Rien n'est simple!
Il n'y a pas de normes!
Quand la mort entre dans nos vies,
Il n'y a pas de normes!
Quand la mort entre dans nos vies,
les mots que l'on prononce sont ceux de l'espérance...
Pourtant dans le noir,
Surgit l'enfer du doute,
La nuit de l'absence,
Les vertiges du néant!
Entre ombre et lumière
Surgit un méli-mélo de mots
Peinturluré aux nuances des émotions!
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RépondreSupprimerles mots sont faibles
Le cœur est immense
laisser jaillir la flamme
de la tendresse
pour un au revoir
à son père !
(très amicalement avec toi)
J'envie ceux qui ont la foi qui leur permet l'espérance pour l'au-delà. Restent les souvenirs de ceux qu'on a aimés au creux de nos cœurs chagrin.
RépondreSupprimertant de questions en suspens ! instinct de survie, peur de l'inconnu... qu'y a t-il après ?
RépondreSupprimerbonne soirée
arielle
la Vie éternelle peut aussi être celle qui siège dans le coeur et qui se transmet au fil du temps...les mots sont faibles et le questionnement reste avec le doute...mais sans le doute la foi existerait-elle ?
RépondreSupprimerje suis de tout coeur près de toi Marie
Nous savons répondre de manière certaine à toutes sortes de problèmes concernant les choses matérielles, mais quant aux questions essentielles, c'est le grand vide... Heureusement, la poésie est là, qui d'une larme fait un joyau.
RépondreSupprimerMes amitiés
Alain
Je l'espère tant, Marie, car j'ai perdus 3 êtres chers à quelques mois d'intervalle et c'est très dur... Je pense terriblement à toi.Ils nous attendent dans leur cercle de lumière, j'en suis sûre. Gros baisers d'amitié.
RépondreSupprimerJe ne sais pas mais je l'espère de tout coeur...
RépondreSupprimerPas facile d'y croire cependant.
Merci pour ce très beau poème, Marie.
Passe une douce journée.
Un poème pour vous remercier
RépondreSupprimer“À ceux que j’aime, et qui m’aiment”
– Poème amérindien
Quand je ne serai plus là, lâchez-moi !
Laissez-moi partir
Car j’ai tellement de choses à faire et à voir !
Ne pleurez pas en pensant à moi !
Soyez reconnaissants pour les belles années
Pendant lesquelles je vous ai donné mon amour !
Vous ne pouvez que deviner
Le bonheur que vous m’avez apporté !
Je vous remercie pour l’amour que chacun m’a démontré !
Maintenant, il est temps pour moi de voyager seul.
Pendant un court moment vous pouvez avoir de la peine.
La confiance vous apportera réconfort et consolation.
Nous ne serons séparés que pour quelques temps !
Laissez les souvenirs apaiser votre douleur !
Je ne suis pas loin et et la vie continue !
Si vous en avez besoin, appelez-moi et je viendrai !
Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je sera là,
Et si vous écoutez votre cœur, vous sentirez clairement
La douceur de l’amour que j’apporterai !
Quand il sera temps pour vous de partir,
Je serai là pour vous accueillir,
Absent de mon corps, présent avec Dieu !
N’allez pas sur ma tombe pour pleurer !
Je ne suis pas là, je ne dors pas !
Je suis les mille vents qui soufflent,
Je suis le scintillement des cristaux de neige,
Je suis la lumière qui traverse les champs de blé,
Je suis la douce pluie d’automne,
Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin,
Je suis l’étoile qui brille dans la nuit !
N’allez pas sur ma tombe pour pleurer
Je ne suis pas là, je ne suis pas mort.