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Au bout des illusions,
Des étés, des saisons,
Pleurent les blanches fleurs
En vains sanglots de leurres !
La vie n’est que mirages
Où sombrent les naufrages
De rêves en partance
Sur des toiles d’errance.
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Vers la baie de Ha Long terrestre
Route vers la vallée de Maï Chau
Au village de Ban Lac
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Mes poèmes
inspirés par mes photos du Vietnam
Vraiment Très triste et somptueux poème, je n'ai pas pu m'empêcher de verser quelques larmes n'ayant pas le moral ces temps-ci. Malgré tout, tes poèmes sont une bouffée d'air frais et une source d'inspiration.
RépondreSupprimerJe t'en remercie infiniment Marie !
Greg.
Qu'il est beau ce poème
RépondreSupprimerMélancolie et désillusion à fleur de sentiment
Merci Marie pour ce magnifique moment de lecture
Bonne soirée
Tony Yves
Je connais ce sombre chemin de désillusion
RépondreSupprimerTon magnifique poème est un baume pour l'âme souffrante
Il m'émeut d'autant plus associé à la sobre beauté de mon pays rêvé
Merci Marie
Greg, Tony Yves, Ondine...
RépondreSupprimerMerci de vos mots chaleureux...
...Au cœur du chaos de ce monde, il y a le battement de la vie, cette vie qu'on voudrait réinventer dans le tissu des rêves, le tissu des mots...
Comme si de l'un à l'autre, les mots comblaient enfin la distance, ce vide douloureux entre les choses et ce qui les nomme....
Hamid Tibouchi
Que de tristesse dans ces mots ouvragés comme un vitrail d'église! Que de beauté aussi pour dire l'abîme des désespoirs tus. Ton coeur de poète traduit toutes les souffrances et toutes les désillusions. Bises, chère Marie.
RépondreSupprimerA toi ami de passage, ces mots que je viens de lire:
RépondreSupprimer"Ne pas renoncer
lorsque la vie
nous oppresse
nous arrache
à nous-mêmes
résister
quand bien même
elle nous déposséderait
de tout ce qui donne sens
à notre farouche volonté d'exister"
Bernard Mazo
Merci
C'est à pas de velours, chère Marie, que tu décris l'agonie de l'amour. Dans une langue toujours raffinée, les désillusions s'impriment dans le coeur qui souffre.
RépondreSupprimerMerci pour ce poème très beau et émouvant.
Merci Lorraine
RépondreSupprimerLa vie n’est que mirages
Où sombrent les naufrages
De rêves en partance
Sur des toiles d’errance.
Difficile de vivre quand les projets, les rêves s'effritent, qu'il ne reste que des miettes de souvenirs, des absences, des doutes, des solitudes, que toutes les passerelles s'effondrent une à ne!
Ce poème est très beau bien qu'il exprime une grande tristesse et la désespérance
RépondreSupprimerJe garde l'espérance et l'optimisme qui m'habite
J'ai foi en l'être humain et tant pis si j'ai des désillusions
bisous Marie
Tu as raison...
RépondreSupprimerCar avec Paul Eluard
il faut croire malgré tout!!
La nuit n'est jamais complète
Il y a toujours au bout du chagrin
Une fenêtre ouverte
Une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille
Désir à combler
Faim à satisfaire
Un coeur généreux, une main tendue
Des yeux attentifs
Une vie à partager.
Paul Eluard
un poème tout embué de mélancolie et de gris, en parfait accord avec la photo noir et blanc.
RépondreSupprimerCest vrai qu'il y a des moments où tout semble s'effilocher sans qu'on puisse, apparemment, y apporter remède...
malgré la tristesse de l'ambiance, un superbe texte.. J'aime reprise de la première strophe dans la dernière.... super effet...
un poème tout embué de mélancolie et de gris, en parfait accord avec la photo noir et blanc.
RépondreSupprimerCest vrai qu'il y a des moments où tout semble s'effilocher sans qu'on puisse, apparemment, y apporter remède...
malgré la tristesse de l'ambiance, un superbe texte.. J'aime reprise de la première strophe dans la dernière.... super effet...
C'est un poème bien sombre que je viens de lire. Heureusement, les belles fleurs blanches sont là pour contraster le noir.
RépondreSupprimerJe pense que nous nous sommes tous, à un moment de notre vie, laissés bercer par nos illusions. Certaines n'ont reçu que de la déception mais il a eu aussi des arcs-en-ciel pour nous redonner l'espoir.
Chère Marie, je te souhaite des beaux arcs-en-ciel pour gommer cette tristesse.
Beaucoup de tristesse e et de désenchantements dans ce très beau poème qui m'a beaucoup émue.
RépondreSupprimerJ'espère de tout cœur que la joie refleurira dans ton cœur chère Marie
Un bien triste, mais très beau poème, ma chère Marie...
RépondreSupprimerEn effet, la vie est parfois loin de celle qu'on avait rêvée,
c'est pour cela qu'il faudrait essayer de n'en garder que les
belles choses... et s'accrocher de toutes ses forces à la bouée
de l'espoir. Pas toujours facile, j'en conviens...
Je vous répondrai à tous qui êtes venus lire ces mots un peu sombres
RépondreSupprimerpar un texte que j'ai lu récemment
"Ne pas renoncer
lorsque la vie
nous oppresse
nous arrache
à nous-mêmes
résister
quand bien même
elle nous déposséderait
de tout ce qui donne sens
à notre farouche volonté d'exister"
Bernard Mazo
RépondreSupprimerBien désenchanté, ce poème ! Mélancolie du cœur déçu que la vie a blessé ! Mais les vers sont si beaux qu'on a envie d'être triste avec toi...
Merci Rémy, ton message me touche beaucoup...Tu sais ...peut-être qu'on demande tous trop de choses à la vie...et quand on voit le temps qui passe avec son poids d'incompréhension et d'égoïsme, il ne reste que des mots pour évacuer ce trop plein....
RépondreSupprimerPuis on regarde à nouveau une fleur, le soleil, un sourire et on repart un peu plus fatiguée, un peu plus flétrie et on marche...jusqu'où?...je ne sais....
Avec toute mon amitié
Marie
PS...Je viens de rencontrer mon papa perdu dans son nouveau monde...maintenant il ne me reconnaît plus...C'est tellement difficile de perdre son papa comme ça....
Chère Marie, quand cette maladie touche un proche, c'est le moment le plus redouté car il fait très mal.
RépondreSupprimerNe plus être reconnue par ton Papa alors que tu es là à côté de lui à lui dire "Papa, c'est moi, Marie !", ça fait très mal. Je partage ta douleur. Peut-être que ta main dans la sienne lui procure encore des émotions.
Ton poème est triste et touchant, on y lit la douleur et en lisant plus loin ta souffrance, je comprends très bien que tu reviennes de voir ton papa, si bouleversée. J'étais comme toi quand j'allais voir mon papa, je revenais chez moi triste, surtout quand il pleurait en me voyant partir. Il me reconnaissait, mais il y eu des périodes où avec les médicaments il ne me reconnaissait pas et je pleurais tellement, je n'étais pas capable de rester et je fuyais, c'est pour cela que je trouve qu'il faut beaucoup de courage pour faire ce que tu fais et je t'admire.
RépondreSupprimerHélas, chère Marie, on ne peut rien retenir de ce qui part.
RépondreSupprimerEt l’on doit s’adapter à tous les changements, sans jamais renoncer à l’espoir, ce serait la pire des morts.
Mais je sais à te lire, que tu es cette personne Marie.
Rien ne sera plus pareil, ni l'ombre ni le soleil,
RépondreSupprimerNi le parfum de la pluie, sur les jardins de l'enfance endormie.
Rien ne sera comme avant, ni les murmures du vent,
Ni les mots qu'on n'a pas mis sur le vide du silence, et de la nuit.
Anne Vanderlove
Que dire après tout ce qui a été dit, c'est un poème dans lequel on ressent toute ta détresse et à laquelle on s'associe, tes vers sont beaux et plein d'amour en fait ...
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