient!


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D'après une image proposé par: "La branche des oiseaux" 

Toutes les horloges fuient
Les broussailles du passé.
Leurs aiguilles en folie
Traînent leurs ombres blessées.



12 commentaires:

  1. Que les métaphores sont belles
    je rêve et je suis émerveillé à chaque fois que je me pose sur tes mots
    Bonne nuit Marie
    Amitiés
    Tony Yves

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  2. des rimes plus belles les unes que les autres où flottent la mélancolie
    bisous Marie


    j'ai fait le troubadour en comptant les pieds mais les alexandrins sont passés de mode ? personne ne le remarque

    merci de ton gentil commentaire
    Seuls mes écrits du coeur sont vrais
    pour mes écrits et mes poèmes je laisse courir mon imagninaire

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  3. Merci Tony et Line

    Line...tes alexandrins apportent de la musique à tes vers...

    Continu de jouer au troubadour!

    Tony...
    Parfois les mots viennent d'un pays inconnu dont on ne soupçonne même pas l'existence!

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  4. Chère Marie, nous ne pouvons malheureusement pas arrêter le temps, il continue à fuir en laissant la souffrance à ceux qui l'endurent.

    Je suis revenue sur ce poème douloureux qui parle sûrement à beaucoup.

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  5. Ta&nt d'horloges rythment notre vie
    Qui vont s'enfuyant tour à tour
    reviennent ou s'emmêlent

    "Le temps, madame, le temps court
    et nous derrière sans retour"

    Il manque je crois quelques horloges roses
    Même toutes petites
    mais roses

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  6. Quelle belle idée que cette fuite des horloges : ce n'est pas le temps qui passe ; d'ailleurs le temps n'existe pas ! Il n'y a que les "broussailles du Passé " ! Superbe !

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  7. Il y a tant de mots qui résonnent en moi, quand tu écris, ma chère MARIE, que là encore, je ressens tout ce temps du futur qui ne sera pas !
    "Se reflètent les secrets,
    d'un futur enseveli ..."

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  8. Si l'on pouvait arrêter les aiguilles
    Au cadran qui marque les heures de la vie.....
    chantait déjà Berthe Sylva.

    Mais! Le ferait-on? Quel moment choisirions nous?
    N'aurions nous pas un sentiment d'insatisfaction en nous disant: Qu'est-ce que j'ai manqué?

    Alors laissons les horloges (le temps surtout) s'enfuir et passons, pour laisser la place.

    Ton poème est beau Marie, mais aussi me donne un peu de nostalgie: Je n'aurai pas le temps, pas le temps!

    Alors! Pendant que les horloges s'occupent encore de moi

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  9. Les horloges du temps s'enfuient à tire-d'aile... et nous les suivons cahin-caha
    sur les chemins malaisés de la vie, mais qui sont aussi la voie de l’espérance…
    Magnifique poème, Marie

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  10. Les horloges s'enfuient, alors laissons-les à leur rythme, chacun fera ce qu'il peut du temps qui lui reste...

    Un très beau poème ma chère Marie et des images que j'ai beaucoup appréciées.

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  11. Est-ce donc l'automne qui vous souffle de si jolis poèmes ! Excellente idée que tes mots sur cette image, des horloges qui fuient, qui fuient le temps ... beau travail bravo !

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  12. Arrêter le temps ! ah ! si c'était possible parfois....
    ça doit pour ça que je porte pas de montre ....

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