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mercredi 6 octobre 2010

Poème: Ma rivière a perdu son chemin


... En mon cœur restera, ce frais ruban d'argent
Brodé de mots douceur aux couleurs du passé...

6 commentaires:

  1. Une rivière de nostalgie qui nous mène au beau pays de ton enfance ma chère Marie, et que j'ai eu grand plaisir à relire.

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  2. Je suis incroyablement et désagréablement surpris à voir comment notre monde a changé au cours des dernière décennie, lorsque je retourne là où j'ai passé mon enfance, je ne reconnaîs plus, les plus jolis coin sont laissés à l'abandon, pas d'entretien ou souillés par des immondices. J'ai l'impression que c'est ma vie que l'on a salit ou qu'on m'a volé ces quelques souvenirs. Alors je vais chercher ailleurs ces rares endroits ou il reste un peu de cette nature qui me réjouit et m'apporte de calme. Nostalgie, telle que tu l'as si bien évoquée dans ton poème.
    bises

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  3. Bonjour Marie, j'ai beaucoup aimée cette petite rivière qui m'a remémoré celle que j'ai connue dans ma propre enfance (l'orb)
    L'eau de notre jeunesse est toujours aussi vive et claire dans nos coeurs.
    Merci pour ce très joli partage poétique.

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  4. Nous avons tous la nostalgie de notre enfance, comme l'avaient nos parents et avant eux leurs parents, tout change, le progrès est l'histoire même de l'humanité.

    Bien joli poème que j'ai aimé suivre pas à pas et mot à mot

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  5. Chère Marie, quel beau poème! On y sent frémir le souvenir, celui de l’enfance et de ses merveilles. Rien ne manque, ni les roseaux, ni le souffle du vent et je vois ces pierres moussues que tu poses là, pour que sautille le courant.

    Ta Muse t’a prise par la main pour notre plus grand plaisir. Car ces quatrains ont l’art d’allumer l’étincelle heureuse que l’on ressent quand on lit un texte parfait. Tu as restitué la clairière, les buissons, tout ce qu’une rivière de jadis aimait, tout ce qui lui donnait ses rires et ses chansons. Tout ce qui évoque pour toi, avec quel amour, “la main de mes parents, leur voix comme un soupir”.

    La rivière un jour a disparu. Peut-être reviendra-t-elle; ailleurs, loin. Nul ne le sait. Mais ton poème, lui, nous assure que tu n’as rien oublié. Et c’est bien.

    Merci, chère Marie, pour cette consigne rimée avec ton talent habituel

    LORRAINE

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  6. Marie, c'est un vrai joyau ta rivière qui parle du passé et ce passé renaît sous ta plume comme par enchantement. Bravo! C'est magnifique!

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