Dalloz, in Zénith
Tous les sommets sont des voiliers
Sur l'océan des brumes grises
Où les aubes pâles s'enlisent
Dans les crevasses des glaciers.
D'autres textes entre terre et mer
clic sur le lien ci-dessous
clic sur le lien ci-dessous
La montagne n'est pas l'infini, mais elle nous y inite. Merci Marie, c'est très beau comme toujours.
RépondreSupprimerFusionne la terre
RépondreSupprimerAvec les vents fous du ciel...
L'émotion frissonne!
Merci Jackie
ce poème est d'une force , je suis toujours remplie d'émotion quand je te lis
RépondreSupprimerc'est d'une beauté
les éléments qui se mélangent
gros bisous
Line
Il n'est nul autre endroit ou l'homme est plus proche du ciel pur et plus loin de la terre salie
RépondreSupprimerLine, Tony Yves...merci de m'avoir accompagné sur les sentiers qui mènent là où fusionne la terre avec les vents fous du ciel!
RépondreSupprimerUn si beau poème Marie, merci
RépondreSupprimerPlus proche du ciel sont les hauts sommets
Là où les voiliers sont brouillard où flotte l’âme
Une description minutieuse et en même temps grandiose de ces falaises noyées de brouillard qui mènent l'âme à la contemplation. C'est superbe, chère Marie!
RépondreSupprimerLorraine
Chère Marie, comme ta poésie est vraie et précise... C'est vraiment exactement comme cela quand on a la chance de pouvoir saisir ces moments si fugaces, mais si chargés d'émotion..... tu es une grande poétesse de la montagne....
RépondreSupprimerEt ces magnifiques photos de l'Aiguille du Midi, des Charmoz, du Grépon et des Ciseaux..... superbe effet du noir et blanc pour contraster les sombres rochers et la neige....
Tu as vraiment une sensibilité exquise pour la montagne.... nous avons au moins cela à partager en commun..... mais certainement beaucoup plus dans toute notre sensibilité à la nature
je te joins deux images:
L'Aiguille du Midi au lever du soleil (6h du matin)
Sur l'océan des brumes grises... Lever_10
le Mont Blanc, surpris du Brévent, dans une trouée de brume
Sur l'océan des brumes grises... Ap01_014
Merci pour ce magnifique et féérique partage
C'est superbe ! Cette comparaison des sommets à des voiliers est très belle. La montagne est comme la mer, elles nous offrent toutes les deux des spectacles changeants et magiques. Tu as su en parler admirablement
RépondreSupprimerC'est superbe ! Cette comparaison des sommets à des voiliers est très belle. La montagne est comme la mer, elles nous offrent toutes les deux des spectacles changeants et magiques. Tu as su en parler admirablement
RépondreSupprimer" La pensée frissonne et se perd
RépondreSupprimerEn des vertiges oppressants
Au bord d'infinis en voûtants
Que la montagne nous suggère.."
Lorsque je parviendrai sur ces sommets tout blancs
Infinis et vertiges ne viendront que de toi
La-haut ne pliera plus le vieux Roseaupensant
Que devant le sourire de ton joli minois.
RépondreSupprimerUn seul mot : magnifique .... un tableau peint par tes mots, l'image nait et se faufile dans mon esprit en te lisant j'ai aimé fermer les yeux et imagniner ...
joliment écrit !