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Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours.. Trop d'inconnus passent avec indifférence piochant ici et là images et mots!....
jeudi 24 juin 2010
7 commentaires:
Un immense MERCI pour tous les messages laissés...
Ce sont autant de traces d'amitié qui scintillent au fil des jours... )
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Très belle observation de la naissance d'un vase à partir d'un peu de boue. Tu as raison, ce travail manuel du potier est une vrai poésie dans laquelle il met tout son coeur et son âme. Quelle satisfaction lorsque l'objet a pris la forme et les couleurs désirées, trône sur meuble et fait l'admiration des connaisseurs.
RépondreSupprimerJ'aime voir travailler ces artistes tout comme j'ai beaucoup aimé te lire.
Voilà la grande magie de la poésie. Etre capable de sublimer tout en beauté et obliger à un autre regard sur toute chose, de la plus magnifique à la plus insignifiante, car il n'y a rien d'insignifiant pour le poète qui a les yeux, les oreilles, l'odorat et même la peau aux aguets pour détecter toute chose.
RépondreSupprimerCe métier que tu décris est éminemment sensuel, car en contact direct avec la matière brute. Il requiert une profonde connaissance de la nature intime des choses, et pas seulement des connaissance acquises à l'Université et plaquées sur la vie professionnelle. Il en est de même de tous ces métiers artisanaux, trop négligés et trop décriés par la majorité, au soit disant principe que ce ne sont pas des métriers intellectuels, mais la raison en est beaucoup plus profonde. Il faut réellement une vocation et un sens particulier pour les faire bien. Quiconque ne peut pas devenir boucher ou ébéniste, qui ne sait pas comprendre les secrets des fibres de la viande ou du bois.
Magnifique et vraiment nécessaire, ce poème. J'applaudis à deux mains (et à deux pieds)
Bel hommage à cet art de la poterie qui permet à l'homme de devenir presque un dieu créant la vie et la beauté à partir de la terre informe !
RépondreSupprimerJ'ai lu un jour chez un souffleur de verre : "je suis souffleur de rêves !"
RépondreSupprimerC'est ainsi ton poème, l'art à travers les mots de faire vivre la matière, c'est de toute beauté Marie, tu écris divinement bien cette naissance à la vie, à l'éternité de ce qui est créé.
Une magnifique vision sensuelle et poétique sur la métamorphose de la boue en poterie. Bien vue et si bien présentée. Bravo!
RépondreSupprimerUn très beau métier que celui là qui mêle l'art et la magie ....les pièces mises au four laissent flotter le suspens et ouvrir la porte du four et découvrir les trésors que le feu et le hasard ont offert au talent du potier .....j'en ai de beaux souvenirs , car à L I M où j'ai travaillé , dans ma jeunesse , il y avait un atelier poterie ....j'adore la sensualité de la terre et la caresse des mains sur la pièce au tout , et j'étais fascinée par le résultat des cuissons ....
RépondreSupprimerC'est trop bien décrit, on s'y croirait
RépondreSupprimeren train de le regarder travailler et fabriquer son vase.
En Italie, à l'île de Murano je crois, j'ai admiré trois personnes (artiste et/ou artisan) fabriquer des petits (et gros) objets en verre. Le 1er le plaçait au-dessus des flammes, le 2ème le tordait à sa guise avec une pince et en faisait un modèle réduit (cheval, lapin...) et le 3ème le vendait, tout ça sous notre nez...
J'étais fascinée car en plus ils allaient très vite... l'habitude, il fallait contenter tout le monde ! Souvenir !!!